DÉCEMBRE
Plus le temps passe plus cette douleur en moi s'est transformé en envie de vivre. Je suis plus qu'un survivant et je ne compte pas abandonner ma vie et mes projets. Ma relation amoureuse est de plus en plus détruite pourtant je l'aime et je ne compte pas rester, ici, les bras croisés.
Nathan... Réagis ! Tu sais quoi faire. Tu sais de quoi t'as besoin - de quoi vous avez besoin. Pas besoin de réfléchir plus longtemps il faut passer à l'action.
Je descendais les escaliers et Colen les montait. Il allait monter sans même dire un mot, quand je le prit par le bras. Il s'arrête un moment puis se retourne.
Nos yeux se croisèrent et j'ai pu que sourire aucun mot n'est sorti de ma bouche pourtant Colen continua de me regarder. Je pouvais sentir et voir son désir, sa tristesse et excitation.
Cela fait déjà des mois qu'on se regarde même plus mais, sa flamme brûlait encore.
Ses yeux parcouraient déjà mon visage. Un visage presque étranger à présent. Il regardait ma bouche rosée entrouverte et entendait ma respiration. Un son qu'il avait sûrement oublié. Il descend son regard jusqu'à mon cou, ce dernier qui auparavant était entre ses mains et aujourd'hui a froid.
Il arrive, enfin à mon torse couvert par une légère chemise transparente, il voulait le toucher mais n'osait pas alors je le fais et je le pousse contre le mur. Ses yeux rencontrent les miens encore une fois et cette fois-ci le message était clair.
Colen : Nathan...
Je descends ma main jusqu'à son entrejambe. Sa bouche s'entrouvre et je me mords la lèvre. Plus clair c'est impossible - sa respiration accélère et son envie monte. Dans ma tête j'attendais un signe, une action de sa part. Que dois-je faire ?
Moi : T'aimes pas ?
En disant ces mots, Colen m'embrasse. Un long et intense baiser de plaisir intense, une sensation oubliée - nos langues se touchent et on pouvait sentir la chaleur de la respiration qui quittait et entrait nos bouches. Je ne voulais pas que ce sentiment s'arrête, un sentiment que je ne puis décrire.
Colen met sa main autour de ma taille et me pousse contre son corps. Son corps m'avait manqué et il le sait. Ce dernier n'hésite pas a descendre ses lèvres jusqu'à mon cou froid - Ce dernier est très rapidement réchauffé avec sa respiration et ses douces lèvres.
Je pousse un soupir sensuel. Ma tête naturellement se pousse en arrière. Colen lève sa tête et m'observe, curieux.
Il a envie de moi, je le sens.
Il déboutonne ma chemise pour avoir accès à mon torse. Il prit le temps de l'observer avant de coller ses lèvres sur ce dernier. Une fois satisfait, il me regarde.
Colen : Déshabille-toi, je veux te voir.
Je monte les escaliers jusqu'au couloir - il me suit. Une fois en haut, je lui tourne le dos et j'enlève doucement mon pantalon. Pour finir, j'enlève mon boxer - Je sens son regard sur mon corps. Je reste immobile.
Je le laisse admirer ce corps qu'il aime, désire tant. Depuis mon cou en passant sur mes fesses jusqu'à mes pieds.
Il se voyait déjà poser ses lèvres sur celui-ci - Colen s'approche et je me retourne. Il se colle à moi et me pousse gentiment contre le mur. Le froid du mur me donna des frissons.
Colen : Laisse-moi faire.
Je ne bouge point. Je lui fais confiance - mon corps lui appartient. Il passe sa main sur ma joue, cou, torse jusqu'à mon sexe. Il caresse ce dernier puis, se met à genoux.
Je ferme les yeux et je me laisse guider. Il lécha mon pénis encore mou ensuite, le met dans sa bouche mouillée. Très vite, il grossit à cause de ces mouvements de va-et-vient. Il n'avait point perdu son agilité.
Il savait le faire et ça m'excitais.
Une fois dur, Colen se relève. J'ouvre mes yeux et je le vois me regarder. Il se mord la lèvre et sans hésiter je l'embrasse.
Désormais, la peur et tristesse nous ont quittés. Notre désir est pur - Colen se déshabille, nous voilà nus. Perfection crée par l'univers. C'était comme de l'art, chaque trait de son corps était une création divine. Je me mets à genoux, je voulais lui donner ce qu'il avait besoin. Ma bouche mouillée et chaude sur son sexe, s'il pouvait il me garderait pour toujours collé à ce dernier.
Á présent j'avais son sexe en bouche, cette sensation divine me donnait un plaisir fou. Ces va-et-vient mouillés le rendait fou de plaisir. Cette envie grandissante le fait soupir. Il pose sa main sur mon crâne et me guide. Il voulait ma gorge. Je lui offre avec plaisir, il savait comment la rendre heureuse. Désormais, son sexe était prêt.
Je me relève et il me soulève et m'emmène dans la chambre. Il me pose sur le lit.
Moi : On va au balcon ?
Il hoche la tête. Je savais qu'il aimerait l'idée. Il ne faisait pas froid mais assez pour que nos corps ne se lâchèrent.
Il me pose sur la table puis se baisse encore une fois.
Cette fois-ci il prépare mon anus - avec sa langue il l'écarte, cette sensation était si intense que je ne puis pas m'empêcher de gémir légèrement. Colen connaissait mon corps et son fonctionnement. C'était facile pour lui de le manipuler de plaisir.
Mon anus était prêt, il l'a bien écarté pour faciliter la pénétration qui l'attendait. Il me regarde en me pénétrant, ma réaction était son moment préféré. Je ne sentais pas le froid tellement j'avais envie de Daddy. Il me baise plus intensément qu'auparavant - je lui ai manqué.
On ne faisait plus qu'un seul corps harmonieux travaillant ensemble - Chaque entrée et sortie de Colen en moi était intense. Jamais j'ai ressenti autant d'envie et plaisir - j'ai pas pu me contrôler et j'ai giclé. Mon torse en était couvert, Colen se mord la lèvre.
Il passe sa main sur ce sperme chaud et l'apporte à ses lèvres - il le mange. Je ne pouvais pas le quitter des yeux - je continuais à avoir ce désir qui ne cessait de grandir. Colen en me voyant excité ne tarde pas à me remplir.
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MON DADDY 5 (1 SUR 2) (boy X boy)
Roman d'amourDésormais la maison de couture de Nathan est une des plus reconnues. D'un côté le succès professionel de Nathan, qui vient de fêter ses 25 ans et de l'autre Colen qui lui a 30 ans et pense déjà à fonder une famille. Est-ce que Nathan est prêt ? Auro...