✍️Onze

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- Où est-ce qu'on va ? Demanda-t-elle avec un grand verre de jus en main, qu'elle avait eut du Chef Lee




- Pour que tu digères, on ira faire les courses et s'il ne se fait pas trop tard, on ira au parc d'attraction... répondit-il, la faisant sourire




- Que va-t-on acheter là-bas, au centre commercial ?




- C'est à toi de voir... dit-il





- Oh moi ça va. On peut directement aller au parc d'attraction si vous voulez... dit-elle le faisant sourire




- Tu ne veux pas faire des courses ? T'acheter de nouveau truc ?




- Mes vêtements ont l'air si vieux que ça ? Demanda-t-elle un peu gênée





- Mais non... mais comme une ado, je me suis dit que ça te plairait de faire des courses et de t'acheter de nouveau truc, mais bon d'accord, on va à Everland.
Il faut tout de même que tu digères un peu, au risque de tout rendre en faisant les manèges à sensation forte.





- D'accord, on y va pour les courses alors... dit-elle




- Au centre commercial... dit-il à son chauffeur qui roula en direction du centre commercial





- Vous comptez reprendre vos écrits et la cuisine, non ?




- Les livres, j'en ai plein en stock et plusieurs sont sortis quand j'étais au camp, mais seulement en Amérique.
Une fois que je serai de retour à la maison, je permettrai à mes éditeurs de les rendre un peu partout à nos partenaires.
Et pour la cuisine, je ne cuisinerai que dans des grands moments, avec des personnalités haut placées comme d'habitude.
Sans me vanter, tenir un restaurant et y être tout le temps ne me dit rien qui vaille.
J'aime être maître de mon temps.
Je décide quand et où je veux servir. En même temps, je peux écrire, prendre soin maintenant de toi, aussi de mes petites activités.




Elle lui sourit




- Avec tout l'argent et votre talent, comment ça se fait que vous n'ayez ni femme ni enfant ?




- J'ai un enfant... dit-il, la rendant confuse




- Ah bon ? Vous m'avez d... et en voyant le sourire qu'il arborait, elle se tut en souriant de plus bel






- C'est toi mon enfant et tu me suffis amplement.
Les femmes, de mon vivant, je n'en ai pas trouvé qui soit là pour aimer la personne que je suis derrière Mister Park.
Maintenant que tu es là et moi aussi, je crois que ça me va.
C'est sûr que tu ne partageras mon amour et mon attention avec personne.
Ça ne te dit rien ?




- Bien sûr que si. Ça me va à ravir... dit-elle toute souriante.
Mais si vous trouvez la bonne, c'est évident que je ne m'y opposerais pas.
Surtout si elle est gentille et vraie




- C'est donc un point pour tout.
Après et toi ? En tant qu'ado, tu as des attaches ici, du genre petit copain et autres ?




- Oh non... dit-elle dans un sourire triste.
Qui voudrait d'une fille qui ne connaît pas ses parents, de plus, qui continue de dormir dans un orphelinat ?




-Peut-être que ses jeunes personnes te l'ont dit ainsi et j'en suis désolé, mais je t'interdis à toi, de parler ainsi.
Tu me connais moi, et tu devrais être heureuse d'être en vie et en santé, dormant dans un orphelinat, que morte ou très malade, dans un hôpital ou même dans la rue.
Peu importe ce qui se passe dans ta vie princesse, ne laisse jamais les autres te rabaisser.
Je t'interdis même de vivre selon les jugements des autres.
Chaque personne est unique, avec quelque chose qui la caractérise.
Tu ne perdras donc pas ta valeur pour des idioties racontées par des enfants... n'est-ce pas ?



Fille de Park GRAYOù les histoires vivent. Découvrez maintenant