Employée.

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Je me suis endormie sur son épaule et lui n'a pas bouger d'un seul centimètres.


Je sent qu'on me bouge légèrement alors j'ouvre les yeux mais le Massimo gentil et tendre n'est plus dans cette voiture.

- On est arrivés Valentina.

Je m'étire et sort de la voiture tant bien que mal, j'étouffe mes cris de douleurs et souffle un bon coup.

- Appuie toi sur moi.

- Non ça va je peux marcher.

Ses sautes d'humeurs me donne le tournis et me soule vraiment, un coup il et gentils et de l'autre il redevient froid et distant.

Il soupire et perd patience, il s'approche de moi d'un air menaçant.

- Soit tu t'appuies sur moi soit je te porte, alors choisis bien.

Je le pousse et passe devant lui en marchant, c'est bon pour aujourd'hui j'ai eu assez de moments d'humiliations.

Mais Massimo a décider que c'était pas fini alors il m'attrape par derrière et je me débat comme je peux pour partir de son emprise.

Il me lâche et me regarde, je crois que je l'ai vraiment mis en colère.

- A quoi tu joues la ?

Il fulmine.

- Toi a quoi tu joues ? Un coup t'es gentil et la seconde d'après tu ne l'est plus !

Il met ses mains dans sa poche et sa mâchoire se contracte.

- C'est bon tu as finis ? Tu pisse le sang alors vas te faire recoudre, moi je rentre.

Il monte dans la voiture.

- Attend quoi ? T'es sérieux la ? Tu me force à venir la pour partir dans ton château immense ?

- Tu fais ta putain de gamine capricieuse alors tu sais quoi démerde toi j'en ai marre de tes conneries. Un chauffeur viendra te récupérer après si la non plus tu décides pas d'en faire qu'a ta tête Valentina.

- On parle de quoi la de ma blessure ou de la remarque de tes employés ?

Il ferme la portière et la voiture part, il me laisse vraiment ici ? Mais quel connard !

Je souffle moi aussi... comme si j'avais retenu ma respiration depuis le début.

Je me penche et regarde ma blessure alors ok elle n'est pas belle mais l'envie de me faire recoudre n'est pas au rendez vous...

- Bonjour mademoiselle...vous saignez est ce que ça va ?

Je relève la tête vivement et un homme s'approche de moi, on dirait qu'il sort d'un film.

- Bonjour... eu non ça va vous inquiétez pas c'est qu'une petite égratignure se devrait aller merci.

Il s'approche et se penche pour regarder.

- Je travaille ici je peux vous soignez si vous voulez, vous devriez pas rester comme ça...

Bon... alors je vais avoir ses points de sutures...

- Ok allons y...



Je l'ai suivis à l'intérieur et il m'a amener dans une salle puis il a fait cinq points, il faut croire que ça n'aurait pas guérit seul.

- Je suis désolée que vous ayez du restez ici pour me soigner...

Il sourit et jette ses gants à la poubelles puis il se rapproche de moi.

Massimo&Valentina.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant