Partie 28-29

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PARTIE 28

Lyes: T'as dis quoi enculé ?

Walid: Joue pas l'innocent, tu veux te la faire c'est tout.

Lyes: PARLE PAS D'ELLE COMME ÇA. WALLAH JE VAIS TE DÉFONCER

Kamel et Farès était entre les deux pour éviter que les coups parte.
Walid me regarder en souriant, ce sourire qu'il a juste avant de m'envoyer plus bas que terre. Je savais qu'il aller sortir un truc qui me plairait pas...

Walid: De toute façon je te la donne, maintenant que j'ai eu ce que je voulais, elle a plus aucune valeur a mes yeux. Mais Lyes tu risque de tomber de haut fait pas confiance a son visage d'enfant. Elle est comme toute les meuf. Elle cache juste mieux son jeu.

Ouais, il a dit ça dans le bus, devant tout le monde. C'était des gens de mon quartier, du lycée. En une phrase, une seul, il m'avait fait une réputation. Maintenant les mecs d'ici vont croire que je suis une fille facile, quand t'as ce genre de réputation dans une citée... Tu t'en sort pas.
Lyes se retourne vers moi, j'avais rien a me reprocher pourtant j'ai baisser la tête.
J'avais honte... J'étaie mal à l'aise. Tout le monde me regarder.

Myriam: MDRRRRR, elle a aucune valeur? Mais c'est toi qui vaut rien. T'assume meme pas de l'aimer. C'est un bijou cette meuf, tu la mérite pas. Arrête de dire n'importe quoi, elle a rien fait avec toi, elle se respecte ELLE.

Walid: JE T'AI PARLER TOI.

Il s'approche d'elle pour la tapper mais Kamel se met devant Myriam.

Kamel: Walid t'es mon frère mais la touche pas stp.

Je me suis mise devant Walid et je l'ai giflée, j'avais la rage. Il m'a regarder avec des yeux rouge de colère et il a lever sa main mais Lyes m'a tirer vers l'arrière et ils ont commençer a ce battre. Le chauffeur a arrêter le bus et nous a fait descendre Moi Myriam les 3 Coco et Lyes.

Farès: Bande de con, sa se trouve il voudra plus nous prendre maintenant, et en plus faut qu'on court pour pas être en retard.

Malgrès les embrouilles, on a fait une trève et on a tous courru vers le Lycée. En cour c’était tendu, on se lançait des regards d’assassin, ou des pics dés qu'on en avait l'occasion.

Moi: T'as vu ma chérie, dans cette classe y a des gars qui porte pas leurs ********, c'est des bouffons, moi je perd pas mon temps avec ce genre de mecs.

Je parlais bien fort pour qu'il m'entende, je sais je tiens pas a ma vie mais j'avais tellement la haine pour ce qu'il a dis. Lui il textoter, il calculer pas ce que je disais. Sa m'énerver encore plus ...

Pendant les cours je reçoit un SMS sur mon tel d'un numéro que je connais pas. Puis un deuxième d'un autre numéro et un troisième. Je les ouvres.

"+33658***": C camélia la ? On pe se voir dan ta cav soir ce.
"+33642***": Jte baise salope ( Désoler de la vulgarité...)
"+33627***: Tu s*** ?

Je commence a avoir les larmes au yeux, on m'appelle en inconnu je décroche sous la table, Myriam s'approche pour écouter. C'était des mecs qui imiter des femmes qui jouissent, au passage il m'insultait, il criait mon prénom aussi. Walid avait fait tourner mon numéro. J'ai pris mon téléphone et je l'ai balancer sur sa tête.

Le prof: Mlle L....., vous balançez des objet sur vos camarades ? Votre carnet. Je vous met un rapport.

Walid il avait sa tête sur la table, je lui avait fait mal. Je me lève et j'apporte mon carnet au prof je vais vers ma chaise et Walid m'a fait un de ses CROCHE PATTE, je me suis allonger par terre.

chronique de Camélia : Un amour de ghettoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant