Chapitre 10 - châtiment

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-A-Aico j-je suis désolé

La jeune femme commence à sangloté, ses larmes dévalent ses joues devenu rose. Je fais comme je peux pour la réconforter, mais je sens que ça ne vas pas beaucoup l'aider. Masi au moins je suis ici pour elle. Nous restons enlacées durant deux minutes. Puis une fois qu'elle est calmée je lui prends la main et nous partons pour le café. Une fois arrivée nous demandons une table assez éloigné, comme je connais bien le patron de l'établissement ça na pas été difficile d'avoir ce que j'ai demandé. Assise à notre table un jeune serveur vient prendre notre commande, Susan prend un grand verre de thé froid et moi je prends une thé glacé.

-Dit moi tu veux que je le maudisse ? *demandais-je nonchalante et regardant l'homme séloigné*

-N'abusons-pas

-Je n'abuse pas, c'est rien ça. Tu sais que je peux faire plus.

-Oui m-mais je ne veux pas que tu aies des ennuies

-Ne t'en fais pas pour moi.

- ...

-He je suis là, si tu veux vient vivre dans mon appart et quand tu te sens prête à rentrer chez toi tu peux partir.

-M-merci Aico mais je crois que je vais affronter ce problème. Je ne veux pas fuir toute ma vie. Je vais le coincé et le mettre en prison.

-Oui tu as raison. Et je suis là pour t'aider.

Comme seule réponse j'ai eu le droit à un grand sourire. Puis la journée se passe dans la joie et la bonne humeur. Ça faisais longtemps quon ne c'était pas autant amusé. Quand les coups de 18h sonnent nous nous levons, payons nos boissons et sortons. Susan est assez tendue, mais je lui prends la main et nous prenons le train pour rentrer chez nous. Elle sait que je suis à l'académie d'exorciste, je ne pouvais pas le lui caché. Alors aujourd'hui je le lui ai dit. Comme elle habite assez loin de la ville je décide de la raccompagner chez elle. Je ne suis pas sereine à l'idée de la laisser seule alors que se connard traine toujours. Une fois que je suis sur qu'elle est bien rentré je fais genre je retourne à la gare mais en faites non, j'arrive près d'un arbre. L'escalade et me poste sur une branche assez haute et caché.

« Je vais le prendre en flagrant délit le boug. Il croit pouvoir faire peur à ma meilleure amie sans être puni par la suite. Il se fourre les doigts dans l'il. »

Je pense que jai du attendre deux heures avant quil ne d'aigne se montrer. Il tourne autour de la maison de Susan trois fois avant de se stopper en dessous de la fenêtre de sa chambre. Mais c'est qu'il est fou ce con. Sans attendre une seconde de plus je saute de ma branche et atterrie avec fracas devant lui. Oui j'ai sauté loin. Et sa ma niquer les genoux, je me relève lentement la tête basse. Je peux sentir que le connard se crispe en me voyant. Bien, c'est ce que je voulais.

-Salut espèce de connard, ça se passe ? Tu fou quoi là ?

-J-j-je

-Bas alors on bégaie ? Le connard de service ne sait pas quoi dire ? Je m'attendais à plus de réparti venant d'un putain de violeur.

-Quoi ? C-Comment tu sais ?

-Tu vois la fille qui habite ici, c'est ma meilleure amie. Alors oui, je sais tout.

-La salope !

-« Salope » ?

Je vais genre de réfléchir et d'un coup de paume dans sa gorge il tombe et essaye de reprendre son souffle qui à été coupé à cause de mon coup.

-« Salope » hein ? Et toi t'es quoi ? Un bâtard ? Non, un enculer ? Non, j'ai mieux. Une ordure, une erreur. voilà se que tu es.

L'homme me regarde avec de grands yeux, j'aime ce regard. Celui qui te montre qu'il ce chie dessus. Et ouais mon pote, réfléchit à deux fois avant de violer une femme. Je claque des doigts et un monstre apparaît. Je n'utilise jamais cette technique, je ne l'aime pas trop à vrai dire. Elle consiste à invoquer un fléau de bas rang. Mais pour un humain comme lui ça va largement suffire. Quand le fléau est apparu, l'homme me regarde terrifier.

Toi plus moi (JJK) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant