Bonjour ou Bonsoir, avant de commencer, je vais vous mettre une petite note pour vous y trouver.
En gras, les dialogues.
En italique, les actions des personnages liés à un dialogue.
♤ ♡ ◇ ♧ ☆
Le fait qu'il n'y ait rien de plus que les attaques ayant déjà eu lieu me permettait de me détendre un peu, profitant du calme avant la tempête car je savais qu'elle viendrait à un moment donnée. Pourtant, cette fois-ci, je ne pus retenir un hoquet de surprise en lisant le journal et mort d'inquiétude, je me permis d'envoyer une lettre au Lord Lovegood, espérant que Luna aille bien.
Fin décembre et début janvier, la période après les fêtes et où tout le monde baissa sa garde, Voldemort attaqua Poudlard. Nous qui pensions avoir le temps, après tout, Voldemort attaquait toujours en fin d'année lorsque j'étais encore étudiant, je compris bien vite qu'il nous en manquait.
Proche du terme de ma grossesse, je m'assis dans ma cuisine essayant d'avaler les nouvelles de la chute de Poudlard entre les mains ennemis et la mort de Dumbledore. C'était à prévoir, l'école pour sorcier britannique étant un lieu important où exercer le pouvoir était primordiale. Pour ce qui est de la mort de l'ancien directeur, la seule constatation que je fis est que les temps seraient difficiles désormais.
Je n'aimais pas Albus, je n'étais pas triste de sa mort mais je reconnaissais son utilité et sa puissance dans ce combat, il était un étendard de la lumière. Avec sa mort, je ne me faisais pas d'illusion que les alliés se ferait plus rare, personne ne voulant être abattu sur le champ. De plus, à cause de ça, beaucoup d'élèves dont Luna ont fui le château, de peur que les mangemorts prenant possession de celui-ci ne s'attaquent à eux.
Cette information gardé secrète par la presse et le ministère, je l'appris par le Lord Lovegood qui récupéra sa fille saine et sauve. Bien évidemment, ne voulant pas perdre des alliés précieux, je leur ordonnai presque de venir vivre dans ma demeure, permettant au Lord de découvrir ma condition d'homme enceint. Si au début il fut surpris, en plus de toute la quête que nous faisions dans l'ombre, il n'en dit rien, me félicitant de ce miracle.
Nous nous sommes habitués à vivre ensemble, ne pliant pas à la menace du mage noir qui prit peu de temps après le ministère de la magie, obligeant beaucoup de monde à fuir de chez eux. A cause de cet évènement, Luna me pria rapidement de bloquer le pouvoir de l'horcruxe pour ne pas permettre à Voldemort d'apprendre par hasard ma grossesse.
Je fis appel aux gobelins, ayant beaucoup plus de connaissance que nous dans ce domaine et heureusement, grâce à leur magie gobeline, ils m'affirmèrent l'avoir bloqué pour un temps limité à deux mois maximum si je ne rencontrais aucun problème important. Depuis, je n'avais plus aucune vision du mage noir en train de torturer ou tuer des gens, toutefois, le stress provoqué par ses dernières ainsi que la recherche d'alliés me fit perdre les os en avance.
Cette nuit-là fut extrêmement difficile pour moi et je passais la moitié de mon temps à crier ma souffrance ou à broyer la main du seul autre Lord présent dans la pièce. La situation particulièrement alarmante avait obligé les deux Lovegood ne s'y connaissant pas forcément en accouchement à faire appel non seulement aux gobelins mais aussi à mon psychomage qui malgré son choc, géra la situation professionnellement grâce à sa précédente formation de médicomage.
Pendant dix heures, DIX HEURES, nous sommes restés enfermé dans ma chambre alors que j'accouché naturellement, poussant de toutes mes forces pour faire sortir le bébé. Finalement, après un dur travail et un épuisement évident de tous les membres se trouvant dans la pièce, je me concentre sur les pleures d'un petit être qui avait apparemment deux gros poumons et des cordes vocales solides pour crier ainsi.
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Harry Bad Bitch
FanfictionUn instant de pure terreur qui inconsciemment avait fait réagir sa magie violemment avant qu'il ne bascule dans les ténèbres. Ce n'est qu'un mois après qu'Harry Potter se réveilla à St-Mangouste, enchaînant un semblant de procès perdu d'avance, sans...