CHAP29: Un héros?

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COUCOU JE SUIS AGRÉABLEMENT SURPRISE.

APRÈS PLUS D'UN AN D'ABSENCE DUE À MA GROSSESSE JE PENSAIS DEVOIR TOUT RECOMMENCER DEPUIS LE DÉBUT ET AVOIR DEUX LECTEURS.

MAIS LE QUART D'ENTRE VOUS ÊTES RESTÉS ET JE VOUS EN REMERCIE

VOTEZ, COMMENTEZ, J'AI BESOIN DE REMOTIVATION .

CE CHAPITRE EST LE DERNIER DE LA PREMIÈRE PARTIE DE LA CHRONQIUE. LA SUITE AURA UN BOND DANS LE TEMPS

RÉGALEZ VOUS .


OMAR

- Imaginez il meurt, boy bou Saf di na deme Ndeyssane. Après nous ça nous fera moins de concurrence, il y aura plus de filles pour nous n'est ce pas Bader?

- Djamil la ferme s'il te plait on dirai qu'il est entrain de se réveiller.

- Seynabou kham. Seynabou nobou mala (je ne suis pas amoureux de toi). Tu essaies par tous les moyens de te faire remarquer par moi mais tu n'es pas mon genre. Je préfère les filles à la limite pas habillées comme un épouvantail. Tiens si tu veux que je te donnes l'heure refais ta garde robe. Seynabou s'il ne restait que nous deux sur terre ce serait la fin de la race humaine vu que je ne me reproduirais jamais avec toi.

- Et ben quand on dit que l'idiotie est contagieuse en voilà la preuve. A force de côtoyer l'armada de décérébrée qui te courent après, tu as fini par perdre ton bon sens. Je préférerais couper mes ovaires plutôt que de me reproduire avec toi et prendre le risque de perpétuer ta maladie mentale.

- Ce qui te fais mal c'est que je suis un beau goss et que toi tu es moche.

- Vos gueules à tous les deux, notre chef est entre la vie et la mort et vous ne pouvez pas faire une pause sur vos disputes débiles.

- En réalité Bader il n'est pas entre la vie et la mort, il est juste sonné.

Répond Édouard.

-Ahh!!

Vous me pardonnerez si je n'ai pas envie d'ouvrir les yeux. Je devine que l'ensemble de mon équipe est à mon chevet. Ils risquent de me vriller les tympans  si jamais ils se rendent compte que j'ai retrouvé mes esprits.

- C'est bon sortez, je vous dirai quand il se sera réveillé.

Leur dit Antoine. Après des minutes de protestation leurs voix s'éloignent enfin et la porte se referme.

- C'est bon ils sont partis tu peux ouvrir les yeux.

Ouf. Je m'exécute. Il ne reste plus qu'Antoine et Édouard dans la piece.

- Des fois j'ai envie de leur donner une bonne féssée à ces mômes.

- Tu n'es pas le seul mon cher. Je t'assure que tu n'es pas le seul.

Nous éclatons tous trois de rire. Le mien se transforme aussitôt en toux. j'attrape m'a poitrine qui commence à m'élancer.

Édouard viens m'apporter à boire. Nous sommes dans une chambre d'hôpital. Je suis couché sur un petit lit. Des machines affichant mes constantes sont tout autour de moi.

- Ta manie à vouloir sauver tout le monde te perdra un jour.

- Comment vont les petites.

- La plus jeune est tellement faible que les médecins ont due l'a mettre dans un coma artificiel pour pouvoir l'a soigner. Sa grande sœur est à son chevet, elle s'en est sorti avec quelques égratignures. Quand à toi, tu as le dos brulé au second degré. Heureusement que c'est superficiel. Tu vas souffrir le martyre pendant quelques jours mais ça devrait aller. Ce sera ta blessure de guerre. Tu es un hero après tout.

🩸 La dette de sang 🩸 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant