🩸 La dette de sang 🩸

CHAP47: Solutions

Mon but premier c'est que la lecture de cette chronique soit un plaisir pour vous. C'est pour ça que tant que je ne suis pas satisfaite de mes écris, c'est à dire que je n'ai pas ressenti moi même ce plaisir en me relisant je ne publie pas.

J'espère qu'il vous plaira car j'ai aimé le résultat après des jours de changement et de correction.

Votez s'il vous plaît. Donnez moi vos impressions sans ça, je ne saurai pas si j'ai réussi le Paris.

13000 mots rien que pour vous.

Bonne lecture ❤️❤️❤️.

ÂMES JUMELLES

- Pourquoi es tu aussi triste?

Hélène se releva en entendant la voix de Maïmouna.

- Qu'est ce que ça peut te faire?

Répondit elle de la manière agressive dont l'a connaît son alter ego. Sans se décourager, Maï s'approcha d'elle en planant à quelques centimètres du sol.

- Tu es triste aujourd'hui. D'habitude tu passes ton temps à te plaindre de moi mais aujourd'hui tu... Tu sembles souffrir. Je pense savoir pourquoi même si tout est flou et mélangé dans mon esprit.

- Laisse moi tranquille.

Se renfrogna Hélène en reprenant sa position. Maï prit son courage à deux mains et enchaîna:

- S'il te plaît laisse moi parler à Omar. Je ne sais pas combien de temps est ce que je ne lui ai pas parlé mais je dois.. Le faire il doit se sentir tellement mal actuellement.

- HORS DE QUESTION.

Cria Hélène.

- Et arrête de t'inviter dans mes rêves.

Rajouta t'elle plus calmement.

- C'est toi qui t'es immiscée dans les miennes. Je pense.... Je n'en ai plus pour longtemps, bientôt je n'existerai plus. J'aimerai parler à Omar avant. S'il te plaît. Je...

Avant qu'elle ne termine sa phrase Hélène avait déjà disparu. Maïmouna s'effondra et laissa libre cours à ses larmes intérieures. Depuis qu'elle est enfermée ici, elle avait finit par comprendre. Comprendre qu'elle n'était peut être qu'une création. Des souvenirs qui ne sont pas les siennes lui reviennent par bloc et à chaque fois, elle se sent disparaître un peu plus. Comme si son existence diminuait. Elle n'avait pas peur de mourir. Elle avait juste peur que ça arrive avant qu'elle ne puisse parler à Omar.

HÉLÈNE

Au réveil, je suis un peu  sonnée par mon rêve que je sais ne pas vraiment en être un. Maïmouna réclame Omar, Omar réclame Maïmouna et personne n'en a rien à foutre d'Helene.

Ce matin, j'ai décidé de ne plus me fier à mon oncle, je ferai les chose à ma manière et tant pis si je fou en l'air son fameux plan qu'il a prit des décénis à mettre en place.

Je l'emmerde ce gros connard. Je les emmerde tous autant qu'ils sont.

C'est motivée à bloc que je me lève et vais à la recherche de mon tortionnaire en espérant ne croiser personne. Je ne suis pas d'humeur à me taper la discute avec qui que ce soit.

Je le retrouve sans difficulté à côté de la cabane de Majid. Le regard perdu au loin. C'est évident qu'il n'a pas fermé l'œil de la nuit. Ses traits tirés traduisent  d'une grande fatigue et ses yeux semblent porter tout le poids du monde.

« Tout ça pour elle »

Quand il s'aperçoit de ma présence, il semble très étonné et pour cause.