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Complètement à l'Ouest je me réveille avec beaucoup de difficultés, il faut que je me ressaisisse je perds de vue ma mission.

Mara tu est plus forte que ça quand même, mais ma dispute avec Sanzu a fait remonter en moi mes pires envies.

Sanzu : Bonjour Mara. Dit t'il à mes côtés.

Sa mère ! Sanzu.
Je me liquéfie immédiatement quand j'entends sa voix du matin qui est trop sexy.
J'ai une attaques ! RÉANIMER MOI !
J'ouvre les yeux lentement et j'ai une vue sur le torse nue de Sanzu et j'ai la tête dessus.

Moi : Haaaaaaa. Dis-je en criant.

Je me touche pour vérifier si je bien habillé.
Je regarde le vêtement qui me couvre le corps, j'ai une grande chemise blanche et je flotte dedans.

Sanzu : Mes oreilles démone.
Dit t'il en se levant légèrement.

Il allume une cigarette et je vois qu'il va commencer à parler.
Je pose un doigt sur sa bouche et j'ai affreusement honte.

Moi : Sanzu, pardonne moi. Dis-je honteuse.

Il me tire et je tombe sur lui, là le cauchemar commence il me fais des chatouilles.
Je suis hyper sensible comme femme niveau chatouille c'est mon point faible.

Moi : Sanzu arrête. Dis-je en riant.

Sanzu : C'est ta punition subit femme.
Dit t'il en continuant sa douce torture.

Moi : RINDÔ ! RAN ! AU SECOURS.
Dis-je en poussant un cris trop bizarre.

Sanzu : Beauté, tu penses vraiment qu'ils sont là.
Tu est seule avec moi.
Dit t'il en me regardant intensément.

Aïe ce regard, mon coeur il est fragile.
Ok calme toi Mara tu peut gérer un mec.
Pourquoi j'ai l'impression d'être une prépubère qui est entrain de vivre sa première relation amoureuse.

Il arrête subitement ses chatouilles et dans ses yeux je peut voir apparaître une légère tristesse mélangé avec de l'envie et de la passion.

Moi : Sanzu je ne peut pas, j'ai quelque chose à te -

Sanzu : Ne me dit rien Mara.
Dit t'il avant de prendre ma bouche en otage.

Notre baiser est timide, très doux, malgré nos caractères le baiser est bien différent.
Pendant ce moment très doux je sens de l'eau qui se mêle à nos langues.

J'arrête ce moment magique, en relevant la tête je vois Sanzu qui pleure, non ne me fais pas ça, pas maintenant Sanzu.

Sanzu : Excuse moi Mara.
Je ne te mérite pas, j'ai étais nul dès le début, je t'ai laissé seule, je ne suis jamais venu t'aider ce jour là.
Regarde moi, qui voudrait de moi ?
Mara tu est ma punition divine.
Je ne veut pas te faire sombrer.
Dit t'il en s'éloignant de moi.

Il se lève, il part chercher sa came, il dépose tout sur sa table et il se drogue sous mes yeux.
Sanzu ce n'est pas en te droguant que tu iras mieux, certes je ne suis pas là mieux placé pour parler mais quand même.

Sanzu : DÉGAGE MARA ! Dit t'il en me criant dessus.

Je me lève de son lit et je pars, je ne pleure pas, je ne suis pas triste, psychologiquement j'appuie sur un petit bouton qui me permets d'oublier ou d'effacer mes sentiments.
Ouais ! Être flic dans le service anti gang a de bons côtés au final.

Une fois que je suis sur de rien ressentir, je pars dans la chambre de Rindô.

Moi : Espèce de connard vicieux !
Tu était là et même pas tu m'aide !!!
Dis-je en lui fessant un doigt d'honneur.

Rindô : Ha, pourquoi tu avait besoin de moi ?
Dit t'il morte de rire.

Moi : Pf, bon j'ai besoin de me défouler, il y a une salle de sport ? Et j'aimerais avoir des vêtements de rechanges si possible. Dis-je en soufflant.

Rindô : Avec mon frère nous t'avons libéré une pièce, ça sera ta chambre aller suit moi furie.
Puis Mikey a fait les boutiques pour toi, donc tu as des fringues et oui Mara il y a une salle de sport au 11em étage.
Dit t'il avant de se lever de son lit.

Je suis trop curieuse de savoir où je vais dormir, en plus toutes les pièces sont très belles j'adore.
Rindô passe devant la chambre de Sanzu, en passant j'essaie de voir et là je le vois par terre en plein délires.

Sanzu : Maraaaaaaaa ! Putaaaaain ! Je t'aime, je te déteste, je te veut mais je ne te mérite pas.
Dit t'il en se roulant par terre.

Nous dépassons sa chambre et Rindô s'arrête brutalement et hop je le percute.

Rindô : Il est souvent comme ça, nous avons tous l'habitude maintenant.
Il a des sautes d'humeurs terribles.
Je suis désolé tu seras en face de sa chambre.
Dit t'il en ouvrant la porte.

Moi : Oh c'est trop beau putain de sa mère ! Merci beaucoup Rindô

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Moi : Oh c'est trop beau putain de sa mère ! Merci beaucoup Rindô. Dis-je en le prenant dans mes bras.

Sanzu : Ça va ? Je ne vous dérange pas. Dit t'il neutre.

Rindô : Non pas du tout Sanzu. Dit t'il en rigolant.

Sanzu : Quand vous avez finis de vous enlancer, Mikey nous attend en bas.
On doit bouger. Dit t'il avant de partir.

Moi : Euh? Ah ouais il est vraiment bizarre en faite. Dis-je en percutant à son changement d'humeur.

Rindô : C'est Sanzu le bipolaire-psychopathe , qui a tout fait tout à l'heure avant que tu te réveille.
Laisse le tranquille, je crois qu'il a besoin de souffler à sa manière.
Il ne faut pas que ça te touches.
Dit t'il en partant.

Je sais qu'il ne faut pas que ça me touche, car il est toxique comme mec déjà et de deux car je suis sensée détruire le Bonten.
Et la j'ai pas envie car j'ai l'impression d'avoir trouvé ma place.
Enfin !

Je descend des escaliers et je vois Mikey au milieu du salon.
Je me mets à côté de Ran.
Attend j'ai crié comme une folle et personne n'a jugé bon de venir à mon secours.
Ok bande de kiki dégarnis.

Mikey : Bien, un client doit payer pour ce qu'il a fait à une de nos filles.
Mara je veut voir ce dont tu est capable de faire.
Tient, enfile ça et après on part.
Dit t'il en déposant un vêtement enveloppé d'une couette noir.

Je prends le cintre et je pars me changer.
Alors si c'est ma première mission avec eux je dois à tout prix leurs montrer de quoi je suis capable.

Ok Mara il ne faut pas que tu rate cette opportunité.

Mon enfer s'appelle MaraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant