Le coup de foudre, existe-t-il ?

Chapitre 20 : Pourquoi moi ?

P.D.V. Maryssa

Je me réveillai et je ne reconnaissais rien de ce qui m'entourer. Tout était blanc autour de moi.

- Où suis-je ? Je suis morte ?

Je pensais de plus en plus à cela. Lorsque je sortis du lit, j'étais complètement habillée de blanc. Je criai.

- Eh ! Il y a quelqu'un ?

Une femme entra alors en courant dans la chambre et me sauta dans les bras.

- Mlle. Maryssa ! Je suis contente que vous soyez enfin réveillée !

- Mireille ? Je suis donc pas morte ou autre chose ?

- Non, Mlle. Maryssa mais vous avez dormis trois jours !

- Trois jours !

Elle hocha la tête et continua.

- Son Altesse est très inquiète... On n'a même pas réussi à ce qu'il se nourrisse correctement !

- Aleck !

Je voulu allée vite le rejoindre mais mes jambes se dérobèrent et je tombai en criant.

- Mlle. Maryssa !

J'entendis des pas se précipitaient jusqu'ici Et la porte s'ouvrit sur Aleck.

- Mireille ! Qu'est-ce qui se passe ?

Et lorsqu'il vit le lit vide, il s'affola.

- Où est Maryssa ? On l'a encore enlevée ! Répond !

Mireille toussa un peu.

- En dessous.

- En dessous ?

J'éclatai de rire.

- Je suis là, Mon Amour !

Il me regarda surpris avant de rigoler.

- Mais qu'est-ce que tu fais au sol, mon cœur ?

- Eh bien...

Je rougis et balbutia quelque chose de complètement incompréhensible alors Mireille expliqua.

- En résumée, elle pensait quand elle s'est réveillée, qu'elle était morte puis quand elle a su que non, elle a voulue toute suite vous voir et donc elle s'est précipitée vers la porte mais ces jambes l'ont lâchés...

Il rigola un bon coup puis me prit dans ces bras en mode princesse.

- Mireille, je m'occupe d'elle maintenant donc vous pouvez partir.

- Bien Votre Altesse.

Elle fit la révérence et sortit de la pièce.

Aleck me porta jusqu'au lit et m'allongea puis se coucha près de moi.

- Tu m'as fait une de ces peurs, mon cœur... J'ai cru que tu ne te réveillerais jamais.

Je rigolai doucement.

- Je suis un vampire, maintenant. Je ne décèderais pas aussi facilement...

Il m'embrassa tendrement.

- Je ne pouvais pas m'empêcher de m'inquiéter, si tu meurs, je n'aurais plus goût à la vie...

Je l'embrassai à mon tour.

- Tu sais que tu es trop mignon quand tu dis ça ?

Je respirai un bon coup avant de lui posait la question qui me trottait dans la tête.