Le coup de foudre, existe-t-il ?

Chapitre 27 : La recherche

P.D.V de Maryssa

Je ne reconnais, rien. De plus, je suis dans le noir complet depuis je ne sais combien de temps. Je me resserrai dans le coin où j'étais pour me rassurer. Plein de cadavres de femmes recouvraient le sol... Un vrai amas. Je pleurais car je me disais que c'était vraiment la fin.

- Qui penseraient que c'est Lionel ? Il n'a plus montré signe de vie depuis longtemps et si Kaysia le pense, il serait quand même impossible de me retrouver car toutes les adresses qu'il a utilisé pour m'envoyer ces présents étaient fausse... Je suis dans pétrin...

J'entendis la porte s'ouvrir et même s'il est impossible de rentrer dans un mur, c'est quand même bien la peine d'essayer ! Je vis le démon rentrait dans la pièce avec le sourire aux lèvres.

- Le maitre veut te voir.

Je secouai la tête pour lui faire comprendre que je ne voulais pas venir alors il soupira et me pris par le col du t-shirt pour me trainer jusque celui-ci. Il y avait une différence énorme entre les deux pièces dans lesquels je suis allée. Celle-ci était chaude et accueillante. Je ne me sentais vraiment pas à ma place. Ma figure devait être plein de terre tandis que mes vêtements étaient sales et abimer. Lionel se leva de son siège et s'agenouille en face de moi.

- Mais qui voilà ? Tu ne sais pas à quel point tu m'as manqué !

- On est où ?

- Dans la dense forêt au sud du pays.

Je reculai tant bien que mal. Il avait un regard de fou furieux. Il eut un rire diabolique face à ma peur.

- Alors ma chérie ? Tu as voulu me rendre jaloux ?

- Quoi ?

- Je sais que tu m'aimes donc quand j'ai appris que tu sortais avec un mec pareil, je me suis dit que c'est juste pour que je réagisse.

- Mais non !

Il m'ignora totalement et reprit.

- Donc j'ai fait ce que tu as voulu mais il va falloir que je te punisse...

Il m'attrapa les cheveux et me tira jusqu'au lit au centre de la pièce. Il me sourit sadiquement.

- Ne t'inquiète pas cette punition va te plaire !

P.D.V. Aleck

Mon père nous emmena dans la bibliothèque et sortit d'un tiroir avant fermé à clef, un canif ainsi que quelque papier.

- Aleck, va chercher un vêtement où quelque chose portant l'odeur de Maryssa.

Une fois que tout fut prêt, mon père m'installa sur une chaise et me mis dans une main, le robe que j'avais descendu. Il me demanda alors de fermer et yeux et ma taillada le bras.

- Bien, tu vas bientôt allez dans son esprit... Tu devras juste te concentré sur la discussion. Tu ne sauras pas communiquer avec elle.

Il récita des mots incompréhensibles et je me sentis partir.

Je vis tout ce que voyait Maryssa.

- Mais qui voilà ? Tu ne sais pas à quel point tu m'as manqué !

- On est où ?

- Dans la dense forêt au sud du pays.

Elle recula tant bien que mal. Ce gars avait un regard mauvais. Il eut un rire diabolique.

- Alors ma chérie ? Tu as voulu me rendre jaloux ?

- Quoi ?

- Je sais que tu m'aimes donc quand j'ai appris que tu sortais avec un mec pareil, je me suis dit que c'est juste pour que je réagisse.

- Mais non !

Soudain je sentis qu'on me tirait en arrière et la seconde d'après je me retrouvais avec tous les autres. Je sautai de ma chaise.

- Elle est dans la forêt au sud ! Est-ce qu'il y a une adresse correspondant ?

Mon père me fit un grand sourire.

- Oui !

On s'y rendit le plus rapidement possible. Le lieu était digne des films d'horreur. Une dense forêt avec un château moyenâgeux eu centre. Je courus ouvrir la porte mais fut arrêté sur ma lancé par une ombre qui se transforma en humain sans visage.

- Je ne vous laisserai pas rentrer.

J'entendis derrière Florence faire "beurk". C'était assez comique par rapport à la situation. J'essayai de contourné l'homme mais il me frappa en plein estomac, me propulsant en arrière.

-Je vous ai dit quelque chose... Ne me faite pas répéter et partez.

J'entendis alors Maryssa criait. Je commençais sérieusement à m'énerver. Mon père me dit alors.

- Pars ! On s'occupe de lui !

Ils se jetèrent tous sur lui, et moi, je passai rapidement les portes. Je criai après Maryssa quand j'entendis un bruit à l'étage du dessus. J'allai ouvrir la porte et vis Maryssa attachée sur le lit et nue. On lui avait bâillonné la bouche pour qu'elle ne crie pas. Elle essaya de me dire quelque chose donc je décidai de la rejoindre mais elle me fit non de la tête. Elle commença à pleurer tout en secouant la tête. Je courus la détacher et lui enlever son bâillon.

P.D.V. Maryssa

Je viens de me faire violer... Je me sens si sale, je veux mourir, je ne suis plus digne d'Aleck... Soudain, je vis mon agresseur se levait et se mettre derrière la porte avec un révolver qu'il avait pris sous le lit. Je compris le pourquoi lorsque je vis Aleck passait la porte. Il me sourit et commença à marcher vers moi. Je secouai la tête priant qu'il comprenne qu'il doit partir sinon il va être blessé. Il continua à avancer et me détacha. Je vis alors Lionel pointait le fusil sur lui. Je sautai alors sur Aleck pour le protéger de mon corps. J'entendis les coups de fusils et sentis une immense douleur avant de m'évanouir complétement.

P.D.V. Aleck

Elle sauta dans mes bras, et moi, content de la retrouver, j'allais l'enlacer lorsque j'entendis plusieurs coup de feux de suite et vis Maryssa s'écroulait au sol.

- Maryssa ? Maryssa !