Massimo&Valentina.

Jet privée.

6h00.

Hier soir j'ai quittée le bureau de Massimo sans me retourner, je le laisse faire ce qu'il a envie si c'est pour sa bonne conscience... S'il veut qu'on soit professionnel alors on le sera et je ne vais pas me gêner pour lui à présent, je me sent comme une roue de secours pour lui sauf que je refuse d'être un second choix.

Je me lève avec beaucoup de mal j'ai du mal avec les réveils qui sonne avant neuf heures mais aujourd'hui c'est mon premier jour de boulot et malgré mes envies de le rendre fou je reste quand même pro dans mes jobs et maintenant que j'ai signée un contrat ou plutôt mon pacte avec le diable, j'ai des obligations.

Je rejoint la salle de bain et me prépare, je m'habille avec classe et je ne sais pas si je vais appréciée ça longtemps alors je casse un peu ses codes.

Hier Rosa avait préparer ma valise mais je l'ai revisiter à ma manière, Rosa ne prend jamais le risque de mettre en colère Don Massimo en soit je peux comprendre il tue tout ce qui ce met sur son chemin ou qui le contrarie.

Je récupère ma valise dans ma chambre et je rejoint le salon ou tout le monde attend, je vois Massimo au loin et mon cœur manque un battement comme à chaque fois, un de ses hommes prend ma valise pour le mettre dans le van qui nous attend dehors.

- Bonjour tout le monde, je sourit faiblement.

Ça va être difficile de faire semblant mais ma fierté prend largement le dessus pour le moment mais pour combien de temps sa...

- Bonjour Valentina, ton petit déjeuner t'attend sur la terrasse, dit Rosa.

Je lève les yeux aux ciels, ils sont en boucles.

- Ok merci Rosa.

Je traverse la maison pour aller dehors ou il fait encore frais, quand je vois tout ce qui m'attend je me demande qu'elle humain censé pourrait avaler tout ça.

Domenico me rejoint sur la terrasse, cet homme et toujours bien habiller en toute circonstance c'est dingue.

- Salut beauté comment tu vas ?

Il allume une cigarette et moi je mange ce que je peux, prendre l'avion m'enchante pas et l'angoisse me tord l'estomac.

- Donne moi une cigarette Dom'.

Massimo arrive au loin et son regard en dit long pour savoir que la présence de Dom' l'enchante pas, d'ailleurs il me tend une cigarette que je prend et allume mais Massimo en décide autrement et m'arrache la cigarette de la bouche et l'écrase.

- Hé à quoi tu joues la ?

Domenico ris doucement et même si Massimo le fusille du regard sa le fait rire encore plus.

- Touche pas à cette merde Valentina.

Je me lève et lui fait fasse mon nez et presque collé au siens.

- Tu n'as rien à me dire tu est juste mon patron pas mon père ni mon mec.

Sa mâchoire se contracte mais il ne fait rien de plus, je sais qu'il se contient.

- C'est l'heure on y vas.

J'ai à peine le temps de récupérer mon sac à mains car Massimo et Domenico sont déjà loin devant moi, je court presque derrière eux.

Nous sommes tous dans le van et la peur de prendre le jet me donne la nausée et je crois que sa les amuses tous, ça m'énerve encore plus surtout quand l'homme qui apaise mes peurs et mes craintes et devenu un patron froid comme la glace. Qu'elle angoisse...

Arriver devant le jet privée je suis sincèrement fascinée par tant de luxure, je reste un moment la bouche ouverte et ébahie.

- Tu vas me dire qu'un avion te fascine Valentina? demande Mario.

Je le fusille du regard et monte dans le jet en le laissant sur place, quel connard.

Je m'installe près du hublot et sert fort mon sac, je vais quand même pas faire une crise d'angoisse maintenant...Massimo s'assoit à coter de moi et j'avoue que sa me surprend, il prend la ceinture et m'attache bien fermement.

- Comme ça tu devrais pas bouger, il parle calmement.

Nos regards se croisent et son visage et si près du bien... Je me racle a gorge et je me tourne pour regarder à travers le hublot.

Je l'entend parler en Italien avec les autres mais je n'essaie plus de savoir se qu'il se dit, je crois que je vais fini par m'y habituer.

Le jet commence à bouger et je ferme les yeux, mon dieu qu'est ce que je fais la...

- Détend toi Valentina pense à respirer.

- C'est facile à dire ça quand tu as l'habitude.

Il prend ma main dans la sienne et la serre mais je la dégage, je ne suis pas un second choix...

Je sent qu'il cherche mon regard mais je ne le regarderais pas.

- Tu as un problèmes avec moi Valentina ?

Je le regarde à présent, droit dans les yeux.

- Et toi tu en as un avec moi boss' ?

Il sourit et secoue la tête en regardant les autres puis il se détache et vas s'assoir plus loin.

Le jet se pose enfin et à l'atterrissage j'ai senti son regard me transpercer enfaite je ne sais pas pourquoi est ce qu'il nous inflige sa si lui même ne supporte pas que je soit loin de lui, cet homme reste un mystère.

Quelques heures plus tard nous sommes tous dans le hall de l'hôtel et nous récupérons tous nos clés.

- Ce soir on vas tous boire un coup Valentina, tu te joins à nous ? demande Domenico.

- Ouais évidemment ça fait une éternité que j'ai pas connu ça.

Nous montons dans l'ascenseur en même temps.

- Tu sais ce soir il y aura surement des personne à qui tu devras te présenter et il faudra que tu restes calmes et ne cherche pas la merde à qui que se soit et ça devrait bien se passer.

-Ok... et qui sont ses personnes ?

- Il y'a Anna l'ex de Massimo et si tu peux évites la.

C'est donc ça le problème ? Son ex ? Merde... Je me sent détruite et prise pour une idiote, une roue de secours.

Je me suis précipitée vite dans ma chambre et j'ai fermer à clé.

Je reçoit un message de Mario pour dire qu'on doit tous se rejoindre au restaurant de l'hôtel dans cinq minutes, quand je sort Massimo sort lui aussi de sa chambre qui est juste à coter de la mienne, je suis à peu près sure qu'il la fait exprès.

Je l'ignore et passe devant lui mais dans l'ascenseur il n'a que nous deux et aucune issu de secours.

L'ambiance est électrique et chargé en tension en tout genre, nos doigts se frôlent et malgré moi je ne fais rien.

- J'entends ton cerveau réfléchir de là Valentina.

Ok je me lance la je suis beaucoup trop énervée pour contenir ça.

- Ton ex ! C'est pour ça que tu te contente d'être juste mon patron ? J'en reviens pas d'être prise pour une roue de secours ! Bordel! je crie.

Il appuie sur le bouton stop de l'ascenseur et il me plaque sur le fond de la cabine qui devient beaucoup trop petite maintenant et m'embrasse à en perdre haleine.

On reprend notre respirations et je vois dans son regard de la souffrance mais pourquoi ?

- Massimo... je chuchote contre ses lèvres.

 Mais il se dégage et rappuie sur le bouton et quelques secondes plus tard les portes s'ouvrent.