Mon enfer s'appelle Mara

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5 mois se sont écoulés, je vis toujours avec Ran, Rindô et Sanzu.

Je suis dans le bain de la salle de bain, après être sorti de l'hôpital, Sanzu a demandé lui même d'intégrer une clinique spécialisée pour les personnes ayant des problèmes de dépendance.

Il est resté 4 mois, car sa conseillère trouvait qu'il se débrouillait très bien, et qu'il était déterminé depuis Sanzu ne touche plus aucunes drogues.
Certes à des moments c'est très compliqués car il a des phases de manque mais je suis avec lui et nous traversons tout ça ensemble.

J'ai retiré mon stérilet il y a maintenant 1 mois, nous n'avons pas eu le temps de faire un enfant, il était occupé avec Koko et Mikey.
Donc nous n'avons pas eu le temps de nous voir il me manque terriblement, un mois sans lui c'est trop long.

J'étais tous les soirs accompagné de Ran et de Rindô, nous avons fait des soirées pyjama, soirées karaoké, films et même Monopoly et j'ai put constater que Rindô est un gros tricheur et Ran est mauvais joueur.

J'entends qu'une personne toc à la porte de la salle de bain.

Moi : Pitié Ran ! Tu ne sait pas ce que ça veut dire « utilise la salle de bain avant que je prenne mon bain. »
Tu casses les couilles !!!
Dis-je en hurlant.

On ouvre la porte, je saute du bain, je prends la personne dans mes bras, ma tête est posé sur le creux de son épaule, je respire son parfum et je pleure.

Sanzu : Tu m'a terriblement manqué Mara.
Dit t'il en refermant la porte à clé derrière lui.

Moi : Putain de merde, mais où était tu ?
Dis-je en colère et en reniflant.

Sanzu : C'est une surprise.
Je vois que tu est déjà nue, bien bien...
Tu as retiré ton stérilet, donc tu sait ce que ça veut dire ?
Dit t'il en me regardant malicieusement.

J'ai l'impression d'être un morceau de viande, je recule lentement de lui mais il n'est pas du même avis que moi.

Sanzu : Non, non. Tu ne t'échappera pas, pendant 1 mois je ne t'ai pas vue, seul dans mon lit, je t'ai imaginé dans différentes positions, et crois moi que je vais rattraper le temps perdu.
Mara, fait péter la machine à bebe !
Dit t'il en me claquant les fesses.

Nous avons passés des heures et des heures dans la baignoire, nous nous sommes enfin retrouvés, j'ai l'impression de respirer à nouveau.

Je grimace car Sanzu manque encore de délicatesse et j'ai mes jambes qui me font souffrir car elles ont subit les conséquences de sa brutalité.

Moi : Aïe, la prochaine fois, c'est toi qui va morfler. Dis-je avant de lui tirer la langue.

Sanzu comme réponse, prend mes jambes et les poses sur ses épaules.

Sanzu : J'ai lu dans un livre, qu'après avoir fait l'amour, le fait de mettre les jambes en l'air favorisait les chances que la femme tombe enceinte.
Dit t'il heureux comme un con.

Moi : Attend ? Toi tu as lu un livre ? Dis-je admirative.

Sanzu : Alors ça ce n'est pas gentil ! Vient ici !
Dit t'il en tirant mes cuisses.

Cette position est très gênante mais je vois Sanzu qui est excité.

Sanzu : Ma petite prépare toi ! Je vais te faire crier.
Dit t'il en se léchant les lèvres.

Il s'attaque violemment à mon clitoris, je gémis et Sanzu lui me fait du bien.

Après avoir fini d'avoir torturé cette zone si petite et si sensible, on se lave encore une fois, nous rions comme des enfants, je fais en sorte qu'il y ai pleins de mousses dans le bain, mon copain lui préfère faire des bulles de savon.