°°°Point de vue Claryssa°°°
Il est à peine 15 heures lorsqu'on part de l'hôtel et je finis de me maquiller dans la voiture, on a eu qu'une heure pour se préparer car Pasadena est à environs 7 heures de route de San Francisco étant donné que Julian ne roule pas dans les normes de vitesse on arrivera peut être un peu plus tôt mais tout de même vers 21 heure.
Et il ne cesse de me répéter que ce n'est pas grave si on arrive tard car selon lui les personnes qui arrivent en retard son celles qui sont le plus attendu.
- Crois-moi ils ne sont pas prêt de me voir et encore moins avec une nouvelle.
- Ils ne sont pas au courant pour moi.
- Non bambolina je ne parle pas des erreurs que je commet à mes ennemis.
- Je ne suis pas une erreur.
- Pas toi mais le fais que tu sois dans le cartel sa c'est une erreur.
- Je te prouverai le contraire.
- Oh mais je n'attends que sa bambolina prouve moi que j'ai tort.
Un blanc s'installa dans l'habitacle et je m'appliquais tout en évitant de me crevé un œil en me mettant du mascara, je finis par un trait d'eyeliner miraculeusement réussi, sûrement dû au fait que Julian venait de ralentir. J'étais enfin prête pour la soirée, je portais une robe rouge recouverte d'un voile transparent noir ce qui la rendait bordeaux, elle possédait une fente partant de ma cuisse et de fines bretelles noire, avec celle-ci je portais des escarpins rouges comportant un talons décoré doré et je portais le magnifique collier que Julian m'avait offert.
J'étais en train de l'observais lorsque Julian m'interpela:
- Il te plaît temps que ça ?
- Oui il est magnifique.
- Peut-être que je me trompe mais j'ai l'impression qu'il y a autre chose ?
- Euh... en fait mon père m'en a offert un lorsque j'étais plus petite, c'était après le décès de ma mère.
- Oh je ne savais pas.
- Que ma mère est décédé, c'est normal je ne te l'ai pas dit.
- Ça n'as pas vraiment l'air de te toucher.
- Sa ma toucher quand j'avais dix ans mais maintenant je sais quelle ma juste abandonné pour un travail plus excitant donc non ça ne me touche pas vraiment.
- Et elle faisait quoi ?
- Elle braquait des magasins et des banques c'est d'ailleurs ça qui la tuer.
Un autre blanc s'installa mais je l'interrompis rapidement en le questionnent ?
- T'es parents sont mafieux depuis longtemps ?
C'est une question que je n'aurais jamais penser poser un jour, et pourtant je suis littéralement en train de le faire.
- Oui, le cartel appartenait à la famille du côté de ma mère avant qu'il ne lui revienne et qu'elle le partage avec mon père.
- Et donc que tu ne le récupère.
- Exact.
- Tu es le chef depuis combien de temps ?
- Depuis que j'ai vingt et un ans.
- Sa fait cinq ans ?
- Oui Madame la grande mathématicienne.
Je me rappelai de ce qu'il m'avait dit la fois où il était venu me parlé dans la nuit, il avait donc dû gérer tout un cartel en aillant perdu la femme de sa vie. Je le trouvai tout d'un coup plus fragile, et je m'imaginai à peine la force mental qu'il avait dû avoir pour continuer sans rien lâcher.
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Même les monstres rêvent d'amour
RomansaIls ont tous les deux eu un premier amour.... Ça c'est mal fini de manière totalement différente mais totalement dévastatrice... Elle essai de ce reconstruire... Lui doit gérer le plus gros cartel d'Italie et n'a pas le droit d'être faible... Ils...