⚠ EN COURS D'ECRITURE ⚠
t/p la petite sœur de Baji Keisuke. Vie difficile mais frère protecteur... Il se pourrait que ta vie soit tourmentée après la rencontre d'un jeune homme blond.
Le début de l'histoire n'est pas vraiment accrocheur mais à parti...
Je l'aide à se relever, non sans difficulté. Son bras et autour de mes épaules afin que je serve de béquille. Je l'aide à s'asseoir sur un banc puis cours chercher un sac de glaçons. Je lui donne et m'assois à côté de lui.
Moi : T'es vraiment un idiot.
Chifuyu : Sans déc.
Moi : C'est bien fait pour toi.
Je mets ma tête sur son épaule en disant ces mots. Il pose sa tête sur la mienne. On reste dans cette position quelques minutes. La poche de glaçons toujours entre ses jambes. Lorsqu'il se sent mieux et qu'il peut marcher sans problème nous sortons de la salle de sport en vérifiant bien qu'on a fermé la porte à clé.
Il fait déjà nuit. Chifuyu monte sur sa moto et me passe un casque.
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Je monte derrière lui, je passe mes bras autour de sa taille puis il démarre. Je pose ma tête sur son dos et profite de la vue assombrie. Le voyage ne fut pas long et nous arrivâmes déjà devant la porte de chez moi.
J'enlève mon casque pour lui rendre, il enlève le sien aussi.
Moi : Tu descends pas ?
Chifuyu : Non, il est déjà tard je vais rentrer.
Moi : Si tu veux..
Ses mains passent autour de mes hanches puis il me rapproche de lui. Ma tête se rapproche aussi. Nos lèvres se collent et laissent place à un baiser langoureux. Ses mains passent derrière ma tête. On se décolle dût au manque d'oxygène.
Moi : A demain Chifuyu.
Chifuyu : A demain t/p.
Je marche jusqu'au pas de la porte, je me retourne et attends de ne plus voir la moto de Chifuyu puis je rentre. Baji regardait la télé dans le salon.
Baji : Alors cette entrainement ?
Moi : Très concluent.
Baji : Mdr, bref sinon il reste du poulet dans le four si tu veux.
Moi : Ah yes, merci.
Je prends une assiette et des couverts, me sers un peu de poulet puis le mange. Quand mon assiette et vide, je la mets dans l'évier puis part dans ma chambre. Je me mets en pyjama puis me couche dans mon lit. Il ne faut pas beaucoup de temps à Morphée pour venir me tendre ses bras.
Les journées passe et tout va bien. Tous les soirs je suis à la salle avec Chifuyu, je me suis beaucoup amélioré, bien sur j'y vais doucement. Je pense que maintenant je sais me défendre dans toute situation ou presque.
Les cours sont finis et je rentre seul parce que Baji et Chifuyu avait autre chose à faire. Je marche dans la rue avec mes écouteurs et ma musique. Lorsque je passe à côté d'une ruelle sombre, je n'y fais pas trop attention jusqu'à ce que je sente des bras m'attraper et me tirer vers cet endroit sombre.
Ne m'y attendant pas, je tombe sur les fesses et me retourne immédiatement pour voir qui est la personne qui m'a poussé. Je ne connais pas, il a l'air plus vieux que moi, il se rapproche de moi. Il attrape mon menton et regarde. Je ne sais pas ce qu'il me veut mais je m'empresse de me relever pour ne pas être en position d'infériorité face à lui.
? : T'es mignonne tu sais ?
Il me arrese la joue de son pouce.
Moi : Me touches pas.
? : Et tu vas faire quoi ?
Il me pousse contre un mur. Mon dos heurte fortement le mur ce qui me provoque un hoquet de surprise et de douleur. Il se rapproche de moi à nouveau et place ses bras contre le mur au dessus de mes épaules. Parfait, une des positions de self-défense que m'a appris Chifuyu.
? : Reprenons où nous nous sommes arrêtés tu veux ?
Moi : ça n'a jamais commencé connard.
Je mets un coup de boule au gars qui prend sa tête entre ses mains. J'en profite pour mettre mon genoux dans ses entres jambes. Il se pli en quatre et je reprends mon sac et pars en courant en direction de chez moi. Le gars me court derrière en se tenant les boulles. Un sourire s'afficha sur mon visage alors que je sprintais ma vie.
? : Reviens sale pute.
Ok, bon. Je ne l'entends plus, il a dut abandonné. Au loin je vois ma maison, je finis ma course et rentre dans la maison.
Je monte dans ma chambre, pose mes affaires et prends un bonne douche. Je sors de cette dernière et enfile mon pyjama puis m'installe dans le canapé et allume la télé. Vers 21h Baji rentre.
Baji : Salut t/p, le chemin du retour c'est bien passé ?
Moi : Je me suis faite agressé mais sinon c'était super.
Baji : Pardon ?
Moi : Mais t'inquiète je me suis défendue grâce à ce que m'a appris Chifuyu.
Baji : Attends. Expliques-moi ce qu'il s'est passé.
Je lui expliqua tout de A à Z.
Baji : Qu'est-ce que j'aime Chifuyu.
On continue de parler puis on mange et on va se coucher.
Le lendemain, je me réveille et m'habille pour aller au collège, quand je suis en train de descendre les escaliers, la sonnerie de l'entrée se déclenche et Baji ouvre la porte pour laisser la place à Chifuyu qui me court dans les bras.
Chifuyu : Oh mon dieu t/p. Ton frère m'a expliqué ce qu'il s'est passé hier pourquoi tu m'as pas appelé pour m'en parler !
Il me serrait fort, même très fort.
Moi : Aïe Chifuyu tu me fais mal.
Il recule d'un pas pour plonger son regard dans le mien. Il me regarde avec insistance pour me faire comprendre de répondre à sa question. Je jette un coup d'œil derrière l'épaule de Chifuyu pour voir Baji toujours à côté de la porte en train de nous regarder et ne rater aucun mot qui sort de nos bouches et puis je pose mon regard à nouveau sur Chifuyu puis je soupire.
Moi : Je suis désoler ok.
Je lève les yeux au ciel.
Moi : De toute façon il m'est rien arrivé grâce à toi.
Je lui fait un bisou sur la joue puis marche en direction de la cuisine quand il m'attrape le poignet. Je me retourne pour lui faire face. Il plonge avec insistance ses yeux dans les miens pour que je comprenne que il s'est inquiété pour moi.
Chifuyu : J'ai eu très peur.
Je lui souris pour que son visage se détende puis lui fais un câlin. Il me rend mon étreinte. Après quelques secondes je desserre mon étreinte pour prendre mon petit déjeuné. Puis nous partons a trois en direction du collège.
Les journées et les semaines passent, tout se passe bien entre Chifuyu et moi. Je n'ai pas revu Mikey depuis un moment et je commence à regretter de l'avoir mal pris alors qu' il n'avait rien fait de vraiment mal. En dehors de ça je ne vois presque jamais mes parents et heureusement, parfois lorsque je sors, je les croise mais j'arrive à les éviter. Je ne vais plus aux réunions du Toman et ça me manque.
