11

794 64 63
                                    

Putain je suis un vrai con, j'étais jeune à l'époque et j'étais pas vraiment le même à vrai dire.
J'ai aucune excuse mais je m'en veut de ne pas l'avoir reconnus plus tôt.

Mikey : Ok, bon on va la chercher elle est capable de faire de la merde.
Dit t'il en sortant de ma chambre.

Je m'habille car elle m'avait dérangé pendant que je me soulageais.
Je ramasse la photo de moi jeune et je la dépose sur ma table de chevet enfin ce qu'il en reste car Mara a calmé ses nerfs dessus.

Ma pauvre table de chevet.
Je sors de ma chambre, je ferme la porte et je descend les escaliers pour me rendre dans le salon.

Rindô : Bravo Sanzu ça c'était une dispute de couple. Dit t'il mort de rire.

Koko : Elle t'a pas raté Mara, tu as une jolie trace de gifle.
Les femmes toutes des furies. Dit t'il désespéré.

Merci beaucoup les potes ! C'est gentil...
Je crois bien que c'est la raison pour laquelle j'ai cette envie de la posséder.

Ran : Je suppose qu'on va devoir la chercher.
Dit t'il en se levant du canapé.

Mikey : Ouais. Dit t'il neutre.

Rindô : Tu sait où elle est peut être ?

Koko : Je sais. Venez on y va.
Dit t'il en regardant Mikey.

De suite je sens que Mikey se crispe.
Nous sortons tous de la maison, je monte dans la voiture de Koko et les frères Haitani prennent une moto.

Moi : Vous avez fait quoi ? Dis-je curieux.

Koko : Il a dépensé 50.000 Y pour les beaux yeux de Mara.
Dit t'il en râlant.

Aïe ! Koko en susu le pauvre il va nous faire une attaque je crois.

Moi : C'est vrai qu'elle a de beaux yeux.
Dis-je à l'ouest.

Mikey se tourne vers moi comme je suis derrière les mecs et il me regarde intensément.
Merde.

Mikey : Hm. Dit t'il en s'asseyant correctement.

Koko : Ouah cette conversation. Dit t'il en riant.

Nous prenons des ruelles étroites et très sombres.

Mikey : Après avoir récupère Mara, nous devons voir un client des filles, apparement la nuit dernière il a osé tapé une fille.
Et par taper je veut dire qu'elle est à l'heure actuelle hospitalisée.
Je veut tester Mara.
Dit t'il très énervé.

Moi : Ok chef. Dis-je neutre.

Je prends trois petites pilules et je plane.
La tête de la diablesse revient dans mon esprit, elle est nue sur moi, elle me tend une cigarette que j'ai put goûter la dernière fois, nous planons tout les deux, son visage est couvert de sang car nous avons pris notre pieds à tuer.

Elle me lèche le cou, remonte sa langue sur mes cicatrices et me regarde avec envie.

Koko : Tu gémit pervers. Dit t'il en me hurlant dessus.

Moi : Oh. Hahaha. Dis-je en riant très fort.

Koko : Qu'est-ce qu'on va faire de toi.
Dit t'il désespéré.

Mon enfer s'appelle MaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant