-Je...Il cherche ses mots et moi je suis gênée maintenant.
- Désoler d'avoir dit sa...
Je m'éloigne et m'apprête à sortir mais il me retient par le bras et me force à me tourner.
- Merde je suis désolé j'ai pas su me réagir, la dernière fois que j'ai entendu ça c'était... Il y a longtemps...
- Ça va Massimo t'en fais pas, je t'assure.
- Dit pas n'importe quoi tu allais partir et fuir encore une conversation.
Il n'as pas tort.
- Je suis prêt à mourir pour toi Valentina, je suis prêt à donner tout ce que j'ai pour toi. Je ne suis pas du genre à déclarer quoi que se soit parce que je ne suis pas comme ça, je t'en ai déjà assez dit tout à l'heure mais sache une chose Valentina, si tu me trahie je n'aurais aucune pitié.
Je déglutis avec difficultés, il ne plaisante pas et je le sais. Il reste un Don et être avec un homme de la mafia n'est peut être pas le meilleur choix que je fais mais sincèrement je ne veut personne que lui.
Il s'approche de moi et prend mon visage entre ses mains et nous nous regardons yeux dans les yeux un moment, le désirs, l'amour, la colère.
- Tu ne vas pas me faire supplier pour que je t'embrasse quand même ? je demande.
- Non.
Il se penche et pose délicatement ses lèvres sur les miennes, je ressent toutes ses choses refoulés, les papillons dans le ventre. Il passe ses mains sur mes fesses puis les attrapes à pleines mains et me porte pour me poser sur le lavabo, notre baiser s'intensifie. Sa langue caresse la mienne sensuellement, la tentation est beaucoup trop forte et je suis à deux doigts de lui demander de le supplier de me prendre ici et maintenant. Je pose mes mains sur son torse, j'ai envie de lui. Je passe mes mains sous sa chemise et touche ses muscles chaud.
- Valentina joue pas avec le feu.
- Je ne supplierais pas...
Il sourit de toutes ses dents. Il passe ses mains sous ma robe et passe ses doigts sous l'élastique de mon string puis l'enlève. Il me montre mon sous vêtements.
- Ça je le garde pour moi et on verra si tu ne vas pas supplier amore mio.
- On verra qui de nous deux sera le plus excité, je fais un clin d'œil.
Je descend et sort mais il dit :
- Si je dois refaire ce que j'ai fais pour ton amie et te protéger alors je le referais cent fois, te voir dans cette état me...
Il se racle la gorge comme pour reprendre ses esprits.
- Je le referais c'est tout.
- Massimo, si tu tiens à moi ne le fais plus jamais, je dis simplement.
Je l'entend soupirer et marmonner en italiens.
Je rejoint ma famille à table, leurs regards de pitiés me donne la nausée.
- Ça va ?
- Oui ça va.
Je suis mouillée excitée et en colère contre l'homme que j'aime mais je viens à penser que sera toujours comme ça.
Massimo nous rejoint puis les plats commencent arriver.
- Bonsoir, une bouteille vous a était offerte à l'intention de mademoiselle Valentina, annonce le serveur.
Je rougis de la tête aux pieds, tout les yeux sont braqués sur moi et celui de Massimo me transperce.
-Merci, dis timidement.
- Oh sa alors, tu plais aux italiens ma sœur.
- Ouvrons la j'ai besoins d'alcools.
Je fini mon verra d'un trait, je sens que je vais en avoir besoin.
Le reste du diner ce fait dans la bonne humeur, sans sous vêtements je n'ai qu'une envie c'est de Massimo, je me passe en boucle quand il m'as prise dans ma chambre d'ado ou encore sa langue partout sur moi et sur ma chatte. J'ai chaud, vraiment chaud je sent que je ne vais pas tarder à craquer.
- On peut prendre un vol demain si tu veux pour allé sur sa tombe te recueillir ? chuchote Massimo.
- Pourquoi? J'aurais aimer être la le jour ou elle s'est fait enterrer.
- Écoute je fais des efforts pour que sa marche bébé là s'il te plaît soit pas si mauvaise.
Je m'approche de son oreille et chuchote.
- Je veux que tu me baises mon amour et je te supplie de me faire jouir.
Je me rassied et le regarde, lui reste un moment penché vers moi, il finit d'un trait son verre de whisky.
Il se lève puis tend sa mains vers moi.
- Suit moi.
Je prend sa main et me lève à mon tour, je suis prête à le suivre au bout du monde.
- Je vous ramène votre fille vous inquiétez pas.
- Oh je n'en doute pas, dis ma mère en lui faisant un sourire remplis de sous entendus.
Il m'attire à l'extérieur et je le suit avec du mal tellement il vas vite, quand il s'en aperçoit il me porte telle une princesse et je rigole comme une putain d'ado...
Il ouvre la première porte qu'il voit et entre, il n'allume même pas la lumière. Il me pose et embrasse chacun de mes seins, il les libère de ma robe puis de mon soutiens gorge et aspire chacun de mes tétons il gémit en même temps, je n'en peut plus.
- Je t'en supplie prend moi.
Il ne perd pas une minute et soulève ma robe, il défait sa braguette et son érection est impressionnante, il s'enfonce en moi et je ressens tellement de plaisir que j'ai du mal à retenir mes cris de jouissances, lui aussi gémis fort ce qui provoque des ondes de plaisir intense dans mon vagins, nous nous embrassons à en perdre haleine, sa bouche est partout sur moi et je joui comme je n'avais jamais joui auparavant avant de le connaitre, il ne tarde pas à me suivre et fini en moi en grognant dans ma bouche avec sa langue baisant la mienne.
- Putain, souffle t 'il.
- M'en parle pas...
- Tu est parfaite bébé, si parfaite.
A chaque mots il m'embrasse et je lui rend fougueusement à chaque fois.
- Je suis fou de toi...
Il passe sa langue derrière mon oreille puis reprend.
- Si fou de toi...
Je me sent si bien que je me lance et lui dit.
- Je t'aime.
Il s'arrête net mais son érection parle pour lui, il est dur comme le fer.
- Je t'aime Valentina.
Ses hanches repartent, il me reprend avec son sperme déjà à l'intérieur de moi et j'ai envie de hurler mon bonheur au monde entier. Il me tourne et me plaque contre la porte froide il me pénètre encore plus fort, il me culbute sans pitié. Il m'attrape les cheveux et tire ma tête en arrière, je crie de plaisir, tant pis si les aitres entendent.
- Répète le, dit le, crie le ! il ordonne.
- Je t'aime Massimo Torricelli ! Oh bordel vas'y plus fort!
Il accélère et me pilonne littéralement de son énorme bite bronzé et chaude. Il finit en moi et je le suit dans son orgasme.
Nous reprenons notre respiration, je me tourne et je l'enlace.
- Merci de me rendre si heureuse.
Il m'embrasse avec tendresse cette fois ci.
- Je passerais toujours ton bonheur avant le miens, toujours.
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Massimo&Valentina.
RomansaMassimo avait perdu la femme de sa vie dans un accident et à présent il était encore plus dangereux et redouté. Valentina travaillée dans le monde de la nuit, elle avait commencer comme serveuse car c'est ce qu'on lui a promis pour subvenir aux bes...