Chapitre 17

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Salut ! J'espère que vous vous portez bien. S'était juste pour m'excuser des insultes dans le chapitre. Vraiment, sincèrement, je m'excuse. So, bonne journée à vous.


Moustapha

? : Ces terres nous ont été légué par nos ancêtres, nous n'allons pas accepter qu'elles soient briguer et construit par des voleurs sans foie ni loi, quitte à y laisser notre vie, on ne touche pas à nos terres.

Mansour : Il y a eu des affrontements entre les jeunes et nos ouvriers. Maurice à demander aux ouvriers de rentrer, la police est sur les lieux.

Aminata : Monsieur Gadji s'est retiré du projet ainsi que madame Alice.

Depuis ce matin, c'est problème sur problème. Je comprends vraiment rien à tout ça. Il n'y avait aucune faille sur ce projet. Tout a été planifié et peaufiné de bout en bout. Ce matin, on se réveille avec les nouvelles aux journaux selon lesquelles, les terres sur lesquelles nous construisons ne nous sont pas légales ensuite les jeunes de la localité viennent perturber nos ouvriers. Alors que tout est faux, tous nos papiers sont en règles. À tout ça, faut ajouter ces sangsues qui nous collent depuis ce matin à la recherche d'une information croustillante à revendre. Si on ne travaille pas, ne serait ce qu'une journée, on va perdre des millions parce que les ouvriers travaillent sous contrat. Je dois vite régler ce problème sinon Mr Davis risque de me le retirer et je ne veux pas retourner au Canada car si ça arrive, je vais encore devoir gravir les échelons. Et ça reviendra à perdre six années de carrière. Il en est hors de question, je dois nous sortir de là et vite.

Moi : Mansour tu vas coordonner avec la chargée de communication pour entamer des pour parler avec les notables de la localité. S'ils ne veulent pas entendre raison, on utilisera la manière forte parce que tout nos papiers sont en règle, on a rien a craindre. Pendant ce temps, toi Aminata tu vas essayer de convaincre les investisseurs qui ont commencer à se retirer. Maurice je veux que les travaux continuent mais s'il y'a une quelconque résistance, on se retire pour calmer le jeu je ne veux pas de blessés. Je vais convoquer une réunion d'urgence tout à l'heure avec Mr Davis.

Ils sortirent tous de mon bureau, chacun allant s'atteler à sa tâche. Au même moment, Rokhaya arrive.

Elle : Qu'est ce qui se passe ? J'ai vu dans les journaux que...

Moi : C'est vrai. On a un gros problème. Essaye de voir qui peut nous aider dans tes contacts parce qu'on ira au tribunal si besoin.

Elle : D'accord. Je vais faire de mon mieux. On risque de perdre gros avec toute cette histoire.

Moi: Je sais. Mais je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour réduire les dégâts.

Elle : T'es pas seul dans cette histoire. Cette collaboration c'est 50/50, donc ça nous concerne tous. N'en fait pas un problème personnel.

Moi : Ouais. On aura une réunion sous peu pour voir comment faire face.

La porte est ouverte brusquement par Maurice.

Lui : Tous nos contenaires sont bloqués au port pour faute de papier.

Plus rien ne me surprend. J'en ai jusque là.

***
Après une très longue réunion, on sort enfin. Mr Davis, très remonté, va voir avec ses contacts pour régler le problème avec la douane et pour le reste, on va essayer de trouver un terrain d'entente avec les notables de la localité sinon on entame un procès. Si Dieu le veut, tout ceci sera bientôt de l'histoire ancienne. Tout le monde se donne corps et âme pour qu'on s'en sorte.

Rokhaya

Moi : T'as intérêt à ce que ces contenaires restent encore là-bas Khalil. Sinon je te jure que je te détruit.

Amour En FeuOù les histoires vivent. Découvrez maintenant