Chapitre 42

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Chapitre presque entièrement Lemon

Il était un peu plus de trois heures du matin et les invités venaient de repartir. Le jeune couple marié se dirigea vers l'hôtel où Maxence avait réservé une suite. Il n'avait pas pris la plus chère mais elle était parfaite pour eux, à en juger les photos sur le site de l'hôtel. Le brun savait très bien qu'ils n'allaient pas scruter les moindres détails de la suite. Mais il voulut quand même marquer le coup. C'était quand même la première nuit qu'il allait passer avec son amoureux en tant que mariés. Une fois arrivés sur place, le plus âgé se gara et ils sortirent de la voiture. Ils marchèrent main dans la main jusqu'à l'accueil où une jeune femme les accueillit.


– Bonjour, j'ai réservé une suite au nom de Brunet-Lemont. Annonça Maxence.

– Bonjour, effectivement. Je vous donne votre clé. La suite se trouve au cinquième étage et c'est le numéro cinq-cent-douze. Répondit la jeune femme.

– Merci.


Cela avait fait chaud au cœur à son mari qu'il réserve la suite sous leur nom de mariés. Le couple prit l'ascenseur pour arriver au cinquième étage. Ils cherchèrent la suite et une fois devant, Maxence ouvrit la porte à l'aide de la clé et prit, en mode princesse, son mari. Antoine rit de plus belle. Il embrassa la joue du plus vieux et ils entrèrent dans la suite. Le blond regarda les alentours et trouva la chambre très belle et spacieuse.


– C'est magnifique. Je peux voir la salle de bains ? Demanda Antoine.

– Je t'y emmène.


Maxence garda son homme dans ses bras. Ils allèrent vers la salle de bains, qui était très grande et belle. Après ce petit tour du propriétaire, Maxence posa son homme au sol et plaqua ses lèvres sur celles du blond. Antoine répondit, évidemment, au baiser. Les mains du brun s'agitaient pour enlever le nœud de papillon du plus jeune. Leurs vestes de costume tombèrent sur le petit fauteuil à côté d'eux, avec leurs nœuds de papillon. Le plus âgé fit tomber son blond sur le lit qui faisait deux fois la taille du leur. Il se positionna à califourchon sur Antoine et reprit ses baisers enflammés. Leurs mains déboutonnaient la chemise de l'autre. Ces dernières tombèrent sur le sol. Antoine caressa le torse de son mari et se mordit la lèvre inférieure. Il le trouvait tellement magnifique. Les baisers de Maxence reprirent et le cou du blond fut attaqué.

Antoine poussa quelques gémissements quand il sentit le bassin du brun se frotter au sien. Les garçons étaient déjà bien durs. Le plus âgé descendit ses baisers le long du torse du plus jeune et Antoine se cambra par moments. Ses mains se trouvèrent dans les cheveux du brun. Maxence, jugeant que le pantalon de son amoureux était de trop, l'enleva. Il vit qu'effectivement, Antoine était serré dans son caleçon. Le cadet déboutonna le pantalon de l'ainé pour qu'ils soient égaux. Celui-ci trouva, également, le sol. Ils étaient tous les deux en caleçon et haletants. Maxence donna un petit coup de bassin ce qui fit gémir fortement le blond et le fit cambrer. Le brun, étant fier de son effet, recommença plusieurs fois et obtenu le même résultat. Maxence reprit ses baisers et n'hésita pas à faire des suçons à son blond préféré. Il descendit ses baisers et arriva au boxer d'Antoine. Il décida de le descendre à l'aide de ses dents. Le blond l'aida en se soulevant un peu.

Une fois le caleçon enlevé, le brun embrassa le sommet du membre de son homme. Le blond poussa un gémissement avant que le plus âgé le prenne en bouche. Il se retira pour prendre le lubrifiant et s'en mit sur les doigts. Maxence reprit le membre d'Antoine en bouche et dirigea un premier doigt vers l'entrée de son amoureux. Il entra son doigt et le blond se cambra encore. Le brun s'activa autour du membre de son mari. Le cadet gémissait de plus en plus. L'ainé finit par entrer trois doigts sans pour autant arrêter sa fellation. Antoine était haletant et rouge de plaisir. Fallait dire que Maxence n'était pas mieux. Le blond se libera dans la bouche de son homme et celui-ci avala avec plaisir. Il retira ses doigts pour faire entrer délicatement son membre.

Tel Un PhoenixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant