Je me frotte de plus en plus et je suis déjà trempée pour lui, il saisit mes fesses à pleines mains et les écartes et il m'embrasse pour étouffer mon gémissement.
- Je t'interdit de jouir.
J'accélère mes mouvements jusqu'à me faire jouir mais quand il sent que je me raidis il me stop d'un coup et empêche chacun de mes mouvements.
- Je t'ai dit que je ne jouira pas.
Je fais la moue, ma frustration est à son maximum.
- Pourquoi Massimo ?
- Parce que c'est moi qui décide quand tu joui ou non c'est bien clair ?
Braver l'interdiction m'excite encore plus, je pose ma mains sur son érection et le caresse à travers son pantalon tout sa me rappelle la manière dont ont s'est rencontrés au club.
- Valentina je vais te baiser la bouche avec ma bite si tu continues à me chauffer comme ça.
Je me lèche les lèvres, depuis le temps que j'en ai envie il me rendrait service en pensant me punir.
- Baise moi la bouche Don vas'y.
- Valentina on mange ! crie ma mère.
- On dirait qu'on est sauvez par le gong bébé, dis Massimo.
Il m'embrasse à en perdre haleine puis il me porte en posant ses mains sous mes fesses puis une fois devant la porte il me pousse dessus puis je pose mes pieds à terres puis pose un baiser sur le bout de mon nez ensuite il me tourne la poitrine contre la porte.
- Tu as intérêt de jouir vite avant qu'il ne vienne ici.
Il lève ma robe puis écarte mon string et enfonce sans ménagement ses doigts en moi et les sorts pour me caresser mon clito de ma mouille puis les inserts à nouveau et il répète jusqu'à ce que je puisse plus résister et je joui pour la deuxième fois sur ses doigts, même si j'ai fini de jouir il continue à me doigter doucement.
- Bordel... je chuchote contre la porte.
Il me retourne et met ses doigts dans sa bouche et les lèches puis il les met dans ma bouche à moi et je fait de même sauf que je les suces.
- Valentina ça va être froid ! crie ma mère à nouveau.
- Oui attend maman je l'aide à régler un trucs on arrive !
Je me laisse glisser le long de la porte et me place comme il faut face à son énorme queue, j'ouvre sa braguette et je suis ravie de voir qu'il ne porte pas de caleçon, son érection sort et elle est si grosse que je me demande comment elle pourrait entrée en moi, sa peau est bronzé et chaude... Je la prend dans ma bouche et je commence à le sucer comme je peux vue la grosseur... Il prend ma tête et il s'enfonce jusqu'au fond de ma gorge et il me baise la bouche à fond, j'en veut encore plus j'enfonce mes doigts sur ses fesses et il joui au fond de ma gorge, je n'avais jamais fait sa avant lui et je ne regrette pas il a bon gout.
- Relève toi, ordonne t il.
Je m'exécute, il saisis mes cheveux et approche mon visage du siens.
- Tu aimes jouer et moi aussi, ça s'annonce intéressant.
Il sourit malicieusement, je sourit aussi et me mord les lèvres.
- Tu rends les choses intéressantes Don Torricelli.
J'ouvre la porte de la chambre pour sortir et je vais directement dans la salle de bain, je dois avoir une de ses têtes, je me regarde dans le miroir et pas du tout en réalité au contraire, mon teint est rosé et mes yeux pétilles, on dirait clairement que j'ai eu un orgasme digne de ce nom.
Je rejoint les autres dehors sur la terrasse ou un tas de nourriture attendent, ma mère à vue les choses en grand.
- Tu penses vraiment qu'on vas manger tout ça ? je demande.
- Évidemment ! Tu est maigre il faut que tu te nourrisse, répond ma mère.
- C'est ce que je persiste à lui dire madame mais elle n'en fait qu'à sa tête, elle refuse catégoriquement de manger convenablement.
- Massimo tais toi !
- Quoi ? C'est ta maman il faut qu'elle sache, répond il en rigolant.
- Vous vous connaissez en dehors du travail ?
Oh oh.
- Oui j'ai héberger votre fille un moment chez moi, répond il simplement.
Tu parles tu m'as forcés oui, Don Massimo ment si naturellement que sa m'inquiète un peu.
- Oh c'est vraiment gentils de votre part !
Le diner ce passe bizarrement bien, tout ceci est improbable.
J'aide ma mère à débarrasser puis je commence la vaisselle dans la cuisine, Massimo me rejoint mais je me concentre sur ma vaisselle, il en a décider autrement... Il se colle à moi puis passe ses mains sur mes bras puis il rejoint mes mains dans l'eau de l'évier, sa bouche et sur mon épaule.
- Massimo... Quelqu'un peut arriver à tout moment, je parle doucement.
- Et alors ?
Il continue en m'embrassant dans le cou puis le lèche et aspire légèrement.
- Massimo...
-Il faut assumer la conséquences de ses actes, tu le sais je suis pas très patient et j'obtiens toujours ce que je veux alors...
Son téléphone sonne plusieurs fois, il ne décroche pas et c'est au bout de plusieurs minutes qu'il se rince les mains puis il décroche, il parle en italiens tout le long et il est visiblement très très en colère. Je m'approche de lui mais il s'en vas dehors. Ok...
Je finis de ranger quand il revient son humeur à changer, il me prend la main et m'emmène dans ma chambre sous les yeux de ma famille qui rigolent de cette situation, bien sur d'un point de vue extérieur il ne voit que le coter "mignon" mais en réalité Massimo est entrain de péter un câble.
- Ne parle pas, enlève ta culotte et met toi à quatre pattes sur ton lit dépêche toi.
Je m'exécute, j'enlève mon string et lève ma robe puis je l'attend comme il me la demander.
Il arrive derrière moi puis sort son pénis qu'il passe entre mes lèvres mouiller et il me pénètre d'un coup et il me baise fort et vite sans aucun ménagements, il m'assène de coups de reins il je me retiens de crier ma jouissance dans mon oreiller lui ne s'arrête pas pour autant, quand je commence à jouir son orgasme à lui suit le miens puis il se vide en moi et cette idée me fait perdre la tête, il est en moi et j'adore ça.
Il sort et ce rhabille directement, ce qui lance un froid entre nous. Qu'est ce qu'il fait ?
- Je dois retourner en Italie ce soir.
- Quoi ?
Il ne m'écoute plus et s'apprête à sortir de la chambre.
- Je vais dire aurevoir à ta famille.
- Alors quoi ? tu te me baises et tu te barre ? Putain mais je suis plus une pute !
Il vient vers moi à grand pas sa mains est autour de mon cou il la serre assez pour e faire comprendre que je suis allez trop loin.
- Ferme ta gueule Valentina, tu as compris ce que je viens de te dire ? Mon sperme est en toi et pendant que je ne suis pas la pense à moi dans ta chatte serrée.
Je déglutis avec difficultés et il sort en trombe.
Je reste dans ma chambre enroulée dans ma couette, je me retiens de pleurer mais je suis trop faible...
Il s'est passés quatre jours depuis que Massimo est partit, je n'ai eu aucunes nouvelles de lui il est comme un fantôme mais c'était jusqu'à ce que je voit un article sur lui dans la presse italienne, des photos de lui et une femme brune très très proches, la press dit qu'ils sont en couples et ma tête se vide son sang...
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Massimo&Valentina.
RomanceMassimo avait perdu la femme de sa vie dans un accident et à présent il était encore plus dangereux et redouté. Valentina travaillée dans le monde de la nuit, elle avait commencer comme serveuse car c'est ce qu'on lui a promis pour subvenir aux bes...