Chapitre 14 - Une fois, pas deux.

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Les mêmes cheveux.

Les mêmes yeux.

Le même corps.

Mais pas la même aura, ni la même assurance.

Il me fais froid dans le dos, tout ce que je peux dire c'est qu'il ne m'inspire pas de la peur mais plutôt de l'admiration. Il a quelque chose que les autres fléaux de classe S non pas.

Un corps vachement sexy ?
Oui peut être.
Euuu...Mais non ! Pas ça voyons !!

Il a une prestance qui en jette !

Bien que je sois impressionné par cet homme je ne reste pas moins déconcentré, je le fixe avec un regard dur et je bouge pas d'un poil ma main droite sur ma cuisse droite prête à utilise ma faux en cas de dérapage de la part de notre cher ami le fléau.

- Quel plaisir de revenir enfin. C'est qu'il est coriace le môme.

Il regarde dans tous les coins puis s'arrête sur moi et ses yeux s'agrandissent comme surpris de ma présence.

- Oh, tu es son réceptacle n'est-ce pas ?
- Tu as deviné.
- Où est-elle ?
- En berne.
- Elle est devenu si faible pour obéir à une simple humaine. Dit-il en rigolant à plein poumon.
- Dit celui qui n'arrive pas à prendre le contrôle sur un simple « humain ». Ajoutais-je.

Il arrête de rire et me fixe.

- Tu à envie de te battre pas vrai ?
- Perspicaces.
- Oh oh oh je te conseil de ne pas jouer au plus maline avec moi ma jolie. Je ne suis pas comme Aléa, je suis pire.
- Ça reste à voir.

Il ricane et s'élance sur moi à toute vitesse le poing levé. Je le bloque, un vent se lève du au bloquage de son coup signe qu'il est très rapide.

Un combat s'engage entre nous deux, je lui donne des coups qu'il me rend mais que j'esquive à chaque fois. Ce n'est que deux trois fois que j'arrive a le touche alors que lui c'est plus fréquent. Il me frappe au ventre tellement violemment que je crache un glaire de sang.

Reprenant mon souffle je regarde autour de moi, les personnes présentes se sont toutes misent sur le côté. Ingrid est avec Nobara, je suis soulagé qu'elle ne soit pas seule mais je peux voir dans ces yeux bleu qu'elle est inquiète pour moi. Normale après tout j'affronte le plus grand Fléau du Japon.

Je me relève et attaque le fléau, je saute et me tient sur le dossier de la chaise à côté de lui pour y reposer mes mains en levant mes jambes vers cet homme. J'enroule mes cuisse autour de son coup et les serre très fort. Comme l'attraction terrestre attire les objets et personnes vers le sol le fait que j'ai sauté et enroulé mes jambes autour du coup du fléau, nous tombons tous deux au sol lourdement. Je serre de plus en plus fort pour qu'il perdre simplement connaissance ou que l'hôte reprenne le dessus. Mais rien n'y fais. Au contraire, grâce à ces ongles bien pointus Sukuna plante violemment ses doigts dans la chaire de mes cuisses. Je laisse échappe un grognement de douleur mais sans plus. Je ne veux pas donner satisfaction à l'homme sous l'emprise de mes cuisses l'entente de ma douce mélodie de douleur.

Je desserre ma prise et me relève drôlement vite, mes membre saigne abondamment. Je n'y prête pas plus attention si à l'adrénaline et me reconcentre sur le rouquin.

Je colle ma main droite sur la gauche, ferme les yeux et prononce à voix basse une phrase en langue ancienne.

«   Reprends ta forme rigide »

Soudain un "Yari" apparais dans ma main droite, je le fais tournoyer dans cette main et le rabat rapidement lame pointé vers le sol. L'homme est surpris de ma technique mais ne vacille pas d'un poil lui non plus. Il invoque comme un espèce de "Katana" d'une couleur noir et rouge, il effectue quelque figure avec avant de le rabaisser en avant lame vers moi.

Toi plus moi (JJK) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant