PARTIE 52
Je suis allé m’asseoir sur un banc près de l’hôpital, je n’arrivais pas à m’arrêter de pleurer, j’étais à la fois heureuse de le revoir, choquer et surtout blesser par les paroles d’Esma et les siennes. J’attends depuis trop longtemps ce moment où je pourrais enfin le revoir. Il était hors de question que je reparte sans lui avoir parlé, j’ai donc attendu qu’ Esma sorte de cette hôpital et je peux vous dire que j’ai attendu très longtemps.
J’ai attendu dans le froid pendant au moins deux heures si ce n’est plus mais j’étais déterminer à parler à Esma et surtout remonter voir Walid. Je l’ai vu sortir de l’hôpital toute souriante les cheveux au vent, j'essayer de contenir la rage que j’avais accumulé ces cinq derniers mois pour par la tuer. Elle est passée sans me voir je l’ai rattraper.
Moi : ESMA
Elle s’est retournée et m'a regarder en levant UN sourcils ( Je m’en souviens parce que je déteste ça)
Esma : Oui ?
Moi : Je dois te parler
Esma : Je suis assez presser sa peut pas …
Moi : Non sa peut pas. Alors comme ça tu prétends être la fiancée de Walid.
Esma : Ecoute Camélia je suis venu le voir dès les premiers jours de son hospitalisation. Il ne voulait pas que je vienne le voir donc j’ai dit que j’étais sa fiancée et ils m’ont accordé les visites. Je m’occupais de lui, il m’arrivait de le laver ou de le raser. Et vu que tu ne venais jamais je pensais que vous aviez perdu contact.
Moi : Ba tu vas vite arrêter de venir, c’est mon futur mari.
Esma : Ton futur mari ? Mais pourquoi tu ne venais pas alors ? Et comment ça se fait que ses parents ne m’ont jamais parlé de toi ? Ils veulent carrément que je l’épouse et je ne vais pas te mentir je compte bien me mettre avec lui
Je commencais à avoir des bouffées de chaleur, je sentais la crise d’angoisse arriver donc pour l’éviter je me suis mise à respirer lentement. Elle a posé sa main sur moi.
Esma : Camélia, qu’est-ce que t’a ?
Moi : Me touche pas, Esma je te le dis maintenant perd pas ton temps cet homme tu l’auras pas.
Je l’ai pas laissé répondre et je me suis diriger vers l’hôpital de nouveau, cette fois je n’ai pas calculé « l’accueillante ».
J’ai regardé par la petite fenêtre de sa chambre, il était en train de regarder la télé. Il était juste magnifique, je ne dis pas ça seulement parce que j’étais amoureuse. Non, sa beauté elle mettrait tout le monde d’accord. (Oui je sais je suis folle). J’ai toqué et je suis entré encore une fois.
Walid : C’est pour quoi ?
J’étais complétement paralysé, je le regarder la bouche ouverte toujours. Il attendait une réponse.
Walid : OH JE TE PARLE, TU T’ES TROMPER DONC BOUGE CASSE PAS LES KLEW.
Moi : Après un coma on devrait se reposer et éviter de s’énerver tu ne crois pas ?
Walid : ZEH !! TU TE PRENDS POUR QUI, CASSE ……
Il m’a regardé et plus aucun son ne sortait de bouche, il a fini par se retourner vers la télé et par m’ignorer. Je suis allé m’asseoir sur son lit.
Moi : Walid ?
Walid : Tu connais mon prénom ?
Moi : Arrêtes je sais que tu m’as pas oublier.
Walid : Je t’ai oublié exactement comme toi tu m’as oublié.
Il parler doucement et lentement pour éviter tout autres blocages.
Moi : Tu penses que moi j’aurai pu t’oublier ? Walid, laisse-moi t’expliquer… Après ça si tu me demande de t’oublier je le ferai du moins j’essayerai et je t’embêterai plus. (S’il choisit cette option je crois que je me tire une balle !)
Walid : Vasi abrège, j’ai pas le temps pour toi.
C’est Walid mais ça me blessait toujours autant quand il me parler comme ça.
Moi : Le soir de ton accident, mon monde il s’est juste arrêter. C’est Kamel qui m’a appelé et j’ai pas voulu le croire. Quand il m’a dit que tu t’étais pris une balle dans la tête, je voulais mourir parce que je pensais pas que t’allait t’en sortir. J’ai pris ma mère pour responsable de ce qui t’es arriver et j’ai fuguer de chez moi…
Walid : T’ES PARTI DE CHEZ TOI, TU…TU TU…T’ES PRIS POUR CHARLOTTE ? TU TE BARS COMME SA.
Même ces cris m’avais manqué et ces petits blocages je trouvais ça mignon on aurait dit un bébé qui essayait de s’exprimer.
Moi : Crie pas laisse-moi parler.
Walid : T'AS FAIT QUOI D’AUTRE TU T’ES DRO…DR.. DROGUE
(Je sais plus dans quel mots il bloquer hein)
Bref quand il a dit ça, j’ai baissé les yeux. Je me disais putain s’il savait tout ce qui c’est passer … Il m’a attrapé par les cheveux et m’a amené jusque son torse (Les bonnes habitudes reviennent).
Moi : AIIIIIIIE AIIIIIIIIE, INFIRMIEREEEEEEEEEEE. LÂCHE MOIIII AIIIIIIIIIIIE.
Il secouait ma tête et je n’osai pas me défendre de peur de lui faire mal.
Walid : ZEU ZEU ZEUUBI (Ce beug là je m’en rappel parce que j’ai explosé de rire), DE LA DROGUE ? SHETANA , EN PLUS ELLE RIGOLE !!
Je pleurais de rire !! ZEU ZEU ZEUBIII… Ah non celui-là il aurait pas dû !
Walid : Continue
Moi : Lâche-moi !
Walid : Non parle, comme ça je te défonce directe donc fait attention à ce que tu vas dire.
Je l’ai chatouillé et il a fini par me lâcher. Je me suis éloigné de lui, j’avais envie de le serrer dans mes bras et de l’embrasser mais j’avais peur qu’il me stop… Le voir en face de moi c’est comme-ci les cinq derniers mois que j’avais vécu n’était qu’un cauchemar et qu’enfin je venais de me réveiller.
Il regardait la télé mais moi je ne pouvais rien voir à part lui. Je me suis avancer et je l’ai pris dans mes bras j’avais ma tête sur son torse. Je sentais son odeur, sa chaleur sa m’avait tellement manqué…
Lui il n’avait pas bougé, il m’ignorait mais tant pis je me sentais bien, il était près de moi c’est tout ce qui compter.
Walid : Tu bave ou quoi ? Je sens un truc chaud.
Il a pris ma tête et m'a regardé avec de gros yeux.
Walid : Tu pleure ?
Moi : Non…
Walid : Si, t'as quoi ? T’es pas contente de me voir.
Moi : Putain Walid… Je suis désolé
Je pleurais fort comme une enfant, je m’en voulais tellement. Il a frotter son visage contre ces mains et il souffler.
Walid : Explique-moi… Pourquoi tu m’as oublié comme ça. Kamel il m’a dit que tu t’en foutais de moi et que t’étais jamais venu. Quand je me suis réveiller t’étais pas là.
Moi : Wallah que je t’aime, je t’aime a en mourir
Walid : Non c’est trop facile de dire ça.
Je suis allez dans mon sac et je suis allez chercher mon journal, celui qui m’a tenu compagnie pendant ces cinq mois. Il exprimera mes sentiments mieux que moi, je lui ai donné.
Moi : Lit ça, je reviens te voir demain.
Je me suis lever pour partir mais juste avant je lui ai déposé un petit baiser sur sa bouche (J’étais obliger).
Je suis sortie de la chambre j’ai pris l’ascenseur avant de sortir je me suis arrêter devant une machine a café pour me prendre un chocolat. J’ai fini par sortir de l’hôpital.
Walid: CAMELIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA TA RACEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE REMONTEEEEEEEEEE LA PUTAIN DE TA MEREEEEEEEEE MONTEEEEEEEEE MONTEEEEEEEEEEEEEE
Je me retourne et je le vois par la fenêtre qui me fait des signe de mort, j’avais l’impression il allait tomber de la fenêtre.
Le journal que je lui ai donné il contenait mes sentiments envers lui OUI, mais il contient plein d’autre trucs, mes soirée arrosé, mes milles et une conquêtes ( Zerma MDR), Sami et le pire de tout c’est que je parlait aussi de Kais dedans. En lui tendant mon journal c’est un acte suicidaire que j’ai commis.
Moi : PUTAIN PUTAIIIN !! PUTAIIN.
J’avancer de nouveau vers l’hôpital et tout ce qui sortait de ma bouche ces PUTAIN !!
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chronique de Camélia : Un amour de ghetto
Ficción Generalchronique enregistrée par mes soins ce n'est pas qui ecrit Chronique fictive mais vaut la peine d'être lu ,vous ne le regretterez pas