Chapitre 18 : Ennemi en vue ?

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P.D.V. Maryssa

C'est le jour où je suis supposée faire l'opération.

Je me rendis alors à l'hôpital quand je fus arrêtée par Aleck.

- Qu'est-ce qu...

- Ta remplaçante est déjà sur la table d'opération. Pendant tout le séjour de celle-ci à l'hôpital, tout le monde la verra comme si elle était toi.

- Une illusion ?

- Oui... Aujourd'hui, vu que tu ne peux pas allée à l'école pendant ce temps, on doit se rendre chez moi.

J'hochai la tête et déposa ma valise dans sa voiture.

Le chemin se passait calmement quand soudain les pneus de la voiture éclatèrent et on fonça dans un poteau. Je sais que l'on n'est pas blessé aussi facilement dans ce genre d'accident, nous les vampires cependant je m'évanouie.

P.D.V. Aleck

J'étais un peu sonné et heureusement nous n'avions rien. Cependant j'étais bloqué avec la ceinture et l'airbag... Je vis alors des personnes masqués s'approchaient du véhicules du côté de Maryssa et la détachèrent.

- Que voulez-vous à Maryssa !

Ils me firent la révérence et partirent en courant avec elle.

- Revenez ! Rendez-la-moi !

Je dus attendre que l'airbag dégonfle avant de sortir de la voiture malheureusement, ils étaient déjà loin. Je pris alors mon téléphone et appela mon père pour lui faire un compte-rendu de la situation.

*Début de la conversation téléphonique*

- Hallo, Aleck ? Où êtes-vous ? On vous attend, vous deviez arrivés, il y a une demi-heure !

- Il semble qu'il y est encore des opposants extrémistes de ma relation avec Maryssa... Elle vient encore de se faire enlever et tout ça parce que je n'arrive pas à la protéger !

- Du calme, mon fils... Qu'est-ce qu'il s'est passé ?

- On était sur la route pour revenir à la maison lorsque nos pneus ont éclatés... Cela m'a sonné tandis que Maryssa s'est évanouie. À ce moment-là, ils en ont profités pour venir la chercher alors que je ne pouvais pas bouger...

- Ok... Je t'envoie une voiture et pendant ce temps on va regrouper les opposant extrémiste qui sont plus activent ces derniers mois et ensuite on cherchera après la taupe qui a dû surement révéler que vous reveniez aujourd'hui.

- Ok, ça marche.

*Fin de la conversation téléphonique*

P.D.V. Maryssa

J'avais vraiment mal à la tête, c'était horrible... En plus, j'étais attachée et j'avais les yeux bandés ainsi que ma bouche. J'essayai de bouger en vain lorsqu'on me donna un coup de pied.

- Arrête de gigoter !

J'avais vraiment de plus en plus peur. Je suis encore tombé dans une sorte de magouille...

J'entendis alors d'autre personne parler dans la pièce dans une langue qui m'était inconnue.

P.D.V. Aleck

Lorsque je fus arrivé chez moi, je fonçai dans une pièce connue que de moi et mon père ainsi que quelque domestique de confiance.

Je rentrai dans une pièce où les murs étaient remplis de feuilles, de listes, etc..., avec une table au centre où était regroupé mon père ainsi que quelques espions. Mon père m'interpella.

- Aleck, viens ici ! Je crois qu'on a trouvé !

Je me dépêchai de le rejoindre et vis une liste avec plusieurs noms de noble.

- C'est quoi ça ?

Une jeune fille que je ne connaissais pas me répondit.

- Ce sont les nobles qui n'acceptent pas ta relation et ceux qui veulent tout bêtement faire tomber le règne royaliste.

Me père reprit.

- Le problème, c'est qu'ils se sont réunis en deux groupes. Ils sont très actifs dernièrement. Nous pensons que se sont peut-être un des deux groupes qui l'ont enlevé.

- Qu'est-ce qu'on attend ? Il faut qu'on...

Un homme m'interrompit.

- On ne peut pas vous laissez y allé.

- Comment ?

- Si c'est les personnes qui sont opposés au règne royaliste, ils attendront juste que vous veniez pour ensuite vous capturer et alors cela entrainera une guerre et on ne peut pas se le permettre !

Je tapai du poing sur la table.

- Je me fiche de ce qui peux m'arriver, je viens un point c'est tout !

Mon père posa une main sur mon épaule et me sourit pour me réconforter.

- D'accord mais tu devras faire très attention. On a une chance sur deux que ce soit eux.

Je hochai la tête et écouta la suite du plan, le lieu de résidence, etc...

P.D.V. Maryssa

Combien de temps c'est écoulé ? Je n'en ai aucune idée, j'ai l'impression que cela dure depuis des siècles. Lorsque j'entendis la porte s'ouvrir. La personne qui rentra parla et on me souleva du sol.

- J'ai peur, punaise... Où est-ce qu'il m'emmène ?

On m'emmena assez loin avant de me maintenir fortement les bras au point que je criais de douleur et me détacha pour me rattaché sur un truc dans les airs. Selon ce que je sentais, c'était en bois. On me retira le bandage des yeux et je vis que j'étais dans une immense mais vraiment immense salle à manger dans laquelle se trouvait une cinquantaine de personnes qui me regardaient d'un air diabolique presque. Je vis alors grâce au miroir près de moi que j'étais crucifiée sur une croix à un ou deux mètre du sol.

- Punaise, c'est quoi ce délire ?

Un homme d'une cinquantaine d'année s'avança vers moi et rigola.

- Mais qu'avons-nous là ? La future Mme. Davidson ! C'est dégoutant !

- Désolée mais Aleck n'est pas gay ! Punaise, je ne peux pas parlée... Je l'aurais dégommée verbalement...

- Tu as l'air furieuse.

Je le snobai et regarda s'il y avait quelqu'un que je connaissais. Ce que je vis me fis un choc, Erlinna me regardais avec des yeux de psychopathes avant de retourner discuter avec un homme plus âgé.

Des domestiques rentrèrent dans la pièce avec plusieurs boites de tomates et d'épluchure. Je crois comprendre ce qui allait m'arriver.

Un garçon monta sur l'échelle près de la croix et m'arracha mes vêtements. Ensuite tout le monde commença à m'envoyer des tomates et quand leur caisse fut vide, ils firent la file pour me jeter leurs épluchures. Ils rigolaient tout en prenant des photos de moi mais je vis que cela ne faisait que commençait... Les domestiques faisaient des allés retour ramenant plein de chose dans le coin de la pièce. Plusieurs personnes faisaient déjà la file pour accéder à ces objets.

Je me retenais de pleurer tellement je me sentais sale.

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Petite dédicase à doggiegirllove qui suit mon histoire depuis le début et me dit ce qu'elle en pense.

Le coup de foudre, existe-t-il ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant