Sentiments avoués

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Des hurlements, des hurlements et encore des hurlements voici ce qui me réveil, en ouvrant les yeux je constate que la pièce est sombre, il doit faire nuit dehors, j'ai encore raté un joli couché de soleil, hier j'étais vraiment pathétique, les garçons ont dû intervenir pour me secourir et même Nezuko s'est inquiétée pour moi.

Voix : Rejoins moi Megara, je te donnerais puissance et vie éternelle. Dit la voix séduisante dans ma tête.

Je constate que je suis dans ma chambre, des yeux roses grands ouvert me regardent, Nezuko au pied de mon lit essaie de se faire toute discrète mais c'est peine perdu son odeur m'aurait réveillé de toute manière.

Moi : Bonsoir Nezuko. Dis-je en lui souriant.

Elle saute immédiatement du petit coin où elle se cachait et atterrie sur ma poitrine.

Nezuko : Je suis si contente que tu ailles mieux !
Dit t'elle dans ma tête.

Moi : Désolé de t'avoir inquiété Nezuko.
Dis-je en lui souriant.

Je la prends dans mes bras, mes mains se perdent dans ses cheveux que je câline, entre Nezuko et moi il y a un lien assez particulier qui s'est créé.

Nezuko : Tu as dormi cinq jours, les garçons avaient peur que tu meurt, mais moi je sentais que tu était toujours avec nous. Dit t'elle dans ma tête.

Moi : Cinq jours ! Ah non, il faut que je m'entraîne, je ne peut pas continuer à perdre du temps, il faut que je rattrape mon retard sur vous.
Dis-je en essayant de pousser Nezuko.

Mais celle-ci n'étant pas de cet avis, grogne, marmonne et me regarde méchamment.

Nezuko : Ton retard ? Tu est trop dur envers toi même, tu sait Megara, tu était formidable, puissante et si fluide dans tes gestes vraiment je suis admirative, moi je suis dans ma boite et je ne peut même pas sortir le jour. Dit t'elle d'une voix triste dans ma tête.

Moi : Hm, bon je ne dis plus que je suis nul et toi tu ne dit plus ce genre de bêtises. D'accord ?
Dis-je en lui souriant.

Elle saute sur moi à nouveau, dans ma tête elle rigole, son rire est très enfantin, Nezuko j'aimerais tellement tout faire pour que nous puissions toutes les deux regarder le soleil et les nuages ensemble. 

Des cris, des hurlements et des coups se font entendre le long du couloir ou ma chambre se trouve à côté.

Moi : Tu sait ce qu'il se passe ? Dis-je à Nezuko.

Sur ma poitrine Nezuko est entrain de se reposer, je la dépose délicatement sur le côté de mon lit, je me lève, mes épées étant posées sur ma table, je les récupère et je les attachent fermement avec la ceinture de mon kimono.

J'ouvre la porte doucement, je laisse passer ma tête, je vois mon père entrain de devenir tout rouge, derrière lui Tomioka qui essaie de lui faire entendre raison et derrière Tomioka il y a Sanemi qui rajoute son petit grain de sel.

Sanemi : Oui, tu as raison moi si j'avais une fille !!
Dit t'il en hurlant.

Tomioka : Heureusement pour nous que tu n'en as pas, ce sont les affaires de Uzui.
Calme toi, ce n'ai pas un drame si Megara a le béguin pour un garçons de son âge. Dit t'il doucement.

Papa : Non, non et non.
Et d'où il ose me défier le grand Tengen Uzui ! Mais qu'il aille s'entraîner mais loin de ma fille !
Dit t'il en hurlant.

Aussi longtemps que je me souvienne, mon père a toujours était très mais très protecteur envers moi, je me fais mal il pleure, une fois je me suis prise les pieds dans les racines d'un arbre et je me suis bien évidement étalé sur l'herbe, en arrivant à la maison mon père était fou de rage car j'avais pleins de bleus sur le visage, d'un pas décidé, nous sommes sortis de la maison, je l'ai mené a l'endroit où j'étais tombée puis dans une colère sans nom, il a déraciné l'arbre et il en fait des copeaux.

Sanemi : Beh ouais ! Faut les latter ses jeunes !
Dit t'il en bombant le torse.

L'odeur du parfum de Shinobu et de Mitsuri me font éternuer, Shinobu a plus une odeur douce mais très fraîche quand à Mitsuri c'est du sucre mélangé à des épices un vrai cocktails pour déboucher les narines.

Les piliers se tournent vers moi, immédiatement je baisse la tête, j'ai honte, Sanemi va me crier dessus, Tomioka va rien me dire mais mon père lui vue la tête qu'il a fait je pense que je risque d'avoir une grande leçon de vie.

Shinobu : Megara. Dit t'elle en souriant.

Le pilier de l'insecte me donne des frisons, déjà je n'aime pas vraiment les insectes, son sourire forcé m'énerve surtout que je sais à quelle point elle est forte et pour couronner le tout elle à dix-huit ans et elle est déjà un pilier.

En faite, cette femme est juste un monstre avec des incroyables talents.

Le pilier de l'amour, c'est de la jalousie, j'assume, elle a une grosse poitrine, une taille fine, des fesses bombée, elle est une passionnée et amoureuse de l'amour, enfin tout ce qui plait à un homme je suppose.

Je suis peut-être jalouse de ses deux femmes, mais elles sont très attentionnées, douces et toujours de bons conseils quand j'en ai besoin.

Il m'arrive de m'entraîner avec les deux piliers et la plus part du temps j'ai des courbatures pendant une semaine.

De l'acharnement !

Mitsuri : Eh, Megara. Dit t'elle timidement.

Papa : Ma fille !! Vient voir papa, le seul qui t'aimera pas comme ce Inosuke ! Dit t'il en râlant.

Je tiens ferment mes épées derrière mon dos, je m'agenouille légèrement, je ferme les yeux et je mets à profit l'entraînement rigoureux de Rengoku.

A une vitesse hallucinante, je me retrouve près de la forêt derrière le QG des pourfendeurs et des piliers.

Je suis fière de moi, j'ai enfin réussi à être aussi rapide que le pilier de la flamme ! 

Moi : Aaaaaah !! Dis-je en criant avec fierté.

Face à moi deux épées du soleil foncent vers moi, je bondis, j'effectue une pirouette et je récupère les épées.

Tient donc, des épées émoussées, je sais à qui elles appartient.

Moi : Homme, tu as perdu tes épées. Dis-je en riant.

J'en étais sûr, une tête de sanglier fonce vers moi, j'esquive Inosuke, puis délicatement je me pose sur son dos.

Inosuke se stop immédiatement, mes mains sont posées sur ses épaules, il ne dit rien et ils posent ses mains sur les miens.

Inosuke : Femme, ne fait plus peur, j'ai crus que -

Moi : Je te remercie homme pour m'avoir défendu, je t'ai vue te battre Inosuke, tu est très fort et je sais que tu est le Roi des Montagnes maintenant.
Dis-je toute rouge.

Inosuke : Hm, Megara tu est la Reine des Montagnes. Dit t'il en marmonnant.

Moi : Tu as dit quelques choses à mon père ?
Dis-je intrigué.

Inosuke : Oui ! J'ai dis « Matara c'est la Reine des Montagnes car je suis le Roi des Montagnes » après il m'a couru derrière, mais je cours très vite et je me suis entraîné ici ! Dit t'il en hurlant.

Moi : Hum, ça te dérange pas que je te regarde t'entraîner Nasuke. Dis-je en rigolant.

Inosuke : Accroche toi Marana !!! Donne moi mes épées et on y va !! Dit t'il en hurlant.

Accrochée à son dos, il continue de s'entraîner, il m'explique ses différents mouvements mais Inosuke a des moments il a du mal à s'exprimer donc j'essaie de me concentrer au mieux pour le comprendre.

Par la suite, il me montre comment pêcher, j'essaie mais je suis très nul et lui par contre il est très doué.

J'ai adoré suivre son entraînement en restant accroché à son dos, nous décidons de camper ensemble et de dormir à la belle étoile, demain nous continuerons l'entraînement.

Afin de ne pas inquiéter ma famille, j'envoie mon corbeau les prévenir chose qu'il fait sans demander quelques choses en retour.

J'ai hâte de m'entraîner avec lui demain.

Un duo de choc Où les histoires vivent. Découvrez maintenant