🩸 La dette de sang 🩸

ETIENNE: À l'origine je n'etais rien

Voilà exactement le message que j'avais envoyé dans le groupe telegram et tout le monde a choisit l'Option 2.

J'espère que vous êtes en phase avec eux.

« Bonjour ici. J'espère que vous allez bien. Je laisse ce message ici. Je verrai au réveil ce que je vais faire en fonction de vos réponses.

Alors il reste trois chapitres à la Dette de Sang. Je suis entrain d'écrire le troisième. Le premier fait plus de 15000 mots. Le deuxième 8000 mots et le troisième je ne sais pas encore (je suis à 3000 mots).

Alors de deux choses l'une.

1- Je termine le dernier chapitre d'abord. C'est à dire dans deux semaines au moins et les publie tous les trois par intervalles de quatre jours le temps de vous laisser réagir

2-Je publie maintenant celui de 15000 mots, l'avant dernier chapitre lundi prochain en attendant de terminer le dernier sûrement le Samedi suivant au plus tard.

Vous préférez quoi? »

Finalement c'est 20000 et non 15000 donc prenez votre temps, savourez le chapitre et n'oubliez pas de réagir.

❌❌❌❌JE VOUS CONSEILLE DE RELIRE OU AU MOINS SURVOLER LE DERNIER CHAPITRE POUR VOUS REMETTRE DANS LE BAIN SINON VOUS RISQUEZ D'ÊTRE LARGUÉS.

Bonne lecture 😎😎

L'HOMME DE MAIN DE BATH

Je trépigne d'impatience. Je ne sais pas ce que le petit patron donnera comme ordre mais je vote pour qu'on massacre l'intrus et qu'on refasse une nouvelle scéance. Comme celle de la dernière fois. Cette fois ci je pourrai participer aussi et gouter à la fille. On ne me laisse jamais toucher aux femmes de la haute.

Je ne suis même pas digne des putes du ministre. Je n'ai droit qu'aux prostituées des rues avec leurs vergetures et leurs chattes toutes frippées. Je fais avec mais j'ai toujours voulu une meilleure qualité. Une qui ne pue pas de préférence.

Ce qui est sûr c'est que le petit patron est en colère. C'est moi même qui ai aperçu ce gars rentrer dans cette chambre et suis allé le prévenir. Il a aussitôt foncé vers cette chambre comme s'il savait déjà de qui il s'agissait. Et là, on va sûrement le massacrer et punir ensemble sa femme.

Cette fois ci je veux participer.

L'homme sur le lit ne bouge pas. Il tremble légèrement.  Bizarrement, malgré cela, je ne sens pas la peur qui émane d'habitude des gens que je suis chargé de traquer. Au contraire, tout ce que je décèle, c'est une forte aura dans l'air.

Je sens ma gorge s'assécher et déglutit avant de me ressaisir. On va lui apprendre lui à se glisser ainsi dans la chambre de la femme d'un autre même si entre nous je le comprend, cette petite salope est d'une beauté envoûtante.

L'homme bouge enfin pour se lever mais quelque chose le retient. Sûrement la femme sur le lit.

- Djib.... Non.

Couine t'elle. Putain laisse le. Laisse le venir se frotter à nous. Nous sommes trois et il est seul. Nous sommes armés et lui n'aura pas le temps de se servir de quoi que ce soit même s'il n'est pas venu les mains vides non plus.

L'homme se dégage et se tient debout. Je ne vois toujours pas son visage. Il a la tête baissée.

Sous la stupéfaction générale, la femme du petit patron qui d'après ce que j'en ai compris est paralysée depuis notre petite soirée émet un son et appuie ses mains sur le lit pour se relever.