°°°Du côté de Claryssa et Pablo°°°
On entra dans la chambre, il me fit signe de m'asseoir sur le lit et prit un air grave.
- Qui es tu ? Et qu'est-ce que tu fais là ?
- Je suis une femme tout à fait normal que ton meilleur ami à kidnappé parce que celui-ci m'a confondu avec la fille du Vice- Président.
- Et tu l'es ?
- J'ai dit qu'il m'avait confondue avec sa fille donc non je ne suis pas elle.
- Ok mais il a pas pu se tromper comme ça, tu dois au moins lui ressembler ou avoir fait quelque chose qui l'aurait induit en erreur, on se trompe pas comme ça merde...
- bah apparemment si.
- Non ! C'est pas possible, pas venant de Julian... à moins que... on est quel jour ?
- Je n'en ai aucune idée, je sais seulement que cela fait trois jours que je suis ici, ils ne m'ont même pas rendu mon téléphone.
- C'est logique ça.
Il sort son téléphone d'une de ces poches et regarde quel jour nous sommes.
- Le 29 Avril... tu m'as dit que ça fais trois jours que tu es là.
- Oui pourquoi ?
- Oh putain c'est sa période.
Il se mit à tourner en rond dans la pièce en réfléchissant, j'entendais des bribes de ce qu'il murmurait. Quand soudain il s'arrêta net.
- On descend, ils doivent avoir fini leur discussion.
Il sort de la chambre et je le suis, il descend les marches et arrive rapidement en bas. Julian se tourne vers nous et il dit gravement avec une tête d'enterrement.
- Et voici la nouvelle membre du cartel...
- Quoi ? dit Pablo étonné.
- C'est pas ce que tu voulais ?
- Tu sais très bien que je rigolais et je savais que tu dirais non.
- Bah comme quoi t'avais tords...
- C'est par rapport à elle que tu as accepté ?
- ...
- Elle serait fière de toi tu sais Julian. dit Marie.
- ...
C'est comme si il n'était plus avec nous.
- Non elle me détesterait pour avoir fait une si grosse erreur et d'être aussi faible...
- Jamais elle ne pourrait te détester Julian. dit doucement Marie.
Il se leva et sortit de la maison en claquant la porte. Je n'avais pas compris de qui ils parlaient mais je sentais que Julian tenait à cette personne, et je découvris par la même occasion que la personne que je nommais "le diable" possédait des sentiments. Après ça Marie m'a annoncé qu'elle allait faire du shopping et que je devais venir avec elle pour m'achetait de nouveau vêtements, puisque d'après elle "maintenant je faisais partis de la famille et que surtout il me fallait des d'habit". On ne m'avait pas vraiment demandé mon avis, mais je savais que je n'avais pas le choix. Ce qui était d'autant plus dure à encaisser car je me douter que je ne reverrai plus jamais ma meilleure amie, et le peu d'amis et de personne qui tenait à moi. Après tout j'étais en Italie maintenant loin de mon pays natale et de ma vie...
Marie me sortit de mes pensées au moment où elle posa sa main sur mon poigné.
- Si tu veux on peut faire du shopping demain, il se fait tard et je vois bien que ça ne va pas tu dois être perdu avec tout ce qui s'est passé aujourd'hui, je vais commander à manger puis tu iras te reposer. Tu veux manger quoi ?
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Même les monstres rêvent d'amour
Roman d'amourIls ont tous les deux eu un premier amour.... Ça c'est mal fini de manière totalement différente mais totalement dévastatrice... Elle essai de ce reconstruire... Lui doit gérer le plus gros cartel d'Italie et n'a pas le droit d'être faible... Ils...