PARTIE 10 - On se fait du mal parce qu'on s'aime
A la fin j'étais toute seule avec lui.
Moi : En sah, smeh,( désolé ) j'ai fais la con et je le sais d'avoir écouter et tout.
Lui : Non mais t'avais raison wesh.
Moi : M'ouais.
Lui : On fait la paix ?
Il me tendit la main et mon téléphone sonna je voyais s'afficher : La Bête ( oui maintenant il m'avait mit Walid la bête ) et Soriya qui m'avait dit « Walid te cherches ».
Lui : On fait la paix.
Moi : « Je t'aime ».
Anthony-Sofiane : Sa tombe bien parce que c'est réciproque Antoinette.
Moi : Trop cool alors Mon Jean.
Oui, avec lui nous avons toujours l'habitude de nous dire Je t'aime. Un simple je t'aime pour nous avant c'était pour arrêter de se faire la gueule car on était pas des personnes qui se disaient toujours je t'aime.
Antho : Sah, tu m'as manqué !
Moi : Moi aussi un truc de fou. Tu faisais trop le gamin a faire la gueule.
Antho : Ta gueule Wesh.
On se fit un gros calin lol.
Antho : Alors même pas de zerma amoureux toi ?
Moi : Non non et toi ?
Antho : J'en avais une la de passage.
Moi : Zerma de passage.
On discuta encore et encore. Son téléphone n'arrêtait pas de sonner et moi sah, j'aime pas sa.
Moi : C'est qui qui t'appelle comme sa ?
Lui : Elle.
Moi : Ben répond.
Lui : J'ai pas envie tiens.
Je décrocha le téléphone et sah j'aime trop faire sa. Oui je suis une peste.
Elle : Allo ?
Moi : Oui allo ? ( J'avais bien changée ma voix. )
Elle : Euh c'est bien Anthony que j'appelle la ?
Moi : Oui mon copain quoi. ( oui je faisais une voix de pétasse:) )
Elle : Euh t'es sérieuse toi ? Vas-i passe le moi.
Moi : Si je te réponds c'est qu'il veut sûrement pas, donc ma belle arrête tout la stop.
Elle : Ecoute petite pute passe moi le va.
Moi : Ecoute on va se calmer hein, la pute dans l'histoire c'est toi pas moi tu vois. Il a sa pute et il a sa femme.
A cotée de moi j'avais Sofiane qui rigolait comme un enfant qu'on chatouillait.
Moi : Arrête omri ( ma vie ). Bref écoutes ciao.
Elle : Salle pute, moi je te vois je te nique salle kehba va.
Moi : Ben vas-i je viens maintenant t'habites ou ? On va voir qui ken qui ? C'est toi qui est une habitué non ?
Elle : J'habite à *******.
C'était le nom de ma citée et sah j'étais trop choquée. Je ne reconnaissais pas s'était qui avec cette voix de salope.
Moi : Sa tombe bien moi aussi. Vas-i devant le parc
Elle : Ok ciao kehba.
Je raccrocha et je lui expliqua.l fallait déjà que j'aille changer mes baskets car je voulais pas abimer mes Nike. Sinon j'étais déjà en survetement donc c'était parfait. Anthony me déposa et je monta chez moi changer de baskets.
Ma mère : Tu vas ou ?
Moi : Je vais chez Soriya.
Elle : Tu manges rien ?
Moi : Non.
Mon petit amour de Sofien vient vers moi .
Sofien : Tu joues avec moi ?
Moi : Non je peux pas.
Sofien : T'ES MECHANTE ! T'es plus ma copine !
Moi : Normal, je suis ta sœur.
Sofien : NOON.
Il me donna deux, trois coups de pieds et partie faire la gueule dans le salon devant tout le monde.
Ma mère : SONIA !
Je suis partie les rejoindre dans le salon.
Elle : Sort le avec toi !
Moi : Mais je reviens !
Elle : Et alors sort le !
Moi : Mais non mais je reviens.
Sofien pleurait comme un bébé, mon petit bébé?.
Moi : Je vais t'acheter des bonbons.
Sofien : NOON !
Ma mère : T'fou. C'est pas grave Sofien après le manger on sort.
Sofien : Non je veux maintenant !
Ma mère : Hey ! J'ai dis après.
Walid s'incrusta dans la conversation.
Lui : Oh champion, va mettre tes baskets je te prends dehors.
Je les laissa et mon frère partie en courant mettre ses baskets. A peine je suis sortie qu'il y avait Yassou devant ma porte. On descendit ensemble, il me mit son bras autour de mon épaule.
Lui : Alors Sofiane ? Tu deviens comme les tahranes la sa y est.
Moi: Non mais j'ai pas oublié que tu devais te raser le crane et les jambes si j'ai un copain.
Lui : Walou Walou. ( rien de rien).
On descendit ensemble quand quelqu'un d'autre descendit derrière nous. Je regarda et c'était Walid qui portait Sofien.
J'expliqua a Yassou l'histoire qui voulait me voir me battre lol donc on se dirigea au parc ensemble.
Arrivée la bas, je vis que Walid avait décidé de ramener comme par hasard mon frère la.
J'attendis quelques minutes quand je vis Feriel et des filles s'approchaient.
Feriel : AAAAH Ben Sonia, tu va être d'une grande aide.
Moi : Pourquoi ?
Feriel : Il y a une petite pute, elle se sens plus et elle a fait la belle avec moi car elle connait je sais pas si tu vois Anthony-So du lycée ?
Yassou me regardait d'un air ' C'est quoi sa ' ?. Moi j'étais choquée, je ne savais pas si je devais la taper sur le coup ou me calmer car c'était quand même Fériel. Mais attend, elle sort avec Walid non ?
Feriel ( s'adressant au filles ) : Bon elle fait quoi cette kehba. Vous allez voir Sonia elle va la manger elle se bat trop bien.
Je me leva du banc, je me mis devant elle.
Moi : C'est moi que t'appelle la Kehba ?
Feriel ( explosant de rire ) : Oua t'es trop forte Sonia. Imaginez les filles comme elle va avoir peur en voyant Sonia.
Moi : J'ai une tête a rigoler ?
Je lui donna une gifle qu'elle n'avait pas eu le temps de la voir arrivée.
Feriel : Tu fais quoi la ?
Moi : C'est moi la pute alors ? Qui sais dans cette citée qui joue un double jeu avec monsieur Walid ?
Fériel : Non mais attend Sonia....
Moi : Attend quoi ? Attend quoi ? Tu ne vaux même pas la peine que je te touches non.
Feriel : Non mais ce n'est pas sa.. Sonia, Je te jure Walid, je l'aime et....
Moi : Je suis pas Walid moi. Tu l'aime ou pas je m'en bas les klewis. Vas-i nachave de la !
Elle pleurait oui et en une seconde elle se mit a crier :
Elle : OUI J'aime lui ! C'est toi qui dit sa ! Excuse moi mais je sais tout moi ! JE SAIS TOUT ! C'est sur toi qui se défoule quand il a les nerfs après moi. HAHA , tu crois vraiment pas qu'il va toucher sa femme ! T'es que son punching ball ! Tu pourras aller lui dire ce que tu veux ! L'amour rend aveugle il m'aime moi ! Toi t'es juste sa pute qui vient voir le soir. T'as pas remarquer sa hein ?
Elle continua sa folie a crier, j'hésitais toujours a la taper ou pas chose qu'habituellement je ne fais jamais. Mais aussi, je ne me bats jamais pour un gars..
Moi : OK.
Je pris sa tête entre mes mains et la cogna contre le banc 2x. Elle essayait avec ses ongles de me griffer le visage. Elle avait réussis et sa m'avait mit les nerfs.
Je l'avais prit encore une fois et j'avais mis une balayette, j'étais maintenant sur elle a lui donner des coups de poings. Je voulais qu'elle saigne bordel. Je voulais la voir pleurer. J'étais une sadique a se moment la. Je ne me reconnaissais plus. Ses beaux traits du visages disparaissait.
J'entendais entre des sanglots : Sonia, arrête... C'est bon... Sonia... Oh... So.. Je.. te Jure sa y est..
Une fille me retira d'elle et me releva. A ma grande surprise, il y avait devant nous Walid qui était debout tel un poteau sans mon Sofien. Mais il n'y avait pas que Walid, il y avait mon Anthony-Sofiane.
Feriel : Vas-i... Les filles.. On bouge...
Moi : Viens sahbi on bouge.
Je pris Anthony par son bras et je partais avec lui. De loin, je voyais Walid parlait avec Feriel qui faisait de grands gestes mais je m'en fichais.
Antho : T'es un bonhomme.
Moi : Haha.
Antho : Ben sa y est t'es ma meuf maintenant toi.
Moi : Ben oui.
Antho : Je parles en sah.
Moi : Ben moi aussi.
Antho me prit par le bras et me fixa dans les yeux.
Antho : Je suis sah teh bessah ( je suis sérieuse pour de vrais)
Moi : Moi aussi !
Antho : Helux alors.
On se posa dans un endroit discret,on parla et on rigola. Quelques minutes après il me raccompagna chez moi et me fit un bisous sur la joue.
Le soir Walid m'envoya un message :
Lui « Sors derrière maintenant! ».
Moi : Non:). La pute que tu vois le soir pour te défoulé sur elle, désolé elle n'est pas disponible la.
Lui : Zeubi, Sors ta race.
Il m'appela et je rejetta son appel puis au final éteindre carrément mon téléphone hein.
Le lendemain en cours, j'étais assise tout derrière et Anthony-Sofiane était tout devant. Je le regardait, il était beau même magnifique a mes yeux. Pourquoi je n'étais pas comme toute ses filles qui tombent sous le charme de ses beaux garcon ? Pourquoi on m'avait forgée comme un homme.
Pourquoi tout simplement je ne me comportais pas en fille ? J'étais déçue de moi...
Le soir même j'étais dehors en train de rentrer chez moi quand je sentis un coup de poing violent taper dans mon dos.
Je me retourna et vit Walid qui me mit une gifle. Il était mort. Il était dans un état pitoyable.
Walid : Suis moi.
Je le suivis, oui j'avais pas peur et j'aimais le risque.
On était dans un Bloc. Il donna un grand coup dans une porte et me fit entrée dans un squat ou s'était le grand luxe. Ben oui, il y avait des jeux de play de foot lol.
A peine on était rentrée dedans que je lui donna une gifle.
Moi : Sa c'est pour le coup.
Une autre : Sa c'est pour la gifle.
Une autre : Sa c'est pour m'avoir ramener la.
Une autre : Sa c'est parce que t'es pitoyable.
Il me prit par ses deux mains, me porta et me jeta sur un canapée.
Moi : Je m'appelle Sonia, donc si tu crois que tu va faire quelque chose avec moi essayes seulement.
Lui : Ferme ta gueule, tu t'appelle Ilhem.
Moi : Ta gueule c'est Sonia.
Lui : Ta gueule ! Pourquoi tu veux te faire appeler Sonia ? Ta grand-mère voulait te donner le nom d'Ilhem non ? C'est elle qui t'as élever quand t'avais ta rnouna qui te l'essuyait. Grâce a elle tu donne des coups au mecs. Tu portes tes couilles plus qu'un bonhomme.
Il avait touché mon point le plus faible, ma grand-mère. Rien que quand on m'en parle je pleure des larmes et des larmes.Ma gorge se noua et des larmes coulaient.
Lui : Je sais tout sur toi tu vois. Alors madame veut me la faire a l'envers a sortir avec un autre s'est sa ?
Il s'assit pres de moi.
Walid : Cherches pas Walid, on lui cache rien, on lui ment pas, on lui fait pas doublette.
Moi : Mais je m'en bas les klewis. Antony tu vois il vient pas me voir le soir en me faisant passer pour sa pute.
Il sortit son téléphone et appela Feriel en mettant l'haut parleur.
Elle : Oui mon cœur.
Walid : Je suis avec Ilhem la.
Elle : C'est qui ?
Walid : Sonia.
Elle : Vas-i c'est bon arrête de mentir.
Lui : Ilhem parle.
Je ne dis rien.
Lui : Parle ta race.
Je ne dis toujours rien. Il me serra.
Moi : Aie C'est bon.
Feriel : Haan !
Walid : Bref je vais faire cours. Ilhem, c'est pas une pute. J'ai beau la voir n'importe quand n'importe ou et il se passe rien. La preuve, je suis dans un squat le soir avec elle. La différence avec toi, ou c'est n'importe ou n'importe quand je t'ai Ken non ? Voilà la différence avec une hlel et une pute. Et je la tapes car je veux pas qu'elle vire a gauche.
Feriel : Mais Walid... Moi je t'aime et...
Walid : Encore une différence. Ana nebri Ilhem et Mehlich si hiya matebghinich. ( Moi j'aime Ilhem et pas grave si elle m'aime pas ).
Il raccrocha puis me prit entre des deux mains qui serra fort :
« Je lui ai mentie la, crois pas sa. Mais toi t'es quand même a moi ma Ilhem Zitouna ».
( Petite parenthese Zitouna c'est parce que je kiff les olives lol, et lui il déteste sa. Quand j'allais chez lui, sa mère me préparait une grande assiette et lui voulait vomir dedans voilà )