Un duo de choc

Le calme avant la tempête

En média la photo de la mère de Megara Uzui,
Tsuki Niji.

PDV Tsuki Niji

La réaction de Tengen Uzui est normale, il a élevé ma fille comme la sienne, pendant que je suivais les traces de Muzan est d'attendre le bon moment pour le tuer de mes propres mains.

Le silence règne, les piliers face à moi, me regarde avec de la haine dans leurs yeux, Sanemi audacieux, dégaine son épée, mon petit, nous fessons pas partis de la même catégorie, je prends de l'élan, je saute et je viens me poser délicatement sur la lame de son épée.

Ayant mes deux épées en mains, leurs lames sont posées sur son son cou, en formant une croix, je claque ma langue contre mon palais et je souris à Sanemi.

Moi : Je suis ravie, que le pilier du vent, veuille se battre contre moi, mais voit tu mon enfant, tu est encore trop jeune, pour te frotter à moi, alors soit mignon et arrête ce petit jeu. Dis-je méchamment.

Sanemi : Tu penses qu'en prenant un ton hautain et froid, tu va me faire peur ? Dit t'il en bombant le torse.

Moi : Continue ainsi, et tu va rejoindre les autres piliers enterrés. Dis-je en souriant.

Kagaya : Tsuki. Dit t'il froid.

Aussi délicatement que possible, je pose mes pieds au sol, en tournant la tête, j'aperçois les amis de Megara, à voir leurs têtes je crois que je vais devoir m'expliquer.

Moi : Bien, je vois déjà que vous me jugeais tous. Alors je vais vous expliquer, comment j'ai eu Megara et pourquoi je l'ai abandonnée. Dis-je neutre.

Kagaya : Tu n'est pas obligée. Dit t'il triste.

Moi : Kagaya, tait toi pour l'amour du ciel.
Dis-je en grimaçant.

Tomioka : Comment ose tu lui parler ainsi !
Dit t'il en colère.

Obanai : Je te déconseille de recommencer à lui parler ainsi. Dit t'il énervé.

Muichiro : Refais le, on te tue tous.
Dit t'il également en colère.

Les chiens de Kagaya, il a bien pris son rôle à coeur, en marchant, je ne peut pas arrêter de fixer celui qui porte une tête de sanglier, je l'ai vue dans les bois embrassant Megara, je vois, donc c'est lui l'élu de son coeur, le pauvre Tengen je le plains ainsi que ses femmes.

Derrière Kagaya, je pose une main sur sa tête, puis je tire la langue au piliers.

Moi : Je suis plus vieille que lui , je fais ce que je veux, bon, vous avez sûrement des questions à me poser, j'aimerais qu'on fasse vite j'ai un mari à tuer.
Dis-je colère.

Tout le monde écarquille les yeux, je suis honnête, je ne vois pas pourquoi je devrais leur mentir, bien, je vois que Shinobu a une question, ça ne m'étonne pas d'elle, elle comprend vite la situation et au moins ça question va être déterminante.

Shinobu : Un mari à tuer ? Dit t'elle perplexe.

Moi : Muzan Kibutsuji. Dis-je en roulant des yeux.