Colonia

Partie 2 - Chapitre 4

Bonjour à tous !! voici un nouveau chapitre avec ENFIN le moment tant attendu. Je voulais m'excuser pour les derniers chapitres qui étaient relativement courts et mon rythme de publication qui est un peu flou. J'étais en période d'examen avec beaucoup de boulot à côté aussi et dès que je pouvais, j'écrivais furieusement pour poster un chapitre sur Wattpad mais sans vraiment faire attention à la longueur ou à l'avancer dans l'intrigue.

Alors, désormais, je vous annonce que je vais essayer de faire des chapitres plus longs. J'ai vraiment envie d'avancer dans l'intrigue avec vous. Et surtout, je vais essayer de trouver un jour fixe dans la semaine qui sera mon jour de publication. Si vous avez des idées, n'hésitez pas ! En tout cas, merci pour vos votes et vos commentaires, c'est hyper gratifiant.

Bonne lecture !

 

César déposa un baiser mouillé sur ma nuque, ce qui me fait frissonner. Je l'entendis ricaner derrière moi et je penchai ma tête suffisamment en arrière pour lui faire face. Son air amusé disparut et ses yeux s'obscurcirent. Je savais qu'il ne résistait pas à mes gestes de soumission.

Ses mains s'aventurèrent sur mon cou dégagé tandis que je maintenais notre échange de regard. Il les fit glisser rapidement sur ma poitrine pour agripper de façon possessive mes seins nus. Je pris une grande inspiration, sentant chaque parcelle de ma peau réagir à son toucher. Pendant quelques secondes, il joua avec mes tétons en faisant glisser ses deux pouces de chaque côté. Je sentais que ma posture commençait à être douloureuse pour mon cou, alors je bougeai légèrement et César le senti. Il retira une de ses mains de ma poitrine pour m'obliger à relever la tête.

Je souris silencieusement tandis que sa main reparti de nouveau à l'assaut de mon corps. Il délaissa ma poitrine pour s'attaquer à mon ventre puis à mon entrejambe. Lorsque ses doigts effleurèrent mon intimité encore cachée par le tissu fin de mon sous-vêtement, je l'entendis jurer derrière moi.

« Ta culotte est trempée Ila... Il fit glisser ses doigts par-dessus, provoquant mes tremblements, puis il ajouta la voix rauque, tu es vraiment une mauvaise fille pour être excitée à ce point. »

Je ricanai et rapprocha mon bassin de sa main. Mais César coupa le contact avec mon entrejambe pour saisir ma taille. Avant même que je puisse grogner de mécontentement, il me força à me m'asseoir sur mes genoux et me retourna brusquement pour me lancer sur le lit. Mon dos s'écrasa violemment sur le matelas. Sans m'attarder sur la douleur, je levai la tête pour lui adresser un sourire électrisé. En guise d'invitation, j'écartai les jambes.

César quitta des yeux mon visage pour observer ma culotte. Il respirait fort. J'étais sûre qu'il était autant excité que moi. Il dévisageait mon entrejambe et, comme un félin, il s'en approcha avec un air carnassier sur le visage.

Lorsque sa bouche arriva au niveau de mon sous-vêtement, ses dents s'emparèrent du tissu. D'un coup sec, il fit glisser le tissu le long de mes cuisses et, en quelques secondes, je me retrouvais totalement nue devant lui. J'avais conscience de la difficulté de ce geste et je ne peinais pas à imaginer que César l'avait pratiqué longuement avec les autres femmes de la colonie.

Mais alors que je l'observais attraper ma culotte coincer entre ses dents et la lancer dans un coin de la pièce, je n'en avais que faire. Ce qui comptait, c'était lui et ses yeux fous qui ne me lâchaient pas du regard.

Debout, il ne tarda pas à retirer son haut qui me fit apercevoir ses muscles saillants et brillants légèrement sous l'effort et l'excitation qui nous habitait. Je savais qu'il attendait pertinemment que je le dévore du regard. Alors, c'est ce que je fis. Y compris lorsqu'il défit la ceinture de son pantalon et que les muscles de son torse se contractèrent lorsqu'il fit glisser au sol son boxer au passage.