Massimo&Valentina.

Papa.

Je suis me suis lever avant les membres de ma famille, j'ai pleurée une bonne partie de la nuit je crois que c'est du à toutes mes émotions gardais si longtemps en moi que se soit la honte, la peur ou ce que je ressens quand Massimo est près de moi enfin était près de moi.

Je prend un jus de fruits et m'installe dehors sur la terrasse, l'air et frais mais doux. Je ne sais pas ce que je vais faire maintenant que je suis loin de cet homme si dangereux et sexy à tomber à vrai dire je ne vais pas me le cacher je crois que ça ne m'effrayer pas temps que ça sa dangerosité au contraire moi même j'étais prête à beaucoup... même vendre et donner mon corps au diable.

Mon grand frère me rejoint et s'assoit à coter de moi.

- Tu as bien dormis ? me demande t il.

- J'ai dormis c'est déjà ça, dis en rigolant. Et toi ?

- Je t'ai entendu pleurer au moins deux heures, je sais pas ce qui ce passe et que maman nous as dit de pas poser de questions mais... Je veux juste savoir si tout vas bien Valentina ?

- Melio... Je vais vraiment bien je t'assure, je vais trouvais un job et continue de subvenir aux besoins de notre famille.

Il soupire et regarde au loin.

- Papa est revenu il y a quelques mois...

Quand j'entends le mot papa je retiens ma respiration et je ressens une douleur si vive dans la poitrine que je dissimule avec du mal mon mal être.

- Qu'est ce qu'il a fait cette fois si Melio ? Si tu me dis qu'il a touché à un de vos cheveux...

Il me coupe et pose sa main sur ma cuisse pour me rassurer mais je connais mon frère... Son regard est toujours au loin vide de toute émotions et il mord les peaux de ses lèvres, je sais qu'il essai de retenir ses larmes et quand une seule larme coule le long de ses joues je me lève. Je vais tuer mon père.

- Je suis tellement désoler Valentina... je n'étais pas la quand c'est arrivé... si tu savais comme je m'en veux. Maman ne veut pas que tu le saches mais il faut que tu le saches, si tu y vas Valentina il nous prendra tout et surtout Tom...

Je me stoppe net, pas Tom s'il vous plaît je n'y survivrait pas.

- Il veut la garde définitive de Tom, alors ne fais rien ou il passera à l'acte par je ne sais qu'elle manière aussi tordu que lui.

- Non c'est hors de questions sa n'arrivera jamais ! je commence à paniquer.

Mon père nous as tous détruit un par un, il reste que Tom mon petit frère de deux ans qui reste indemne.

- Valentina assied toi et calme toi.

Il faut croire que mon séjour chez Massimo ma rendue moi aussi dangereuse et imprévisible, la pression qui monte en moi une trainer de poudre me fais respirer plus vite et ma tête commence à tourner.

-On vas ce battre, dis je.

J'enlace mon frère et nous nous restons un moment comme ça et je me jure que mon géniteur paiera pour tout ce qu'il nous fait subir depuis toutes ses années.

Je suis allonger sur le canapé avec mes frères qui joues à la consoles quand la sonnette retentis dans la maison, une boule d'angoisse ce forme dans ma gorge mais je vais ouvrir avant ma mère.

Devant mon portail un homme habiller de noir attend avec une boite alors je m'avance jusqu'à lui.

- Bonjours mademoiselle Valentina, j'ai quelques choses pour vous.

Il me tend la boite et je la saisis.

- Je peux savoir de qui ça vient ?

- On m'as dit que vous poseriez la question et on m'as dit de vous dire que vous le savez déjà.

Il se tourne et s'en vas. Bordel c'est flippant.

J'ouvre la boite devant le portail, on ne sait jamais ce qui m'attend. Quand j'ouvre je suis surprise d'y retrouver une longue enveloppe ainsi qu'une boite de bijoux de créateur.

Je m'assois sur le murée à coter du portail et ouvre l'enveloppe qui contient en premier mon contrat de travail intacte avec des traces de fluo dessus pour montrais que je n'ai pas le droit à l'abandon de poste et qu'il faut d'abord passer par le responsable pour une démission, je regarde ce que contient encore cette enveloppe et il y a une carte avec une adresse dessus, c'est quoi ça ? Me dites pas que Don Massimo est en France... J'ouvre la boite à bijoux et c'est un collier qui doit probablement valoir le prix de la maison de ma mère, cet homme complètement fou.

J'entre chez moi et évidemment tout le monde me regarde.

- Il doit avoir des choses à se pardonner... dis ma mère.

Je lève la tête et sort de ma rêverie, hein ? quoi ? Je regarde le collier et comprend.

- Oh ça... Hum... Ouais non c'est pas ce que tu crois.

Je vais dans ma chambre et prend mon téléphone, je supprime la conversation de Massimo sans lire les messages et pose mon téléphone et regarde la carte un long moment.

Mon téléphone sonne et le nom de Domenico s'affiche alors je répond.

 "-Allô ? dis je.

- Valentina maintenant que tu as reçu ce colis une voiture viendra te chercher à dix huit heures, dit il simplement.

- Je te demande pardon ? Je n'irai nulle part est ce que c'est bien claire ?

- C'est soit ça soit il viens te chercher lui même chez ta mère.

Non non non...

- Putain... Je serais prête à dix huit heures, dis je pour conclure.

- Bien, maintenant regarde sous ton lit. A ce soir."

C'est pas vrai c'est quoi se bordel ? Je me penche et une grosse boite noire et dessous. Comment elle est arrivée la ? Ils sont rentrés chez ma mère ou je rêve la ? Personne n'as rien entendu et cette boite est la comme si elle y avait toujours était, je la prend et l'ouvre.

Une longue robes noir est dedans avec une paire d'escarpins aussi mais à quoi il joue ? Il y'a un mot avec écrit : " Peut importe où tu seras je te retrouverais, toujours"

Massimo...