𝟎𝟒. 𝐒𝐚𝐧𝐠 𝐢𝐦𝐩𝐮𝐫

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Tw : Sang

Des cris, du sang, des pleurs, et une douleur lancinante

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Des cris, du sang, des pleurs, et une douleur lancinante. C'était le cauchemar qui se déroulait au moment où j'ai ouvert les yeux. Les hurlements stridents résonnaient tout autour de moi, tandis que mon cœur battait de façon irrégulière dans ma poitrine. Je serrais mon ours en peluche contre moi, cherchant du réconfort dans ses bras en murmurant : "Rien ne nous arrivera. Rien." Mes yeux se remplissaient de larmes en la voyant pleurer au milieu de cette horreur. Je me suis précipitée pour la prendre dans mes bras, essayant de la réconforter du mieux que je le pouvais, tentant de trouver du courage pour nous deux.

Malheureusement, c'était déjà trop tard.

Ils avaient pénétré dans le bâtiment en ouvrant le feu sur tout ce qui se mouvait, y compris ceux qui se trouvaient là...

— Mademoiselle Martinez ! S'exclama une voix dans mon dos me faisant sortir de mes songes.

Je ne pris même pas la peine de me retourner, trop occupée à nettoyer ma robe.

— Je vous parle ! Il continua à avancer vers moi en claquant ses souliers sur le sol.

Putain, c'était un vrai enquiquineur ! 

— Martinez, ne faites pas comme ci je n'étais pas là. Lâcha-t-il soudainement avec une pointe d'agacement dans la voix.

Je me retournai enfin en lui adressant un regard blasé. Son comportement de gamin capricieux m'agaçai fortement.

— Maintenant que je suis devant vous, parlez monsieur Diaz. Dis-je en haussant le ton.

— Vous savez quoi, laissez tomber. Je suis venu ici pour m'excuser du comportement de Victoria, mais visiblement, vous n'êtes pas ouverte à la discussion.

Excuser le comportement de son toutou ? Quelle plaisanterie ! Il aurait d'abord dû présenter des excuses pour m'avoir manqué de respect la nuit précédente.

Il s'approchait de plus en plus près de mon visage avec son sourire narquois habituel, et cela devenait simplement agaçant !

— Vous êtes tellement aigrie, señorita Martinez, poursuivit-il, en prononçant mon nom de famille d'une manière sensuelle, provoquant mon irritation.

— Et vous êtes un arrogant, rétorquai-je.

— Un arrogant sexy ! ajouta-t-il avec fierté, satisfait de sa remarque plus que déplacée.

Paraíso Ardiente [ En réécriture ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant