After

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—𝖇𝖆𝖌𝖌𝖞 𝖑𝖊 𝖈𝖑𝖔𝖜𝖓𝚄𝙽𝙸𝚅𝙴𝚁𝚂 𝙰𝙻𝚃𝙴𝚁𝙽𝙰𝚃𝙸𝙵

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𝖇𝖆𝖌𝖌𝖞 𝖑𝖊 𝖈𝖑𝖔𝖜𝖓
𝚄𝙽𝙸𝚅𝙴𝚁𝚂 𝙰𝙻𝚃𝙴𝚁𝙽𝙰𝚃𝙸𝙵

    LORSQUE BAGGY SE RÉVEILLA, la première chose qu'il sentit fut la douleur logée dans ses reins, le faisant grogner

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    LORSQUE BAGGY SE RÉVEILLA, la première chose qu'il sentit fut la douleur logée dans ses reins, le faisant grogner. Ses muscles le tiraillaient affreusement et la fatigue était telle qu'il se demandait s'il pourrait bien survivre à cette journée. Main dans les cheveux, il reprit conscience de ce qui l'entourait, notamment la présence d'une autre personne dans son lit. Et personne n'était autre que Shanks. Que foutait-il ici ?

    Brusquement, les souvenirs de cette soirée mémorable lui revinrent en mémoire. Après avoir couchés ensemble dans la boîte de nuit, Baggy avait exceptionnellement enfreint une de ses règles en laissant Shanks entrer chez lui. Mais la folie du moment avait été plus forte. Ils avaient baisé ensemble toute la nuit, sauvagement sans jamais s'arrêter dans l'intégralité de son appartement. Son corps en ressentait encore les effets. Un léger picotement picora son bas-ventre.

    Pour tenter de le réveiller, il passa sa main dans les cheveux roux de son partenaire d'un soir, les secouant légèrement, s'empêchant le frapper à la joue.

— Réveille-toi connard.

    Les yeux de Shanks s'ouvrirent d'un coup, le surprenant légèrement. Se réveillait-il toujours de cette façon ?

— C'est qui que tu traites de connard ? , demanda Shanks en fronçant les sourcils.

— Tu le mérites bien après ce que tu as fais à mes hanches. Non mais sérieux, j'ai mal au trou de balle là. , se plaignit le bleu.

    Un rictus se dessina sur les lèvres du Roux tandis qu'il observait Baggy sortir du lit pour s'habiller, entièrement nu. Sa peau parfaite était dorénavant remplie de morsures, de suçons et de rougeurs sur les fesses. Une sorte de fierté masculine l'envahit. Il l'avait baisé fort.

    Face à lui, Baggy fut dorénavant vêtu d'un bas de survêtement large et d'un sweat-shirt. Sa chevelure longue avait été relevé en chignon. Il était d'ailleurs étrange de constater l'absence de maquillage sur son visage ainsi que les couches de vêtements sur son corps.

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