Enmu 🍋 (demon slayer)

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Ses paupières était closes, sa respiration lente et régulière. La jeune femme aurrait pu être confondu avec une statue de pierre si la fumée qu'émettait son corps disparaissait.

C'était une jeune démone, du moins s'est ce qu'espérais Enmu. Parce que s'il venait d'endormir un de ses senpais, sa vie prendrait fin dès le réveil de la (c-c).

D'ailleurs le visage de celle-ci commençait à se déformer dû au cauchemar qu'elle devait vivre.

Mais plus le cauchemar s'intensifiait, plus la vapeur d'eau qui provenait de la démone chauffée et le visage de la (c-c) exprimer d'autres sentiments.

Au départ Enmu pensa voir de la tristesse mais il s'aperçut bien vite que c'était de la nostalgie rejoint rapidement par la joie.

La femme devait être en train de vivre son pire cauchemar et en émanait du plaisir ?

Le rêveur ne pouvait le croire. Non, c'était tout bonnement impossible. Infaisable. Il ne pouvait l'admettre. Comment aurait-il pu d'ailleurs ? Ses cauchemars devaient terrifiés, ils n'étaient pas là pour procurer cette sensation de bien être.

Pour avoir le fin mot de l'histoire, le démon entra dans le rêve de la (c-c). Après tout c'était le moyen le plus simple pour comprendre ce qui clochait chez elle.

Le tableau devant lui était des plus banal. Oui, c'était le mot parfait pour cette description.

Enmu était atterri de nuit dans une grande ville, des lumières tamisées servaient pour se repérer. Comme si on le poussait en avant, les jambes du démon l'emmenèrent jusqu'à une maison surplombant toutes les autres, en plein centre de la ville. De celle-ci provenait des cris de douleur. On pouvait vaguement distinguer plusieurs voix, de femmes.

Il ne s'éternisa pas plus longtemps dehors et entra.

La première chose qu'il vu en mettant les pieds à l'interieur fut le portrait d'un homme sur le mur d'en face. À sa droite se prolonger un long couloir, et sur sa gauche, il y avait un guichet.

Les cris provenaient du couloir alors Enmu se dirigea dans cette direction. Plus il approchait plus il était troublé, le démon pouvait clairement entendre un hurlement dissonant parmi la cacophonie.

Il suivit celui-ci pensant trouver celle qu'il était venu espionner et il eut raison. Enmu trouva la démone derrière la troisième porte. Quand il poussa le bois, il vu une scène des plus troublante.

La (c-c) était en train de souffrir, le martyr même, cela se voyait. Les coups qu'elle se prenait, qu'il soit de fouet ou de poing, laissaient des marques violacées sur son corps à moitié nu.

La vue qu'était à la portée d'Enmu l'excita au plus au point. Il avait déjà entendu parler de personne recherchant la douleur ou l'humiliation afin d'obtenir du plaisir mais jusqu'à présent il n'en avait jamais rencontré.

Il observait le spectacle qu'offrait la (c-c) à ses yeux. Chaque choc qu'elle recevait lui faisait émettre un faible gémissement mais elle quémandait plus, encore davantage.

L'intrus resta en retrait jusqu'au moment où il sentit le sang du démon. Cette odeur le poussa à passer à l'acte, il voulait frapper à son tour, faire saigner, l'entendre gémir de nouveau.

Alors Enmu cogna, encore et encore, sans aucun arrêt, pour l'écouter soupirer d'aise.

La satisfaction qu'il obtenait avec ce geste ne suffisait pas, lui aussi voulait au delà, pouvoir jouir comme elle. Il enleva les lambeaux de tissu restant sur la femme puis, déchira les siens en une fraction de seconde.

Une fois cette besogne accomplie il entreprit de laisser ses mains parcourir le corps de sa partenaire plantant ses ongles dans la chair de la démone. Chaque parcelle de l'anatomie de la femme était marqué, sucé, griffé, mordu. Il n'y avait pas un seul endroit qui n'avait pas été malmené par l'homme.

Il continua en pénétrant la femme d'un seul trait lui ôtant un râle de bien-être. Cette union procurait au deux maudits un sentiment de contentement, de plénitude total. Enmu commença des vas et viens obtenant après quelques minutes d'endurance une jouissance partagée avec sa partenaire.

Suite à l'orgasme, la (c-c) repris le contrôle du rêve et expulsa l'intrus, puis, se réveilla.

Elle ouvrit ses yeux (c-y) et détailla les alentours. Comme elle le supposait la vapeur que son corps dégagé avait littéralement cuit chaque personne se trouvant dans le même wagon qu'elle.

??? : Et merde...

Après ce juron plus que basique, l'ancienne femme alla à la rencontre du maître des lieux.

??? : Cela faisait longtemps que je ne mettait pas autant amusée. Je t'en remercie.

Enmu : Je te retourne le compliment, tu es vraiment unique en ton genre...?

??? : (T-p). (T-p) (T-n).

Enmu : Tu ne voudrais pas rester avec moi, ici.

(T-p) : Cela ne me dérangerai en aucun cas...?

Enmu : Appelle-moi Enmu.

Recueil d'os (x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant