2. Prison Ou Maison

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Je ne compris pas tout de suite ce qui allait ce passer. Il se leva fière de lui, très, voir trop.
Je compris que si je restais là, sans bougé il allait me faire du mal, il fallait donc absolument  que je prenne mes jambes à mon cou le plus vite possible. Mais au moment même où je m'apprêtais à courir, il me dit, comme s'il avait lu dans mes pensées:

- Ça ne sers à rien de fuir mes hommes sont postés un peu partout autour du bar, ils n'attendent que mon signal.

Les seuls mots que je reteins furent "mes hommes", il avait donc des hommes sous ses ordres, si ça se trouve c'est le chef d'un gang de rue ou de marché illégaux comme des ventes d'organes ou de femmes...
Je parvins à me convaincre que non, et que ce devait plutôt être une personne au placé du gouvernement ou autres, mais mes intuitions ne me trompèrent guère, elles étaient même plutôt proche de la vérité. Pourtant je n'avais aucune idée de pourquoi ces hommes me chercher.

- Vous êtes qui ? Qu'est-ce que vous me voulez ?

- Pas le temps pour les discutions inutile.

Après qu'il est prononcé cette phrase, je senti un tissus se plaquer violemment contre mon nez et ma bouche, ma respiration s'alourdit, je me senti étouffer et la panique s'empara de mon corps, je tremblais et me sentais devenir de plus en plus lourde jusqu'à ce que je ne ressente plus rien et que je tombe dans un lourd sommeil...

°°°°°°

Lorsque je réouvris les yeux je me trouvais immergé entièrement dans la pénombre, je ressentais de grande douleur dans mon dos et à la tête et je n'avais aucune idée d'où je me trouvais. En essayant de me lever je senti du froid sous mes doigts et je me rendis vite compte que j'étais allongé à même le sol, sans couverture, matelas, ou coussin complètement par terre, je marchai à tâtons dans le noir en essayant de trouver le moindre meuble ou la moindre porte ,mais il n'y avait rien. Pas de meuble et pas de poignée même si j'avais senti une différence entre le béton des murs et  ce qui me semblais être une porte en fer.

Je me rassis par terre en essayant de maîtriser mes émotions qui n'en faisait qu'à leur tête, elle variait entre la peur, la tristesse et la colère. Comment avais je pus être aussi naïve, aller boire un verre avec un inconnu... Cassandra me tuerait si elle apprenait cela.

Je restais donc assise en attendant que quelqu'un vienne me chercher comprenant que je ne pourrai point sortir seule d'ici.

°°°°°°

Au bout de ce qui me parut être des heures je me relevai et tapai contre la "porte" en fer, mais toujours rien. Personne ne répondais ni ne m'entendais ou, si il y avait quelqu'un iel m'ignorait totalement. Je commençai donc à crier.

- IL Y A QUELQU'UN ??? VENER ME CHERCHER !! OH OH!! JE SUIS LA !!

Je criais tellement fort que ma gorge me fit mal et je dû interrompre mes exclamations. Des larmes silencieuses coulèrent le long de mes joues et je me recroquevillais sur moi même, réalisant la merde dans laquelle j'étais.

Quelques minutes plus tard j'entendis des pas dans ce qui me semblait être un escalier, c'était des petits pas léger, probablement ceux d'un adolescent. L'espoir refit surface sur mon visage et j'espérai que cela soit une personne qui avait entendu mes cris et qui était venu pour m'aider, ou quelqu'un qui ne me ferai pas de mal, oui j'ai beaucoup d'espoir. Je séchais donc mes larmes et me redressai, j'étais prête à taper contre la porte lorsque celle-ci s'ouvrit délicatement, je vis une jeune femme qui devait avoir entre 17 et 19 ans entrée dans la pièce ce qui laissa passer un peu de lumière et mes yeux mirent quelques minutes à si habituer. Elle est brune, de taille moyenne et ses yeux sont d'un gris majestueux, je me perds dans ceux-ci, lorsqu'elle prend la parole.

Même les monstres rêvent d'amourOù les histoires vivent. Découvrez maintenant