18. Essayer Quelque Chose De Nouveau

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De retour chez moi, je ne pouvais point cacher l'enthousiasme et la joie que je ressentais face à ces nouvelles. Je n'imaginais pas que Nora, un jour, puisse se poser avec quelqu'un. Comment ne pas être heureux ?

Colen m'entendant entrer, descend les escaliers et me voyant tout excité vient à ma rencontre dans le hall d'entrée. Il portait mon costume préféré, celui qui moulait son torse avec ce putain de pantalon qui ne laissait aucune place à l'imagination. Je voulais qu'il me baise, là, tout de suite, contre cette putain de porte.

Colen : T'es tout excité... Il s'est passé quelque chose, Nat ?

Sa voix, ce double sens m'excitait davantage, cependant je me concentre sur le mariage de Nora et je lui raconte tout. Il était content, bien sûr, lui aussi l'aimait, de plus Nora l'a toujours aidé et arrangé les choses entre nous deux.

On ouvre une bouteille de Musigny Grand Cru, notre vin préféré et on se pose dans un coin du salon, sur un des sofas, d'où on peut voir la pluie tomber sur les grandes fenêtres.

Colen ouvre ses jambes et je n'ai pas pu résister à la tentation de les regarder. Je regarde ses mollets, puis je monte mon regard jusqu'à ses cuisses. Il me parlait, mais j'étais perdu dans le désir et fantasme jusqu'à ce qu'il pose sa main sur ma jambe pour attirer mon attention.

Colen : Nat ?

Je lève les yeux pour rejoindre les siens.

Moi : Oui ?

Je n'ai pas pu m'empêcher de rougir et avant même qu'il puisse le remarquer, je prends le verre et je bois une gorgée de ce vin.

Moi : Il est tellement bon... Mais qu'est-ce qu'il remonte vite...

Ma ruse n'a pas fonctionné et je le savais, rien qu'en regardant son vilain sourire, légèrement sur le côté. Il savait très bien ce que je faisais et cela l'excitait. Un petit jeu s'installe et l'atmosphère changea, la pluie qui criait plus fort que jamais ne faisait qu'amplifier la tension entre nous.

Colen : Il est très bon, mais je crois qu'il te tourne un peu trop la tête.

J'avale le vin que j'avais encore dans la bouche avant de répondre : Oui... trop.

Daddy touche son entrejambe pour remettre son sexe en place. Il voulait attirer mon attention vers ce dernier.

Colen : Je disais... qu'on a une semaine pour choisir la mère porteuse...

Il s'arrête un moment, se lèche et mordille rapidement la lèvre inférieure, avant de reprendre : et le médecin veut que j'arrête toute activité sexuelle au moins trois jours avant le rendez-vous... tu sais, pour avoir une quantité généreuse de sperme.

Je rougis davantage et pour cacher mon envie de lui sauter dessus, je remplis mon verre de vin et Colen profite de ce moment pour toucher ma main.

Colen : Laisse-moi te servir.

Une chaleur remonte à l'intérieur de moi et par réflexe, je mords ma lèvre, un mélange de nervosité et de désir. Le vin, cette fois-ci, remontait pour de vrai et me libère de mon état prude.

Moi : Alors, on a quatre jours.

Il me regarde, surpris par ma réponse et ce changement soudain, puis pose la bouteille de vin.

Colen : Nat, je crois que je vais pas tenir les trois jours.

On se regarde droit dans les yeux, ce jeu nous rend fou. Il touche à nouveau son entrejambe, mais cette fois-ci, je m'approche de lui.

Colen : Nat...

Je mords ma lèvre et je pose sa main sur ma joue.

Moi : Dit-moi ce que tu désires.

Il ouvrit légèrement sa bouche et je pouvais désormais sentir son corps se réchauffer.

Colen : Toi, tout entier.

Il me caresse la joue et je pousse ma tête en arrière, ce qui lui permet d'avoir accès à mon cou. Il embrasse ce dernier d'une passion folle, entre baisers et légères morsures, mon corps expirait du désir profond.

Moi : Colen...

Il s'arrête un moment avant de reprendre.

Colen : Dit-moi Nat.

Je gémis dès qu'il reprend son geste.

Moi : Tu vas me tuer...

Il descend sa bouche jusqu'à mon torse, et petit à petit je me retrouve couché sur le sofa. Les coups de tonnerre illuminent mon corps et le rendent irrésistible.

Colen descend sa main gauche jusqu'à mon entrejambe et caresse mon sexe, ce dernier complétement mouillé répond en se durcissant au fur et à mesure que Colen le touchait.

Colen : J'ai envie de toi.

Je le regarde droit dans les yeux, il y avait du feu dans ces derniers.

Moi : Moi aussi...

Il sourit, ce vilain sourire fait sursauter mon sexe dans sa main. Colen pousse un léger gémissement et, pour répondre à cette agitation, me masturbe. Mon sexe se mouille davantage et du liquide s'empare de sa main. On pouvait entendre les mouvements de sa main sur mon sexe et je pouvais sentir la bite de Daddy se durcir sur ma jambe. Colen lâche mon sexe et lèche sa main remplie de liquide, face à ça, je n'ai pu que mordre ma lèvre.

Colen : J'ai envie de te sentir à l'intérieur de moi.

MON DADDY 5 (1 SUR 2) (boy X boy)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant