Gojo (jujutsu kaisen)

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Et voilà une des commandes de , les autres arriveront au plus vite 😉.
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Gojo : Essaies au moins de te mettre à ma place !

(T-p) : J'essaie !

Gojo : Non. Parce que si t'y arrivais on aurait pas cette conversation. Si tu ferais ce que je veux ça se passerait très bien !

(T-p) : Tu rejètes la faute sur moi ! Vraiment ?!
Je rentrerai à vingt heure pile et je ne veux pas te revoir jusqu'à demain. Compris ?

Cette scène, bien que courante dans l'école d'exorcisme de Tokyo, avait attiré les nouveaux secondes.
C'était la première fois qu'une dispute allait aussi loin et soit d'une telle dureté dans les mots, qu'ils en restaient bouche bée.

Revenons un peu sur le contexte.
Quelques temps plus tôt, le duo que formait Satoru et (T-p) était en soirée. C'était une demande de l'homme, qui voulait s'amuser. La jeune femme n'aimant pas spécialement avait tout d'abord refusé mais, son ami avait insisté pendant une semaine encore alors elle céda.
Mais quelques jours plus tard Gojo réitéra sa demande, voulant de nouveau sortir festoyer. Et la réponse de (T-p) ne lui plut pas, celle-ci étant négative.

Le soir venu, vingt heure sur toutes les horloges du pays, la jeune femme respecta les paroles dites un peu plus tôt et rentra dans l'appartement qu'elle habitait depuis maintenant quatre ans avec le blanc.
La porte fermé à double tours derrière elle, la (c-c) nettoya pour se changer les idées.

Environ deux heures plus tard, soit vers 22h, le nettoyage de printemps fut terminé. Épuisée la jeune femme tomba de fatigue sur son lit, sans aucunement prendre le temps de se changer ou de se glisser sous la couette.

Le lendemain, (T-p) partit au travail après une douche bien méritée. Elle arriva en avance et alla directement prendre conscience de sa mission. Elle fut étonnée de voir qu'il sagissait d'une enquête puisque d'habitude c'était Nanami qui s'en occupé mais ne s'en préoccupa pas plus que ça.

Une fois sur place elle pût constater quelques dégâts matériels mais le plus gros de l'enquête se trouvait devant elle.

Policier : Nous vous attendions. D'autres victimes sont réparties sur tout le site.

(T-p) : Merci. Je jettes un oeil et reviens vers vous au besoin.

Après un signe positif de la part de son interlocuteur la jeune femme se laissa déambuler entre les stands. La fête foraine, lieu du carnage, avait une grande surface, elle s'étendait sur plus de dix hectares.

Durant le trajet, l'exorciste ne put réunir aucun indice, malgré la minutie dont elle fit preuve. Or ce n'était pas le plus choquant. Le plus perturbant était le fait qu'il ne restait des victimes que des lambeaux de vêtements, comme si le tueur les avait fait disparaître de la surface de la terre.

L'étape numéro un n'ayant pas fonctionné comme espéré, la (c-c) partit de la scène de crime et y revenu la nuit tombée pour ne croiser aucun témoin potentiel. Elle utilisa de nombreuses techniques pour déceler une quelconque présence de fléau ou une trace rémanente de l'un d'eux, mais rien n'apparu. Aucune trace. Aucune présence. Il n'y avait que cette sensation d'atmosphère familière.

À partir de ce moment précis l'enquêtrice devint septique. Aucun humain ne pourrait faire subir cela, que se soit par manque de moyens ou juste par manque de cette chose appelé folie. Et aucun fléau n'était sur les lieux.

Pourquoi ?

Ce fut la première pensée qu'elle eut. Pourquoi il n'y avait pas de fléau ? Il y aurait dû au moins avoir des classes quatre et trois.
Pourquoi avait-ils fuient ? Elle en était certaine, ils avaient dû fuire pour leur vie. Mais que c'était-il passé ?

Recueil d'os (x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant