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- Je vais aller la voir, je peux peut être encore la convaincre de ne rien dire. Dis-je
Lorsque je m'apprête à partir pour rattrapé Stéphanie, Julien me prend par le bras.
- Laisse Yann, c'est trop tard, elle va tout raconté.

- Mais peut être que..
Je n'ai même pas la force de finir ma phrase, les larmes monte à mes yeux, il va sûrement perdre son boulot à cause de moi, si je l'avais pas embrassé la première fois, il aurait jamais eu ce problème.
Julien me sert dans ses bras comme pour me faire comprendre que ce n'est pas de ma faute et qu'il m'en veut pas. Mais c'est plus fort que moi, je culpabilise.

-Allez rentre chez toi il est déjà 18h.

- Julien je...

- Je t'aime aussi. Dit t'il.

Lorsque je me retrouve dans le bus, une boule au ventre ce fait sentir, il me faut un effort incroyable pour ne pas me mettre à pleuré dans le bus devant tout ces inconnues.

Lorsque j'arrive chez moi, je pose mon sac et mefondre.
Debout, en plein milieu de l'entrée je tombe en sanglot. Mes larmes coule et je les sens pénétré dans ma bouche.

A vrai dire ce soir là je n'arrive à rien avalé et décide de me couché.
Ma nuit est agité, j'ai du me réveiller une dizaine de fois et pleuré exactement le même nombre.
Lorsque je me réveil il est 10h. Je devrais aller en cours mais je n'ai aucune force et décide de resté dans mon lit.
11h, 12h, 15h. Je passe ma journée entre dormir et pleuré.  J'ai du versé plus de larmes en moins de 10h qu'une cascade contient d'eau.
Au moment exact ou j'ouvre les yeux, mon portable s'allume. Je regarde,  c'est un message de Julien.

"J'ai était convoqué chez madame la doyenne, je suis renvoyé et je ne peux plus exercé ce métier en france. Je t'aime"

Aussitôt le message lu, je me remets à pleuré et jette mon portable au sol.

storm (gay)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant