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Je suis suspendu, mon sang coule au sol, j'ai l'impression de ne plus être moi même, je me sens sale, j'ai perdu la notion du temps, entre les coups portés, les drogues qu'ils me forcent à avaler et les autres sévices corporels je pense que je vais mourrir ici.

Être mort a cause des drogues qu'elle ironie du sort.

Ayant les yeux fermés, j'ai des images de Mara qui me viennent, nous sommes ensembles sur le sable chaud, elle qui me murmure à l'oreille qu'elle m'aime et qu'il y a que moi qui compte à ses yeux.

Je l'imagine enceinte, ses cheveux sont plus longs, elle rayonne de bonheur, elle est assise sur notre canapé et nous feuilletons ensemble le livre pour trouver le prénom de notre enfant.

On me frappe violemment et j'ouvre les yeux.

Moi : J'étais entrain de rêver la. Dis-je froidement.

Kisaki : Encore en vie, a croire que tu est increvable.
Et si j'appuie ici, ça te fait mal ?
Comme j'ai hâte de tuer ta femme devant tes yeux.
Dit t'il avant de rire.

Avant de sombrer, il m'a bien entaillé le ventre et il appuie sur cette blessure.
Je grimace légèrement suite à l'effet que ça me fais et je baille.

Moi : C'est tout ? Parce que tu penses que toi petit être insuffisant et insignifiant tu va pouvoir tuer ma belle Mara.
Oh Kisaki soit réaliste, on peut se tutoyer ? Non ?
Nous sommes proches maintenant ?
Dis-je avant de rire comme un psychopathe.

Il me gifle et commence à me passer à tabac.
Ni je hurle et ni je lui donne la satisfaction de pleurer.

Kisaki : Je vais tous les tuer, en bas un joli comité d'accueil patiente, j'ai tellement hâte Sanzu.
Dit t'il en remettant ses lunettes.

Moi : Sérieux met des lentilles car ça la ce n'est plus possible ton tic. Dis-je en secouant la tête.

Kisaki : Tu fait le malin, profite avant qu'il soit trop tard. Dit t'il en me secouant.

Alors déjà que je ne t'aime pas du tout, si tu peut bien arrêter de me prendre pour un punching-ball.

En bas, je peut entendre des coups de feux et des rires diaboliques.

Ah ! La cavalerie est la ! Il était temps j'ai faillis m'ennuyer moi.
Un homme arrivé paniqué et court vers Kisaki.

Homme : Kisaki, nous avons des problèmes, ils sont là.
Dit t'il essoufflé.

Kisaki : Je ne comprends pas ! Vous êtes tous nuls putain vous ne servez à rien vraiment.
Dit t'il en colère.

Moi : Ce n'est pas tes hommes le problème, c'est toi. Dis-je en lui crachant dessus.

Ah ça me démangeais, je ne pouvais plus me retenir il le mérite.
En retour il me met une droite, je pense que tu profite un peut trop de la situation mon petit Kisaki.

L'homme qui me tient en joue avec son pistolet vient de s'écrouler au sol.
Je pris de frénésie, je pars en fous rire, toute ma folie me prends quand je vois l'équipe du Bonten.

Mikey entre le premier suivit de Koko, je ne vois ni Ran, ni Rindô et encore moins Mara.

Mikey : Assit. Dit t'il froidement.

Kisaki : Je n'ai pas d'ordres à recevoir de toi.
Dit t'il hautain.

Mikey : Assit. Dit t'il une deuxième fois.

Mon enfer s'appelle MaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant