Chapitre 23 - Je me battrai jusqu'au bout!

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Eh merde, c'est quoi ça ! J'essaye tant bien que de mal de me battre mais cette chose est très rapide. Je crois que mon seul défaut dans ma technique est ma lenteur, avec une arme aussi volumineuse. Et en plus je suis gravement blessé au bras gauche, fait chier ! Je range ma faux et invoque mon katana, puis me place devant se fléau. Je le fixe droit dans les yeux et laisse cette fois toute ma puissance rugir. Je ne dois en aucun cas perdre, il n'a pas senti Toge qui c'est placé juste derrière lui. Alors autant en profiter. Je pose ma main sur le manche de mon arme et me penche en avant.

- Si tu crois que je vais te laisser passer sans rien faire, tu te mets les doigts dans le nez. Technique démonique, troisième forme.

Je dégaine rapidement mon arme en fonçant sur se fléau.

- Danse écarlate !

Je fonce droit sur mon adversaire et sillonne le trajet avec ma lame recouverte d'un magie occulte très puissante de couleur rougeâtre. J'arrive à sectionner son bras restant et à le blesser à quelque endroit. Mais malheureusement pour moi il arrive à me chopper par les cheveux. Je savais qu'il fallait que je les coupes. Il me tient fermement et me soulève dans les airs pour m'abattre violement sur le sol. J'en ai le souffle coupé, il continue son action une bonne dizaine de fois et de gauche à droite. Je prends sur moi pour ne pas crier, je ne veux pas que tout le monde soit alerté par mes cries. Puis quand pour une énième fois il me lève dans les airs je profite qu'il me porte bien devant son visage pour lui planter un de mes kunaï dans l'il. Il me lâche et je peux enfin m'extirper de sa prise.

Je recule de quelque pas et regarde férocement ce fléau. Je ne sais pas où est Toge quand on en a le plus besoin de lui. Mais en pensant ça je le vois derrière le fléau et il prononce une phrase que je n'entends pas. Mais en revanche je peux bien imaginer que ça dois pas être des mots doux parce que la chose devant moi se tords de douleur.

Je pose à nouveau ma main sur mon arme et m'élance vers lui, je profite du fait qu'il est plié en deux pour sectionner à nouveau un de ses membres restants. Je m'éloigne assez rapidement, je ne veux pas à nouveau embrasser le sol, je l'ai assez vu. J'étais trop concentré sur mon combat que je n'avais pas vue que nous nous étions rapproché de l'école, a présent je cours sur le toit de l'école à la recherche d'une faille pour attaquer à nouveau notre adversaire. Mais rien, après mon attaque il a crée un prison en bois et il s'y enferme à l'intérieur.

- Saumon.

- Je pense qu'il se régénère.

- Bonite séché.

- ...

Mes blessures me font atrocement mal. Mon bras est en lambeau si je puis dire, il me la lacéré quand je me suis trop approché de lui dans la forêt. Je me suis perdu dans ma douleur que je n'avais pas vue la vague de bois se crée devant moi. Toge ne pouvant pas crier essayait tant bien que de mal de me le dire avant, mais malheureusement je me prends cette immense sculpture en bois de plein fouet. Elle transperce mon ventre en me lance en arrière, dans la coure des bâtiments.

Je peux voir du coin de l'il que Megumi se battais contre un autre élève de Kyoto. En me voyant embroché à cette "vague" de bois son visage tourne à la terreur.

- Aico !!!!!

Je peux également voir Inumaki courir sur le toit en face de moi, de l'inquiétude sur le visage. Au bout de quelque mettre le bois stop sa croissance et moi en son bout. Inumaki prononce les mot suivant à mon ami qui se trouve en bas.

- Fuyez, vite !

Heureusement ou malheureusement pour moi la protection que j'ai mis sur mes oreilles fonctionne toujours et donc je ne suis pas affecté par son sort. Je suis contente que mon ami puisse au moins se mettre à l'abri. Quant à moi je prends fermement mon katana en main avec une force abominable je coupe net le bois et me libère de sa prise. Quand j'atterris au sol, je crache une énorme quantité de sang, se bois a laissé un trou béant dans mon torse. Je ne pense pas que mes capacité de régénération seront d'une grande aide là. Mais bon on fais avec, de toute manière je ne peux mourir, Aléa est immortel et vit en moi alors je peux encore me battre. Aller ma vielle tu dois gagner !!!

Dans la salle des professeur :

Soudain les talismans collé sur le mur se sont tous mis à brûler de couleur rouge. Tous les professeur présent dans la salle savent très bien qu'il y a quelque chose qui cloche.

- L'épreuve est terminée ? *demande surprise Utahime* Toute les fumer étaient rouge !

- C'est bizarre. Mes corbeaux n'ont rien vu. *rétorque une autre femme*

- J'aimerais pouvoir mettre ça sur le compte de mes capacités de prof, mais*commence Gojo*

- Les énergies non répertoriées dégagent aussi une fumée rouge. *ajoute le proviseur de l'école de Tokyo, Masamichi Yaga*

- Quelqu'un de l'extérieur ? *reprends Utahime* Un intru, tu veux dire ?

- La barrière de maître Tengen n'aurait pas fait effet ?

- Que cela soit dû ou non à une intervention extérieure *débute le proviseur de l'école de Kyoto*, il se passe quelque chose d'imprévu.

- Je pars rejoindre maitre Tengen. *annonce Masamichi* Satoru, veille à la sécurité des élèves avec M. Gakuganji. Mei, tu restes là pour les localiser et ensuite transmettre leur position à Satoru.

- Bien reçu. *répond la prénommé Mei* Vous pouvez déjà sortir le chéquier.

Satoru se lève inquiet pour ses élèves, puis frappe dans ses mains comme pour demander l'attention des personnes présentes dans la pièce.

- Allez, papy ! C'est l'heure de la promenade ! *crie-t-il comme à son habitude* ça t'aidera à digérer ta soupe de midi !

- Ne traînons pas ! *annonce Utahime, sérieuse*

De retour avec Aico :

Enfaite non, je ne peux pas me battre. Parce que je suis dans les bras de Megumi, ses idiots ont fait demi tour pour m'embarqué avec eux. Bon on est d'accord je suis bien contente qu'ils m'aient pris avec eux et pas laissé sur place mais à cause de moi Megumi est à la traine. Je ne veux pas qu'il soit blessé à cause de moi. Je veux bien avoir un trous dans le ventre mais je ne suis pas morte pour autant.

- Megumi, pose moi !

- Plutôt crevé !

- Mais tu es à la traine à cause de moi, laisse moi que je ralentisse au moins cette chose.

- Tu es gravement blessé, c'est déjà un miracle que tu puisses parler et gigoter comme ça alors reste tranquille tu veux. Tu me gène plus qu'autre chose quand tu bouge.

- Bon d'accord. *me résignais-je en faisant la pote*

Je me calme et laisse Megumi me porter tranquillement. Je jette tout de même un coup d'il derrière pour voir où en est la chose, elle nous suit de près. Je vois que le fléau de classe S est aussi près de nous. Je pense avoir encore assez de force pour pouvoir utilisé cette technique.

Les yeux du démon, est une technique ancienne qui à perdu de sa valeur puisque la famille responsable de l'apprentissage cette technique s'est éteintes il y a des centaine d'années. Mais grâce à Sakura, la dernière descendent de cette famille, Aico la connais. Elle plonge la victime dans un subconscient que le lanceur de se sort à crée. La victime dans le monde réelle est comme paralysé et ne ressent que ce que le lanceur veut le lui faire sentir. Si dans le subconscient que le lanceur à crée veut couper le bras de la victime et bien il en sera fait, elle sentira la douleur qui va avec. Mais dans la vrai vie son bras sera encore attaché à son corps. Seul les sensations et image son possible dans le subconscient crée. En revanche si le lanceur à un certain niveau, ce qui ce passe dans le subconscient, la réalité sera de même.

PDV Megumi

Je tiens dans mes bras Aico qui est gravement blessé. Bien que se soit un euphémisme, elle a un énorme trou dans le ventre ! Je me demande même comment elle fait pour être toujours en vie. Je soupçonne Aléa de l'aider. Merci à elle. Après son énième demande de la posé et un énième refus elle se calme. Je la vois regarder fixement le fléau derrière nous. Soudain ses yeux verts émeraude change subitement de couleur pour devenir rouge sang. Je ne comprends pas ce qui se passe, je ferme les yeux pour voir si j'hallucinais. Mais non, ses yeux ont bien changé de couleur, mais il n'y a pas que ça d'étrange. Le fléau qui nous poursuivait c'est arrêté et...il pleur ?

Toi plus moi (JJK) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant