Un jeune garçon était assis dans son lit, il ne faisait rien, sont regard était bloqué dans le vide. Il ne pensait pas vraiment à quelque chose. Il était tellement perdu qu'il ne remarqua même pas quand deux adolescents entrèrent dans sa chambre. Il ne remarqua pas non plus qu'ils s'étaient rapprocher et que l'un d'eux s'était aussi en face de lui sur le lit. Ce qui le fit sortir de son état de transe fut la voix de son ami blond qui était en face de lui.
– Froy ?
– Q- Yuri ? Qu'est-ce qu'il y a ?
– Tu ne va pas voir Hikaru ? Son avions part dans une heure... Je pense qu'il serais heureux de te voir.
– Et vous alors, vous n'aller pas le voir ? soupira Froy.
– Froy, la relation entre Hikaru, Yuri et moi est différente de la tienne avec Hikaru, répondit Viktor.
– Je n'ai pas envi d'y aller.
– Froy ! Pourquoi n'y va tu pas ?
– Il est avec ses nouveaux amis. Il n'a pas besoin de me voir, soupira de nouveau Froy.
– Froy... tu-es-stupide ! Va le voir. Il en a envi ! Je le sais ! Et il ne va pas supporter son retours au Japon sans t'avoir vu ta tronche une dernière fois ! Alors bouge toi et va le voir.
Froy soupira, pensa quelque instant au visage triste de Hikaru et céda.
– Vous êtes aussi ses amis. Vous m'accompagnez.
– Evidemment, dit Viktor.
Froy se leva et attrapa sa veste de survêtement à la volée et il mit ses chaussures.
Les trois garçon marchèrent rapidement vers l'aéroport. Quand ils arrivèrent et repèrent l'équipe du Japon, Froy dit à ses deux amis qu'il resterait un peu en arrière, Viktor et Yuri partirent donc vers l'avant suivi de leurs capitaine.
– Viktor ! Yuri ! s'exclama une voix familière à Froy.
– Salut Hikaru ! dit Yuri.
Le bleu se rapprocha des deux adolescents en souriant.
– Vous... Vous êtes venu seul ?
– Oui on va bien, on est aussi très heureux d'être là, grinça Yuri sarcastique.
– Je... désolé... mais... enfin oui, pardon...
– Ne t'inquiète pas, Yuri rigole. On sais bien que tu as envi de le voir une dernière fois avant de partir, dit Viktor.
Yuri et Viktor se décalèrent d'un mètre sur le côté tandis que leurs capitaine arrivait rapidement, essoufflé.
– Désolée j'avais quelque chose à-
– Froy !
Hikaru sauta au coup du blanc et enfoui sont visage dans son cou.
– Je pensait que tu ne viendrait pas... murmura-t-il.
– C'est bien ce qu'il comptait faire, répondit Yuri.
– Yuri, personne ne t'as demandé ton avis. Non, au départ je ne comptait pas venir. Mais je me suis finalement décidé à venir te voir...
– Mmh...
Hikaru décolla doucement son visage du coup de son copain et placa sont visage en face du garçon.
– Mais je t'aime Hikaru.
-Je l'espère bien, Girikanan, marmonna le bleu avec un regard noir.
– Tu m'en veux ?
– Non.
Doucement, Hikaru embrassa son copain. Profitant du moment avant de devoir partir.
Ils se séparent lentement avec un sourire au lèvres.
– Tu vas me manquer Hikaru...
– J'essaierai de venir te voir...
– Ou moi je pourrais la faire Hikaru...
Hikaru hocha de la tête et la posa sur l'épaule de son copain en resserant son emprise sur lui.
– J'ai envi de rester avec toi pour toujours... Mais il faut que je retourne au Japon...
– Ne t'inquiète pas, ça va aller. Et puis de toute façon ne vais t'appeller presque tout les soirs comme je le faisait avant avec Mitsuru, n'est-ce pas ?
– Ichihoshi ! Viens on dois partir !
Le bleu soupira et embrassa à nouveau Froy.
– Je t'aime Froy.
– Moi aussi je t'aime, Hikaru.
– Je promet que je reviendrait te voir.
Le capitaine de l'équipe de Russie sourit et hocha de la tête. Il frotta doucement le bras d'Hikaru.
– Aller, vas y. Tes amis t'attendent, fit Froy en embrassant la joie de milieu.
Hikaru hocha la tête il alla dire au revoir à Yuri et Viktor qui attendait sur le côté puis s'en alla vers son équipe avec un signe de main.
– A plus tard ! s'exclama Froy.
Froy le regarda partir, mais Hikaru se retourna, le regarda et lui fit un grand sourire. Sourire que Froy lui rendi avant qu'Hikaru ne parte.
– On se voit bientôt, Hikaru... murmura-t-il les larmes lui montant au yeux.
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ʀᴇᴄᴜᴇɪʟ ᴅ'ᴏꜱ | 𝓘𝓷𝓪𝔃𝓾𝓶𝓪 𝓮𝓵𝓮𝓿𝓮𝓷
Fiksi PenggemarUn simple receuil d'os sur Inazuma eleven, rien de plus.