Feitan (hunter x hunter)

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Et voici une commande de
Je vous souhaite une bonne lecture !
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Et encore une fois elle roucoule comme une bécasse après sa pseudo blague. Non mais qui rigolerai après : Quoi ? Bah feur. Personne. Non, décidément personne. À part peut-être des gens de mauvais goût.

Bon revenons en à nos moutons, enfin plutôt à la mission en cours. Nous devons voler un livre pour le chef et... c'est la seule information que l'on m'a donné. Mais (T-p) doit avoir plus d'infos parce qu'elle a l'air à fond.

Ou alors elle a vraiment envie de coucher avec ce crétin.

Ça arrivera jamais. En tout cas pas temps que je suis vivant. Rien que d'imaginer cet acte se produire, une haine intense me parcours. Je suis tellement focaliser sur cette hypothèse que je ne vois pas quelqu'un s'approcher.

Pakunoda : Ton zetsu !

Même si cette phrase était murmurée, je compris tout l'enjeu qu'il y avait. Je mettais la mission en péril avec mon attitude. Mais je voyais ce monstre poser ses pattes sur la peau de (T-p), comment rester de marbre après cela ?

Elle qui a un épiderme que j'imagine si doux au touché. Celle qui illumine mes journées en un seul regard. La personne qui pouvait me réconforter avec n'importe quels mots.

Comment je pouvais rester spectateur de ce désastre ? Alors que je pouvais, sans le moindre effort, tuer chaque invité de ce gala.

En parlant d'elle, la voilà qui arrive. La (c-c) me regarde et son sourire disparait, ce qui m'indique que la discussion que l'on va avoir n'aura rien d'amical.

(T-p) : Tu ne sais plus métriser ton nen ?

Feitan : Bien sûr que si. J'avais cru voir une menace, voilà tout.

(T-p) : Au moins de rang A pour en déployer autant.

Feitan : Je n'en sais rien.

(T-p) : C'était de l'imprudence. Tu en es conscient ?

Feitan : Oui.

Alors qu'elle prévenait tout le monde qu'il n'y avait finalement rien à signaler par transfert de pensée grâce à la maîtrise de son nen, (T-p) retourna voir le petit rigolo.

Je m'approcha afin d'entendre le début de la discussion, qui fut plus que déplaisante.

(T-p) : Un compagnon que je n'avais pas vu depuis longtemps.

Lemecchiant : Il ne vous a pas importuner, j'espère ?

(T-p) : Bien...de là. Il...

Et le reste fut un mystère pour mes oreilles puisque je dus retourner à mon poste, près de l'entrée.

Quelques minutes plus tard, un homme pris place sur l'estrade puis pris la parole, captant l'attention de chaque personne présente.

Youpiundeuxiememecchiant : Je vous souhaite à tous la bienvenue à cette cérémonie et sans plus attendre Monsieur Takuma va nous dévoiler le livre tant attendu.

Tous applaudir à ce discours des plus merdique, si je pus me permette.

LemecchiantaliasMrTakuma : Voilà la pièce que vous êtes tous venu admirer en cette soirée. Le célèbre livre des morts !

Tout juste après ces mots la lumière s'éteignit et l'araignée entendait : Maintenant.

Les convives furent tués, le livre récupéré.

Enfin, ça, c'est la version officielle. Je ne pris pas la peine de tuer Takuma, je l'assoma et reviendrai le prendre plus tard.

La mort serais un sort trop bon pour une personne de son calibre. Non, lui, je veux le faire souffrir, le torturer jusqu'à ce qu'il succombe. Oui, le voir mourir petit à petit, comme une étincelle s'éteint.

Rien que ces pensées me donne des frissons de plaisir, ma délectation va enfin pouvoir commencer.

Attaché avec une chaîne comme un chien le gigolo daigne enfin se réveiller. Je l'y ai aidé mais se n'est qu'un infime détail.

Après un cri dont les enfants ont le secret pour être si aigu, il essai de marchander.

L'autrequepersonneaime : Je peux vous donner de l'argent si c'est ce que vous voulez. Je ferai tout ce que vous voudrez. Pitié. Ne me faites pas de mal.

Alors qu'il continuait son monologue barbant que je n'écoutais absolument pas en passant, je préparais mes outils afin d'assouvir mes pulsions.

Feitan : Ferme la. Je veux un silence de tombe, compris ?

Il secoua la tête terrifié. Cette expression est si plaisante, gratifiante. Je suis sûr qu'il ne s'en rend même pas compte, cet ingrat.

Je commence par arracher ses ongles, tout doucement, on m'a toujours dit de ne pas brusquer les gens. J'applique le conseil.

Mais lui en revanche, il ouvre sa grande gueule pour chouiner et hurler au secours à qui voudra.

Feitan : Personne ne t'entend d'ici.

J'alla chercher un sécateur sur la table et revenu en face de mon prisonnier.

Feitan : Tu sais... je t'ai vu tout à l'heure. Tu vois très bien de quoi je parle, n'est-ce pas ?

Vousliseztoujourslesnomschelousquejeluidonne : N-non

Feitan : Mauvaise réponse ! Un doigt en moins. Aller fait un effort, tu vas te souvenir. Ou bien je te couperai le majeur cette fois.

Jeletrouvepascoopératif : J-je sais p-pas !

Feitan : Encore faux. Vous êtes un cancre ma parole. Mais ce n'est pas grave, je vais te rafraîchir la mémoire.

Alors que j'entamais mon récit, mon hotage se moqua de moi. Il est suicidaire ?

Feitan : Qui a-t-il de si drôle ? L'histoire ne vous plaît pas peut-être ?

Jecroisquejedétestecemec : Vous avez fait tout ça pour cette gonzelle ! C'est vrai qu'elle est bonne mais elle aurait jamais fait le poids face à la blonde aux gros nibards. Et puis-

Et puis plus de langue ! De toute façon quand on ne sais pas s'en servir, vaut mieux ne pas en avoir, non ?

Feitan : Oups ! Ma main a glissé. Mais elle a bien fait comme ça je n'entends plus d'insultes envers celle que je conçois comme mon âme soeur.

Je fit une petite pause lecture en attendant qu'il se remette de ses émotions. Le pauvre petit chou est tombé dans les pommes, inconscient.

La fin de mon roman n'était pas comme je l'imaginais. Le héros meurt de la main d'un de ses compagnons, à cause de la jalousie. Basique. Comme ma séance de torture.

Je vais pimenté les choses. Scalper son visage de "beau gosse riche" en petit lambeaux.

La douleur l'a fait revenir à lui rapidement. Et se n'est pas la seule chose qui a changé. Deux yeux me regarde, je le sens.

Feitan : Qui que tu sois, tu as tout intérêt à te montrer si tu ne veux pas finir comme lui.

??? : Tu me ferais presque peur, Feitan.

Feitan : Je suis surpris de te voir ici. Tu es là depuis longtemps ?

(T-p) : Je t'ai suivi depuis la réception. J'étais étonné que tu partes avec un cadavre. Et puis j'allais partir mais le spectacle était merveilleux.

Feitan : La discussion a dû te déplaire.

(T-p) : Elle m'a plutôt ravi. J'en suis toute excitée.

Feitan : Cela me plaît au plus haut point. Mais ça ne te dérange pas si je continue encore un moment ?

(T-p) : Au contraire, fait. Je me délecte du tableau.

Recueil d'os (x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant