J'ai décidé de continuer vu vos réactions du chapitre précédent. En gros vous me demandez d'être devin.
Du genre je ne vote pas je ne commente pas mais t'inquiète j'aime la chronique. J'ai du mal à entendre ça désolé.
Ce chapitre est dédié à diagass la Badiene de Maï. J'espère que tu es fière de ta fille 🤧🤧🤧
OMAR
Elle est couchée sur moi, sur le ventre, ses mains autour de ma taille et le visage enfouie contre mon cou.
Adossé sur mes oreillers, je lui caresse délicatement le dos. Nous sommes nus, sur mon lit.. Enfin NOTRE lit. Elle les jambes tendues et les miennes repliées.
Sa fleur est en contact avec mon ventre, j'ai une vision saisissante sur la cambrure de son dos et sur son fessier rebondit. Tout ça allié aux perles qui ornent sa taille manque bien sûr de réveiller encore une fois mini moi.
Elle a tendance à tomber dans les bras de Morphée quelques secondes après nos ébats. A chaque fois et ce, à n'importe quel moment de la journée.
Je secoue mes épaules, elle reste immobile me prouvant qu'elle dort vraiment. Un sourire se dessine sur mes lèvres. Sa peau nue contre la mienne est très agréable. Depuis cette fameuse nuit, j'en suis complètement accro.
Dès le lendemain, Aida avait prit les choses en mains et s'était occupée d'elle. Il lui fallait des massages et d'autres bains pour diminuer la douleur qu'elle ressentait et lui permettre de bien récupérer.
Dès que ce fut fait, elle était allée voir mes parents avec Cherif pour leur annoncer mon mariage. Je ne sais pas ce qu'ils leur ont dit mais malgré sa colère contre moi, ma mère ne m'a pas fait un scandale. Elle est venue récupérer Maï et elles ont disparu trois jours. TROIS JOURS!!!
A t'elle fait ça pour me punir? Je ne sais pas. Toujours est t'il que ce fut vraiment difficile pour moi. Cette absence m'a semblé être une éternité et j'ai eu beau appeler pour savoir quand est ce qu'on allait me l'a rendre, on me raccrochait au nez à chaque fois. Cherif ne s'est bien sûr pas gêné de se moquer de moi cet imbécile. Pour me contenir, j'ai faillis briser mes phalanges à force de m'acharner sur mon sac de frappe.
Quand elles ont enfin bien voulu me rendre Maïmouna, elle était changée: rayonnante, encore plus belle et désirable. Mes tantes l'accompagnaient. Elles ont exigé que je lui donne une dote et qu'on organise une cérémonie traditionnelle.
Vu qu'elle est Orpheline, c'est Aida qui joua le rôle de tuteur pour elle. Cheikh Omar qui s'ennuie sûrement dans sa nouvelle vie s'est joint à nous et ce fut......
Burlesque.
Franchement j'aime mon ethnie mais leurs protocoles me font trop rire. Le plus important c'est que Maï s'est amusée comme une folle en faisant tous les trucs qu'on lui ordonnait sans rechigner. Le soir même, elles sont heureusement parti et m'ont laissé avec elle.
Je lui ai montré par tous les moyens possibles et imaginables à quel point elle m'avait manqué et elle ne s'en était pas sorti indemne.
Elle m'avait supplié de l'épargner en me jurant qu'elle ne se séparera plus jamais de moi.
Le lendemain Cherif nous a sommé de déménager car il voulait dormir et avait besoin de calme pour ça. Maï était devenue toute rouge et moi je lui ai lancé un doigt d'honneur.
Je me suis par la suite donné une semaine de repos totale pour profiter d'elle. Je lui ai fait découvrir Dakar sur un autre angle. Me suis délecté de son expression de fascination à chaque fois qu'on allait dans un lieu différent. Elle aime sortir, aller à la plage et profiter du vent. Aller au restaurant et goûter à de nouvelles saveurs.
VOUS LISEZ
🩸 La dette de sang 🩸
Ficción GeneralDans les rues de Dakar, il peut arriver que vous rencontriez un homme banal, Habillé en t-shirt et pantalon comme tout le monde. Vous pourriez alors le dépasser sans faire attention à lui. Vous ne vous rendrez sûrement pas compte, et à juste titr...