Rien ne sort. Pas de balles mais une trainée de tires et de poussières arrives dès l'instant ou j'essaie d'assimiler les choses, deux hélicoptères survolent le désert et tires, un escadron de la mort tire de part et d'autre, c'est un véritable carnage.
On m'attrape par le bras et on me pousse entre deux véhicules. Je me débat et tente de voir qui me sauve la vie. Mario. L'homme qui voulait ma mort me sauve ? C'est une blague ? Si s'en est une elle est de très mauvais gout.
- Bordel ! il hurle. Tu vas bien petite ? Mierda.
Il saisit une arme de son costume et tire lui aussi de part et d'autres.
- Il se passe quoi putain ? je hurle à mon tour.
- On avait besoin de toute ta loyauté envers Don Massimo, même si il n'en n'a jamais douté le reste de la mafia voulait des preuves et maintenant qu'on les as, c'est la plus grosse guerre de Sicile qui est entrain de se produire Valentina...
- Je comprend pas !
- Massimo prend le monopole de toutes les mafias ! Il lui faut des vrais alliés ! Et une vrai femme ! Maintenant prend sa, elle est vraiment chargée cette fois si tire sur tout ce qui te semble menaçant ou qui te tire dessus !
Un autre homme s'approche de nous, je reconnais Marcus, cet homme est toujours la dans les moments de k.o.
- Mario, courez au van ! Je me charge d'elle, ordre du chef ! il hurle lui aussi par dessus les tirs et les bruits des hélicoptères.
Il m'attrape le bras qu'il passe sur son épaule, je ne suis pas blessée mais je suppose que sa lui permet d'aller plus vite alors je me laisse faire comme une poupée de chiffon, je réalise en aucun cas ce que je vis, je suis perdue et avide de questions. Mais une seule chose me revient en tête, Massimo et mon amour incommensurable pour lui, s'il vas dans les flammes de l'enfer alors je le suivrais les yeux fermés.
On traverse à toute vitesse l'allée de la mort, au milieu de l'action. J'ai peur pour ma vie mais d'autant plus pour celle des hommes qui sauves la mienne à chaque instant, je n'oublierais chacun de ses moments de ma vie.
Il me dépose dans un van et ferme rapidement la porte, les pneus crissent et le van pars à toute vitesse, quand je me relève pour voir ce qui s'y passe on me hurle de me rasseoir ou je peut me prendre une balle dans le crane. Je me rassied et serre mes genoux contre moi, je ne crois pas en grand choses mais je prie n'importe qu'elle dieu pour que tout ceci s'arrête et que tous rentres vivants.
Nous arrivons devant une villa immense plus gardé que la maison présidentiels aux états unis, Massimo ne prend pas ma sécurité à la légère ni la sienne et celle de sa famille.
La porte s'ouvre et Rosa s'écroule en pleure en me prenant dans les bras elle répète sans cesse des mots italiens, je ne comprend rien mais je lui rend son accolade, j'en ai besoins moi aussi de sentir la chaleur humaine et pas l'odeur du sang ni de la poudre.
Elle me force à entrée dans la maison et me fait assoir dans le salon qui fait dix fois mon appartement.
Ses mains sont autours de mon visage, pour vérifier que je suis bien vivante, je suppose.
- Tu est la... tu est enfin la... elle a du mal à parler tellement elle pleure.
- Où est Massimo ? Rosa ? Dis moi où il est ? l'angoisse me rattrape.
- Il est la bas, tu ne dois pas bouger il a dit que je devais garder un œil sur toi.
- Pourquoi moi il ne me dit rien ? Putain !
Je me lève et commences à faire les cent pas, je vais faire une crise d'angoisse monstrueuse.
- Tiens prend ça, avale les et vas te prendre une douche.
Je ne sais pas ce que c'est mais je le prend et je les avales, j'écoute tout ce qu'on me dit, incapable de faire autre choses de moi même.
L'eau chaude coule le long de mon corps, je veux qu'il soit avec moi sous cette douche et qu'on revienne une semaine en arrière mais je suis rassurée et un petit poids s'enlève de mes épaules quand je sais qu'ils sont loin de cette guerre mafieuse.
Je fini par sortir une heure après, je m'enroule dans un énorme peignoir. Tout mes gestes sont machinales, je suis un robot.
J'entends Rosa hurler et d'autres voix atteignent mes oreilles alors je cours jusqu'au salon et... Mon homme est la, sale poussiéreux et du sang qui j'espère ne lui appartient pas, son regard cherchant après moi, je le sent je le sais.
Je pleure et je ne m'en rend pas compte jusqu'à ce que ma vue devienne flou, quand il me voit enfin cachée car je suis incapable et je suis tétanisée par la situation nouvelle pour moi, il marche presque en courant vers moi et je débloque enfin et je cours vers lui aussi, il me porte et me prend dans ses bras comme si je ne peser rien et surtout comme si il n'avais jamais pris de balle ou fais une guerre.
- Oh mon dieu tu est la, mon amour, tu est la... sa voix est pleine d'émotions.
On s'embrasse enfin et j'ai l'impression que mon cœur pète à cause de trop fortes émotions. Je l'aime et avec tout ça je suis sure que c'est lui, pour qui je pourrais tuer ou me faire tuer.
Nous ne prenons pas la peine de savoir si il y a du monde autour de nous, l'adrénaline, l'amour et la peur de perdre l'un comme l'autre et plus forte que toute cette folie, on s'écroule par terre tant on s'embrasse en n'en plus respirer, il se précipite d'ouvrir sa braguette et s'enfonce en moi comme une besoin animal et impératif, on a besoin de se sentir vivant.
Il me pilonne sauvagement, j'enlève mon peignoir et je remarque que évidemment il n y a plus personne depuis un moment dans le salon, je fais à mon tour des vas et viens sur lui les mains sur son torse, les yeux dans les yeux.
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Massimo&Valentina.
RomansaMassimo avait perdu la femme de sa vie dans un accident et à présent il était encore plus dangereux et redouté. Valentina travaillée dans le monde de la nuit, elle avait commencer comme serveuse car c'est ce qu'on lui a promis pour subvenir aux bes...