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Merde ! J'ai fais le con je me suis trop envoyé de drogues en l'espace d'une journée et j'ai eu un black-out total.
Je me rappelle juste que j'étais dans les bras de la diablesse et après plus rien.

Ma tête, j'ai horriblement mal, je me lève avec beaucoup de difficulté et je vois que sur ma table de chevet il y a un post-it.

« Gros con ! Tu t'ai endormi dans ma voiture et tu as vomis en plus !
Alors la prochaine fois que tu as envie de te défoncer la gueule comme tu as fait, je te demanderais de le faire chez toi OK !
Bon, je t'ai posé une bouteille d'eau et des Doliprane pour ta tête.
A toute mocheté.
Mara ! »

Je bois donc la bouteille d'eau et je prends 1 Doliprane, non j'en prends 4 peut être que ça ira plus vite.
Après avoir but toute la bouteille d'eau je pars dans le salon.

Je descend les escaliers et je vois Rindô qui coiffe Mara et Ran lui il dit rien et joue à la play

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Je descend les escaliers et je vois Rindô qui coiffe Mara et Ran lui il dit rien et joue à la play.

Ran : Tient la belle aux bois dormants.
Comment va tu ? Dit t'il en me taquinant.

Moi : Ta gueule Ran. Dis-je énervé.

Mara : Tu devrait t'habiller Sanzu tu est nue.
Hier je t'ai déshabillé vue que tu t'ai vomi dessus.
Dit t'elle en crachant la fumée de sa cigarette.

OK j'en ai marre d'elle, je vais me la faire.

Moi : Dit moi, je ne t'ai rien demandé d'accord !
Tu prends pour qui ? Ma mère peut être ?
Et puis pourquoi d'un coup tout le monde te lèche le cul, tu est la pute du chef c'est ça ?
Dis-je en cassant un vase en verre par terre.

Ran : Sanzu ne pique pas tes crises de colères quand tu vient de te lever. Dit t'il neutre.

Rindô : On lèche le cul a personne gros.
Dit t'il en continuant de coiffer Mara.

Voir cette femme ça me crispes !
Je t'ai rien demandé moi, tu n'était pas obligé de prendre soin de moi j'ai besoin de personne moi.

Mara se lève et elle s'approche de moi doucement, elle me fais un sourire remplis de tendresse et elle me gifle très fort.

Mara : C'est pas parce que tu te came que je vais être gentille avec toi trou du cul.
Je sais que tu ne m'a rien demandé, mais moi j'aurais aimé qu'on m'aide.
Et non désolé de te décevoir mais je ne suis pas la pute de Mikey.
D'ailleurs même avec un bâton je ne le toucherais pas.
Tu est vraiment pathétique comme mec.
Et dire que tu est le numéro 2 laisse moi rire.
C'est ça le Bonten dès gamin !!!
Dit t'elle avant de partir en claquant la porte.

Je me touche le visage et je sens un léger petit picotement, elle n'y ai pas allée de main morte.

Rindô : Bravo Sanzu ! Bien joué mon gros il va être heureux Mikey quand il va savoir que Mara se balade toute seule dehors parce qu'un abruti n'a pas sut dire « merci ». Dit t'il en applaudissant.

Mon enfer s'appelle MaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant