Je me suis rhabiller et recoiffer comme je pouvais, ça m'a l'aire correct mais je sais que me mère a le flaire pour ce genre de choses, enfin je veut dire pour deux personnes qui s'aiment, bien sur.
- Tu est encore plus belle quand tu viens d'être baiser comme il se doit, dit Massimo derrière moi.
Il passe à coter de moi en me donnant une tape sur les fesses et son sourire charmeur. Mon dieu je pourrais mourir pour lui.
Il me prend par la mains et nous retournons à table, ce repas ne finira jamais. Nous asseyons sous les regards inquisiteurs de tout le monde mais surtout des regards de sous entendus et d'humour.
Le téléphone de Massimo sonne, il décroche. Une angoisse ce forme à chaque fois que se fichu téléphone sonne.
Il se lève pour parler et évidemment il parle en italien mais les seules choses à la quelle je pense c'est qu'il ma baiser comme un malade dans cette pièce sombre... Merde Valentina reprend toi la.
- Je ne sais pas ce qu'il ta montré mais tu pétilles ma fille.
Je devrais peut être comptais les moments gênants dans ma vie, je pense que je pourrais remplir un carnet. Je me sens rougir et faire les gros yeux à ma mère qui rigole devant ma tête.
Massimo revient, son air est grave et j'ai envie de l'embrasser pour apaiser son cœur et son esprit mais quelques choses me dit qu'il vas falloir plus que ça pour apaiser ce mafieux grincheux.
- Qu'est ce qui y'a ? je demande pour tout le monde.
Il me regarde mais je le vois qu'il est ailleurs.
- J'ai du boulot tardif, je suis désolé de devoir interrompre ce moment sincèrement.
- Ça va on vas s'en remettre tu sais c'était génial dans tout les cas, on vas rentrer on est tous fatigués par ce voyage et cette journée, fais ce que tu as à faire, je répond.
Même si je pense que ce qu'il vas faire cette nuit vas me tuer si je le sais... Enfin bref nous sortons tous et nous montons dans le van qui nous attend sauf Massimo et Mario qui eux vont prendre une berline, j'avoue que j'aurais aimé l'avoir avec moi surtout après une soirée comme celle ci mais je suis intiment persuadé que se sera toujours comme ça et je continuerais toujours à me faire un sang d'encre pour ses activités plus que douteuse.
- Valentina, m'appelle Don.
Je m'approche de lui, il m'attrape par la hanche et pose son front sur le miens.
- Je suis désolé bébé, il faut vraiment que je règle ce problème, d'accord ? Je veux que tu sois dans mon lit quand je rentrerais.
Je hoche la tête.
- Allez regarde moi et embrasse moi.
-Quoi ? Ici ? Devant ma famille ?
Il a un moment de recule.
- Et pourquoi pas ? Tu as honte de quoi ?
- De rien, juste je sais pas je...
- Tu fais chier Valentina.
Il m'entraine dans l'obscurité de la rue pour que nous soyons seuls puis il m'embrasse à pleine bouche et je lui rend son baiser, je prend son visage dans mes mains pour l'attirer un peu plus lui passe ses bras musclés autour de moi et me porte légèrement.
- Reviens moi vite, je chuchote.
Il me répond en m'embrassant de plus belle.
Je suis douchée et je vais dans son lit, il y a son odeur partout . C'est donc sa l'amour ? Sentir l'oreiller de l'homme qu'on aime ? Je suis pathétique mais amoureuse alors ça m'as l'aire censée.
Je me suis endormie pratiquement instantanément mais je sent une présence alors j'ouvre les yeux et je vois mon homme torse nue, les cheveux en bataille avec un verre à la mains entrain de me regarder dormir.
- Mon amour ? Pourquoi tu n'est pas dans le lit ?
Je me redresse.
- Je pourrais te regarder dormir toute ma vie, si belle et si paisible c'est ça que je veux bébé, que tu n'ai à te soucier de rien dans ta vie.
Je fond d'amour.
- Mon amour, viens au lit avec moi...
Il ne dit rien et fini cul sec son verre puis le pose par terre.
- Je fais de choses si... barbare et folle bébé, tu devrais partir en courant et je devrais te laisser partir mais la vérité c'est que peu importe que tu ailles à l'autre bout du monde je te suivrais et je te ramènerais toujours à mes cotés.
Je me lève du lit et le rejoint, son regard est fou. Je passe mes jambes de chaque cotés des siennes, je suis nue et prête à lui faire oublier cette soirée qu'il a passé à faire des choses certainement immonde et inhumaine.
Je l'embrasse amoureusement et je commence à me frotter sur son énorme érection, je suis prête pour lui comme si mon corps était fait pour le siens, comme si deux âmes sœurs étaient enfin réunis. Je défait la braguette de son pantalon de costume tout en l'embrassant.
Quand je réussi à libérer son sexe qui n'attend que ça, je l'enfonce en moi sans ménagement. Il gémit fort, il je commence mes mouvements de hanches et j'intensifie quand je l'entend gémir bruyamment, il mord mes tétons et je suis à deux doigts de convulser de plaisir. Je vais et viens sur lui son visage enfoui dans ma poitrine, je m'accroche à ses cheveux noirs comme un point d'encrage.
Il se lève et me porte, il est toujours en moi et il continue de me prendre comme ça il agrippe mes fesses et fais des vas et viens avec mon corps, on ne ma jamais prise comme ça. Je joui fort et il ne tarde pas à me suivre, il grogne dans ma bouche.
Il me pose délicatement dans le lit.
- Je vais me doucher, toi tu dors.
Je garde mes jambes autour de lui.
- Je veux venir avec toi.
- Et moi je veux que tu gardes mon sperme en toi et que tu dormes, c'est clair ?
Je fais la moue mais j'obtempère, je le laisse gagner pour cette fois ci.
Le soleil illumine la chambre et un corps chaud est sur moi, Massimo est étaler sur moi et il dort si paisiblement que je n'ai pas envie de le réveiller mais mon envie de faire pipi prend le dessus, je tente de me glisser hors du lit mais il râle.
- Il faut que j'aille aux toilettes mon amour, je dis doucement.
Il resserre son étreinte, Massimo tu fais chier.
- Massimo soit cool.
Il me regarde avec ses yeux fatigués puis se tourne dans le lit à plat ventre, je peux voir mieux ses cicatrices, il a tellement du avoir mal...
Je me lève avec du mal maintenant, j'aimerais embrasser chacune de ses blessures.
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Massimo&Valentina.
RomanceMassimo avait perdu la femme de sa vie dans un accident et à présent il était encore plus dangereux et redouté. Valentina travaillée dans le monde de la nuit, elle avait commencer comme serveuse car c'est ce qu'on lui a promis pour subvenir aux bes...