Don't forget me // ETIENNE MICHUT

Prt II: Chapitre III

Pdv d'Enola

Je suis à la caisse en train commander de nouveaux arrivages, quand un client arrive dans la boutique, je relève ma tête, je bugue quelque secondes, ne me dits pas que c'est lui...

Il me regarde fixement, aucun de nos n'arrives a retirer son regards de l'autre, je vois c'est lèvres s'entrouvir légèrement.

-? : En... Enola?

-Enola : Étienne?

Son visage se détend et laisse place à un large sourire quand je prononce ce sourire.

-? : Oui, oui c'est moi, j'y crois pas c'est vraiment toi !?

-Enola : Oui, c'est moi l'arbre, comme tu adorais m'appeler à l'époque.

Sans attendre une seconde de plus Étienne fonça dans les bras, c'est une sensation tellement bizarre de revoir un personne qui à autant compté pour toi après autant de temp.

-Enola: Mais qu'est ce que tu fais la ?! T'es pas à Barcelone ?!

-Étienne: Ça se voit que tu suis plus le foot toi, je suis en équipe de France et on a un match à Marseille dans 3 jours.

-Enola : Quoi !? Mais c'est incroyable ! Je suis tellement fière de toi !

-Étienne: Ahah merci, mais je ne suis pas le seul, Ethan est la aussi !

Un homme qui était dans le fond de la boutique reviens vers la caisse, c'est bien Ethan, je suis complètement choquée jamais de ma vie je n'imaginais les recroiser, même si nous n'avons passé qu'une année scolaire ensemble ils sont devenus tellement importants dans ma vie à l'époque que de les revoir es maintenant, dix ans après me fait tellement bizzare !

-Enola : Ethan! Mais c'est pas possible j'ai l'impression de rêver !!

-Ethan : Ahaha, merci c'est gentil, tu veux une photo ?

-Enola : qu...je..

-Étienne : Euh... Ethan c'est Enola Laforet, notre pote de la 3e et accessoirement ma meilleure amie.

-Ethan : Oh mon dieu... J'y crois pas... Tu m'a tellement manqué!

Il s'approche de moi tcheck.

-Enola : Mais vraiment c'est ouf de se retourner la !

-Étienne : Faut trop qu'on ailles se boire un café !

-Enola : Grave, vous êtes libre maintenant ?

-Étienne : Ouais, mais t'es pas au boulot maintenant ?

Enola : Si mais c'est moi la patronne, enfin la co-patronne.

-Étienne: Ah ouais ! C grave cool!

-Ethan: J'aurais bien aimé mais faut vraiment que je trouve cette robe donc allez y sans moi, de toute façon on pourra en prendre un une prochaine fois.

-Enola : Oh, comme tu veux, et pour ta robe dit à Lili, que tu viens de ma part tu aura -30%.

-Ethan : T'es sympa, mais l'argent n'es pas un problème, et puis je dois bien faire fonctionner ta boutique !

-Étienne : Alors on y va, y'a intérêt de m'amener dans le meilleur café de Cassis !

-Enola : T'inquiète pas pour ça !

Nous nous dirigeons donc vers mon café préféré à Cassis : " le pré des amour" oui c'est un peu nul comme nom mais franchement, l'ambiance est grave cool !

-Étienne : Mais en fait t'es encore amoureuse de moi c'est pas possible !

-Enola : Hein de quoi ?!

-Étienne: Le nom du café est quand même révélateur de plein de choses !

-Enola : Ahaha t'es con!

Nous nous asseyons à une table est commençons à parlé de tout et de rien, à vrai dire j'vais un peu peur que la conversation soit difficile, en bref qu'on ne trouve pas quoi se dire mais au final pas du tout, les sujets s'enchaînent vraiment vite tout comme les éclats de rire.

-Étienne : Je peux te poser une question ?

-Enola : Ouais Vas-y.

-Étienne: Pouruqoi tu m'as pas prévenu que tu quittés Paris ?

-Enola : Aujourd'hui je t'avoue que si c'était à refaire je t'aurais prévenu mais à l'époque c'était plus compliqué, j'étais dans une période de ma vie où je te détesté car j'étais tomber complètement amoureuse de toi et quand j'ai appris que j'allais déménager une nouvelle fois je me suis dit que c'était sûrement mieux comme ça... En ne te tenant pas au courant...

-Étienne : Tu sais, pendant les vacances de la Toussaint je suis retourné à Paris en passant que tu y étais encore pour que tu passes la deuxième semaines à Barcelone, avec moi... Mais qu'en je suis arrivé à Paris, devant le lycée où tu devais allé j'ai vu Margot et je lui est demandé où tu était, c'est à ce moment là que j'ai appris que tu étais retourné dans le sud...c'est bizzare mais j'avais l'impression d'avoir perdu comme une partie de moi, jusqu'à que je te vois il y a une demi heure je ne pensais jamais te retrouver...

-Enola : Je suis désolée, je ne pensais pas que ça allez autant t'impacter...

-Étienne : Nan mais t'inquiètes, on était des gamins, t'es pardonner même si je ne t'en est jamais vraiment voulu.

Je lui sourie gênée de sa réponse.

-Étienne : Sinon en parlant d'un tout autre sujet tu veux venir voit le match au Velodrome ?

-Enola : Euh je sais pas trop, il ne doit plus rester de place en vente disponible.

-Étienne : Roooh, t'occupes pas de ça, t'y dois juste me dire si tu veux ou non venir au Vélodrome.

-Enola : Bon...OK mais à une condition.

-Étienne : Laquelle ?

-Enola : Si tu marques tu évités de célébrer en faisant un cœur. Ahaha

Nous rions tout les deux en nous rappelant tout le chahut médiatique qu'avait fait cette stupide célébration.

-Étienne : Ahaha ça va normalement je vais savoir me retenir!

-Enola: Alors tu me verras dans les gradins du stade.

Au même moment Ethan viens vers notre table avec 3 sacs rempli de vêtements de ma boutique.

-Enola : Waouh mais tu m'as dévaliser le magasin !

-Ethan : C'est pas ma faute si toi est Lili vous avez beaucoup de goût pour choisir les vêtements !

-Enola : Ahaha merci.

-Ethan : Bon parcontre Étienne on va devoir rentrer à Marseille si on veut pas que le coach nous tapes sur les doigts !

-Étienne : Oula oui j'avais pas vu l'heure !

-Ethan : Bon bah au revoir Enola, j'espère que si un jour je reviens à Cassis ou que tu viennes à Paris on pourra un peu plus parler !

-Enola : Ouais grave, mais de toute façon je viens au match au vélodrome.

-Ethan : Jure ! Trop cool ! On a intérêt de gagner alors !

-Enola: Ahaha exactement !

Après s'être dit au revoir les garçon prennent le chemin d'une voiture pendent que moi je retourne à Peonia, cette après midi était vraiment inattendu et vraiment cool à la fois, mais c'est comment trop chelou j'ai l'impression de ne jamais les avoirs quittés.

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