- Alors ne me mens plus Valentina, pour moi ce genre de choses sont très graves.Il passe une mèche de cheveux derrière mon oreille. Je soupire, peu importe pour lui qu'on m'as empêchée d'avoir le plus beau rôle d'une vie il condamne cela même si vous êtes la chose la plus précieuse à ses yeux.
- Qui était le père de ce bébé ? demande t'il.
- Ce n'était même pas un bébé...
- Son cœur battait alors si il y'avait une âme.
- Tu te rend compte de comment tu me fais sentir Don ? Putain.
Ses narines se dilatent, la mâchoire contractée, il se retient surement d'éclater l'ascenseur actuellement.
- On vas avoir des tas de bébés ensemble et jamais au grand jamais tu n'auras à subir ce genre de choses, je vais t'offrir cette vie que tu mérites.
Je prend son visage entre mes mains et l'embrasse délicatement.
- Donne moi un nom... il murmure.
- Jamais monsieur Torricelli.
Il sourit et ses dents blanches ressortent dans l'obscurité, on dirait le grand méchant loup.
- Tu sais que plus tu me dis non plus je vais vouloir savoir et même si pour ça je dois déterrer des tombes, son sourire est diabolique.
Pourquoi malgré ses paroles glauques je suis déjà trempé ? Cet homme sent le désir comme un vampire sentirais le sang, l'expérience certainement avec toutes ses femmes qu'il a du connaitre, ok Valentina c'est pas le moment de penser à sa, la je suis avec un homme qui est prêt à me dévorer toute crue.
Il me colle littéralement la parois son corps est tellement collé au mien que j'ai du mal à respirer, son odeur est partout, ses yeux plongés dans les miens qui hurlent tout ce qu'il ne dit pas.
- Je suis prêt à parier tout ce que j'ai que depuis que je suis monté dans cette ascenseur qu tu est mouillée de désir pour moi.
- Ne t'avance pas trop amore mio, tu serais déçu... je fait un clin d'oeil.
Il hausse les sourcils surpris par mon assurance, je pose mes mains sur son torse musclé et le pousse légèrement pour le contourner et allez appuyer sur le bouton, Massimo pose sa main sur la mienne pour arrêter mon geste. L'air n'est plus respirable, non pas parce que nous sommes enfermés mais parce que le désirs charnel et l'amour me font suffoqués.
Je suis dos à lui et face aux portes, je n'ai aucune idée de ce qui vas suivre.
Il me plaque contre les portes, le froid n'apaise rien à la température, mes seins sont étalés sur les portes ainsi que mon visage.
- Tu crois pourvoir m'échapper ? Jamais tu ne pourras partir, je te trouverais toujours, il chuchote dans mon oreille.
Des frissons parcours tout mon corps, je sais que je n'échapperais à mon mari et j'en ai aucune envie de toute façon.
- Je comptais aller nul part sans toi...
Il grogne, il caresses mes fesses à travers le tissue et je me cambre en sa direction, retenant mon souffle. Il me met une fessée et je râle de plaisir ensuite il lève ma jupe, je me retrouve le cul à l'air prête à recevoir n'importe quoi venant de lui. Massimo s'abaisse et prend mes fesses dans chacune de ses mains et les écartes, il prend mon sous vêtement et l'enlève d'entre mes fesses.
- Je te préfère sans mais avec tu me fais bander à mort aussi mais ne t'avise jamais de te promener sans quand je ne suis pas la ou ça ira très mal.
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Massimo&Valentina.
Roman d'amourMassimo avait perdu la femme de sa vie dans un accident et à présent il était encore plus dangereux et redouté. Valentina travaillée dans le monde de la nuit, elle avait commencer comme serveuse car c'est ce qu'on lui a promis pour subvenir aux bes...