Chapitre 37

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La soirée de noël était terminée. Il était maintenant deux heures du matin et les convives étaient sur le point d'aller se coucher. Ils se saluèrent tous avant d'aller dans leurs chambres respectives. Une fois que Maxence fut dans la chambre, Antoine prit possession de ses lèvres. Ils s'embrassèrent langoureusement et le blond fit tomber la chemise de son futur époux. Celle d'Antoine ne tarda pas à trouver le sol. Le cadet poussa son homme sur le matelas. Il le regardait avec envie. Le blond s'approcha de son compagnon et se mit au-dessus de lui.


– Non. Dit Maxence.


Le brun poussa son amoureux et le plaqua sur le matelas. Antoine se retrouva sur le dos avec Maxence au-dessus de lui.


– Là, c'est mieux. Ajouta le brun avec le sourire.


Antoine tira doucement sur la chaine en argent de son compagnon afin de l'embrasser avec fougue. Cela prouvait à Maxence que son copain était plus que ravi de leur position. Le plus jeune caressa le torse du plus vieux avec tendresse. Le brun frissonna à ce contact. Les lèvres de Maxence s'aventurèrent dans le cou du bouclé. Antoine mordit sa lèvre inférieure et décala sa tête pour laisser le champ libre à son futur mari. La main gauche du blond saisit les cheveux de son amant. Il poussa un petit cri quand il sentit que Maxence lui mordit la peau du cou. Les baisers du plus vieux descendirent sur le torse du plus jeune. Il parsema tout le torse du bouclé qui poussait quelques gémissements.

Arrivé à la ceinture d'Antoine, Maxence prit l'initiative de la déboucler et de déboutonner le jeans de son amant. Antoine l'aida à lui retirer son bas. Le brun vit que son fiancé était déjà très excité. Leurs respirations étaient saccadées alors qu'ils n'étaient qu'au début de leurs ébats. Le cadet décida de retirer le jeans de Maxence. Lui aussi était déjà bien excité ce qui fit sourire le plus jeune. L'ainé plaqua leurs corps l'un contre l'autre et prit possession des lèvres de son amoureux. Il frotta leurs bassins ensemble, ce qui les fit gémir en même temps. Antoine maltraitait déjà la peau du dos de Maxence mais ce dernier s'en fichait complétement.

Le brun arrêta ses mouvements de bassin et libéra l'érection de son amoureux. Antoine enleva le caleçon de Maxence et saisit le membre de ce dernier. Le cadet effectuait quelques va-et-vient avant que l'ainé ne le stoppa dans son élan. Maxence prit, ensuite, en bouche le sexe de son futur mari. Antoine gémit directement. Il se cambra quand son fiancé fit des mouvements de va-et-vient sur son sexe. Les gémissements d'Antoine se firent de plus en plus bruyants. Après de longues minutes, le blond se libéra dans la bouche de son vis-à-vis. Maxence avala sans broncher et remonta ses baisers le long du torse du cadet. Il l'embrassa avec fougue avant de saisir le lubrifiant et d'en mettre sur ses doigts. Il dirigea son index vers l'entrée de son amoureux. Antoine se cambra quand il sentit le doigt de Maxence entrer en lui. Le brun prit possession du cou du cadet.

L'ainé fit des mouvements de ciseau quand il entra un deuxième doigt. Antoine n'arrêtait pas de gémir ce qui ravi son compagnon. Maxence lui fit plein de suçons dans le cou pour qu'il oublie la douleur qu'il ressentait quand un troisième doigt entra en lui. Les ongles d'Antoine entrèrent encore plus dans la peau du dos de Maxence. Une fois que le blond fut suffisamment préparé, le brun positionna son sexe près de l'entrée de son copain et entra doucement. Il ne fit aucun mouvement le temps qu'Antoine s'y fasse. Le cadet fit un mouvement de tête pour faire comprendre à son petit-ami qu'il pouvait y aller.

Maxence embrassa son compagnon avant de s'allonger sur lui. Antoine noua ses jambes dans le dos de son futur époux. Le brun fit de doux va-et-vient. Les deux amants gémirent en même temps. L'ainé tapa une première fois la prostate de l'homme qu'il aimait. Antoine poussa un gémissement puissant. À l'heure actuelle, ils s'en fichaient si les autres habitants du chalet les entendaient. Antoine fit comprendre à son amoureux qu'il devait accélérer ses coups de bassin. Le brun ne se fit pas prier et accéléra, avec plaisir, ses coups de butoir. Les deux gémirent de plus en plus fort. Ce fut encore plus intense à chaque fois que Maxence tapa dans la prostate d'Antoine.

Tel Un PhoenixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant