Nous arrivons devant le lycée et scrutons du regard la grande allée permettant d'accédé à celui-ci à la recherche d'un potentielle groupe de garçons ou juste un seul garçon. Il ne sont malheureusement pas là.
-Il vient toujours me chercher, il devrait pas tarder, je précise à Hisaé qui me regarde d'un air interrogateur.
-Ok, bah on a cas attendre sur le banc là ? dit-elle en pointant de doigt un banc devant un carré d'herbe.
-Ouais !
Nous nous essayons et attendons tranquillement que les garçons arrivent, après tout on peux attendre encore longtemps car ils finissent en même temps que nous et leurs lycées à eux sont plutôt loin du notre, environ 20 min en moto et 30 à pied.
-Je vais nous chercher une glace au camion, j'arrive. Une coco-chocolat (meilleure parfum la glace coco) pour toi je suppose ? dit Hisaé en voyant le camion de glace se garer.
-Comme toujours ! Tu devrais même plus me demander !
-Je sais, mais on sait jamais au cas où tu voudrais tester autre chose pour une fois !
-Ouais ouais, allez file j'ai la dalle !
Hisaé s'éloigne, je regarde la file et constate qu'elle risque d'être longue, environ 5 min je pense. Je décide donc de creuser le temps sur mon téléphone.
~3 minutes plus tard~
Je suis toujours sur mon téléphone en train de faire défiler des tiktoks d'animé. Omg, Deku de My Hero Academia il est trop incroyable ! Hop favoris. Et je continus à fantasmer sur absolument tout les gars d'animé qui passe dans mes pourtoi. Je relève la tête pour voir où en est Hisaé, elle à encore 2 personnes devant elle et c'est bon.
Je sens une présence derrière moi, je tourne instinctivement la tête. Mais j'ai même pas le temps de me rendre qui c'était que des bras m'entoure le cou.
-Ma fille ! Tu m'a tellement manquée !
Je me fige. Non. C'est pas possible. Mon père est là. Non, non, non, non. Aidez-moi. Vite. AIDEZ-MOI !
-Allez viens, on rentre à la maison, dit mon géniteur en me tirant le bras violemment.
-Non ! Lâche-moi ! LÂCHE-MOI J'AI DIS ! dis-je en me débattant le plus possible.
-Aya ! crie une voix masculine derrière moi, lâchez-la toute de suite !
C'est Chifuyu, malheureusement, il ne m'attrape pas à temps car mon père me pousse derrière lui, et une matière me touche le crâne ce qui me fait perdre connaissance sur le coup. La seule chose que j'ai entendu avant le noir complet c'est mon père disant : "C'est la dernière fois que vous la voyez bande d'enfant mal élevée".
~3 heures plus tard~
Je me réveille tout doucement, ma tête me fait extrêmement mal. D'ailleurs je ne sais pas même pas ce qui s'est passer... j'étais en cour avec Hisaé, ensuite je suis aller chez le directeur, la journée s'est fini donc on est sortie... ensuite c'est tout flou.
J'essaye de me remémorer et puis tout me reviens : mon père est venu.
Ouais mais du coup, je suis où en fait ? Je regarde autour de moi, la pièce est extrêmement sombre, plonger dans le noir total, malgré ça, j'arrive tout de même à reconnaître quelque meuble particulièrement familier. Ce sont ceux de ma chambre, je suis donc chez moi et mon père m'a limite kidnapper en fait ! Bon, il est où l'interrupteur là... Normalement il y en a 1 juste à côté de moi... ah ! Trouver ! J'appuie sur le bouton, ma chambre s'éclaire et je remarque qu'elle est exactement comme je l'avais laissée la dernière fois que je venue, c'est à dire en bordel.
Je me lève, ma tête tourne mais je dois absolument partir d'ici, Chifuyu doit être mort d'inquiétude et les autres aussi. On va prendre la sortie la plus simple pour commencer, ma porte, même si c'est la plus conne pour sortir. Je clenche la poignée et... elle est fermer. Bon ça fallait s'en douter aussi. Par contre ma fenêtre elle ne peut pas être fermer, j'avais la clé sur moi de toute façon. Je traverse ma chambre, manquant plusieurs fois de tomber à la renverse à cause de mon déséquilibre. J'arrive enfin près de ma seule et unique sortie de secours, j'essaye de tourner la poignée sur le côté mais je n'y arrive pas. C'est quoi ce bordel, je réessaye, encore et encore. A gauche, à droite, mais rien n'y fait, elle est fermer. Mais c'est clairement impossible là ?! Au pire je la casse ? Ouais mais je suis pas en état, rien que marcher normalement j'ai du mal j'imagine même pas courir, je vais me retrouver dans un faussée je vais rien comprendre.
EH MAIS DU COUP JE SUIS ENFERMER DANS MA CHAMBRE EN FAIT ?!
Rassure moi j'ai mon téléphone au moins ?! Ah bah non. Pas grave j'en est un deuxième... normalement ? Bah il est pas dans le tiroir ? Oh non... j'ai plus aucun contact avec l'extérieur... je peux même pas prévenir mon frère, même pas Chifuyu, ni Mikey, personne.
Je panique, bon après j'ai encore accès à mon dressing. Donc je peux encore me planquer en cas de danger. Mais bon, c'est pas le top du top non plus quand même...
J'entends des pas faible, puis il se rapproche de plus en plus, viens ensuite des voix.
-Ouvre, dit une voix super grave.
J'entends une clé rentrez dans la serrure, je me précipite pour prendre un truc lourd et me rapproche de la porte, la clé tourne 3 fois. Ah ouais triple tours carrément, ils ont pas peur. La clé s'enlève et la poignée clenche, la porte s'ouvre en grand et je donne le coup avec mon poids lourd attrapez dans ma chambre. Mais... un gars qui se trouve derrière la personne qui avait clencher la porte, qui se trouve être mon père, le rattrape et me regarde avec tristesse. Ouh... j'aime pas ce genre de regard quand ça viens du personnel du daron... ça veux clairement dire que j'étais déjà dans la merde et que là, je viens d'aggraver la chose.
-Aya... ma puce... pourquoi tu veux me faire du mal ? Je t'es tous donner..., dis le truc qui me sert de daron, tu peux disposer.
Le personnel part et mon père entre dans ma chambre, entre temps j'ai reculer légèrement.
-Je disais..., continue-t-il, je t'es tous donner, tous, VRAIMENT TOUS !!!!
Ouais sauf l'amour paternel enculée.
Il s'approche de moi, je recule mais il accélère. Je suis dans la merde !
[--\/--]
Vraiment je suis désolé hein, mais j'ai pas le choix c'est l'histoire...
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Exit key | Chifuyu.M X OC
FanfictionAya Kimoya, fille d'un des plus grand dirigeant d'une entreprise de Tokyo. Elle est surprotégée par celui-ci mais ne peux pas partir. Elle sait très bien qui est son père : un meurtrier. C'est pourquoi elle passe sa vie de tous les jours à fuguer, m...