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Quand je sors de la faculté, je suis encore perturbé par ma rencontre avec le professeur de math. Je ne peux pas rentré chez moi, pas maintenant, ma mère ce doutera que quelque chose ne va pas. Je décide alors, de me promené un peu en ville, histoire de me changé les idées.

Il est 18h, il y a plus grand monde dans les rues. En marchant dans les rue pavés, je repense à Julien, son sourire, ses yeux, sa prestance.

Après m'être acheté un pain au chocolat chez paul, je decide de reprendre le bus.

En arrivant à la maison, je salut de loin ma mère afin d'évité de croisé son regard et me dirige directement dans ma chambre.

Plus tard, assis sur mon bureau, j'essaye de lire orgeuil et préjugés mais je n'arrive pas à me concentré, je suis toujours troublé par le regard intense de julien.

Il est 20h quand je décide finalement de sortir de ma chambre pour prendre le repas dans la cuisine.

- Ça va Yann ? Me demande ma mère
C'est parti pour l'interrogatoire made in mother.

- Bah oui man', pourquoi sa n'irai pas ?

- Je sais pas, tu es bizarre ce soir.

- Ah non, c'est juste que j'ai pas mal de truc à révisé pour la fac

- D'accord chéri

J'aimerais tant lui dire ce que j'ai sur le coeur mais c'est impossible, j'ai peur de sa réaction on apprenant mon homosexualité.

Le menu du soir : spaghettis bolognaise, un de mes plats préféré.

Je mange rapidement.

A 20h, je regarde avec ma mère plus belle la vie, c'est notre rituel du soir.

Demain j'ai cours à 9h, je décide donc de me couché tôt.

Il doit être dix heures du soir quand je suis dans mon lit.
Allez hop, j'éteins la lumière.
22h30, 23h, 00h, les heures défile sans que le moindre sommeil arrive.

Je pense à julien et presque instantanément une érections ce développe à l'intérieur de mon boxer.

Sans que je m'en rend compte, je descend ma main au niveau de mon entre jambes et l'insére dans mon boxer.

Le retirant, je laisse échapper mon membre en érection.

J'en poigne mon sexe dans ma main et fais des vas et viens.

En même temps que je me masturbe, je m'imagine dans les bras de Julien, il me déshabille, je suis nu face à lui, je me baisse et descend sa braguette pour le sucer, il bande vraiment. Sous les coups de ma langue sur son sexe, il gémis.

Mes vas et viens de ma main, ce font de plus en plus rapide. Peu de temps après, j'ejacule comme jamais auparavant.

Allongé, ma semences sur mon ventre, je me demande ce que je viens de faire.

storm (gay)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant